DEATH OF THE VENOMVERSE #1 (Cullen Bunn, David Michelinie / Gerardo Sandoval)

Après Carnage Reigns, Marvel déchaînera l’« été des Symbiotes ». Cet event se déroulera dans les séries Venom et Red Goblin, dans des titres dérivés comme Web of Carnage, Cult of Carnage : Misery et Edge of Venomverse Unlimited Infinity Comic (ce dernier étant publié en numérique) avant de se terminer en août dans la mini-série Death of The Venomverse.

Death of the Venomverse sera publié sur un rythme hebdomadaire et verra un Carnage tout puissant écumer le multivers avec un seul but : tuer tous les Venoms ! La mini-série marquera le retour chez Marvel de Cullen Bunn, associé à Gerardo Sandoval aux dessins. Chaque épisode proposera une back-up par le co-créateur de Venom, David Michelinie.

Cullen Bunn :

« It’s been far too long since I’ve written any stories about Venom and company, » Bunn said. « About Eddie, about Flash, about Andi, about Carnage. This story – this completely bonkers epic – feels like the right time to throw my symbiotic hat back in the ring. Returning to a multiverse full of Venom symbiotes, maybe – but hopefully not – for the last time, I knew I had to do something big. Thus, the titlem Death of the Venomverse – was born. Perhaps that title is a bit of a threat for our favorite symbiotes, but I promise you it is not empty! Get ready for plenty of surprises, some heartbreak, and more symbiotes than you can shake a stick at. »

Ah, des morts partout !
Mais quelle idée originale !
Pourvu qu’ils en fassent d’autres, des comme ça.

Dis-toi que c’est toujours la 1ère couverture avec des morts partout pour quelqu’un ^^!
Toi c’est la 257ème donc ça impacte moins !

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La maison des idées

Ah ben, ce n’est pas que ça m’impacte moins. C’est surtout que ça a grandement contribué à me faire fuir la lecture.
Si encore c’était bien fait. Mais plus le temps passe, plus ce type de couverture est fade.

Et des cimetières ouverts comme horizon créatif, c’est vraiment de la merde en barre (hommage ou pas).

Même eux, ils doivent se faire la réflexion.
Mais comme ils s’en battent les steaks… Une couverture quelconque succèdera à une autre. Who cares ?

En plus d’être une métaphore assez explicite de l’état d’esprit éditorial.

Jim

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