DOCTOR WHO (2005) - Saisons 1-13

L’épisode 11 montre un Capaldi en grande forme (y avait intérêt vu le concept) et la fin augure un épisode 12 explosive dans tout les sens du terme au vu du trailer, très impatient de voir le dénouement vraiment très impatient, Moffat a écrit un très bel épisode à mon goût sur le temps.

C’est vrai qu’il est pas mal du tout cet avant-dernier épisode. Bon, il est assez simple, il tient sur un secret de polichinelle, le genre qu’on se traine maintenant depuis au moins quatre saisons (c’est facile, c’est le titre de la série) sans en avoir rien à faire mais qui permet à Peter Capaldi de monologuer gravement sur ce qu’il va faire lorsqu’il réussira à échapper au plan au combien mécanique de Moffat.
En ce sens, le château-torture modulaire représente toutes les obsessions du showrunner en un seul lieu (structure légèrement Timey-Wimey, un piège à deux-ronds, une créature conceptuelle, un épisode égo-centré, et on a même un retour sur l’âge du Docteur s’il n’y avait le twist final qui permet une acrobatie assez digne (pour un épisode de Moffat) à défaut d’être originale).

Bon, le contre-coup, c’est qu’on ressent pleinement la limite de vouloir absolument centrer l’histoire sur le Docteur au risque de lui créer un passif trop lourd pour être crédible (limite « j’étais destiné à devenir le Docteur »). Cette histoire de l’hybride (à moins que ce ne soit Moi Ashldr), de la prophétie, à part pour ramener le concept du Valeyard*, ça me parait vraiment con-con.

Par contre, musicalement, l’épisode tabasse !

PROCHAINEMENT !


[size=85]* Ce qui aurait dû être fait bien plus tôt. Le Docteur de la Guerre, plus âgé, plus « difficile », se prêtait justement bien à cette intrigue laissée en suspend depuis de nombreuses années et supposant qu’une incarnation du Docteur était parti awol.[/size]

Je ne suis pas tout à fait d’accord mais bon… ce qui m’intrigue dans le trailer c’est la régénération qui frappe à la porte du tardis dans les dernières images

Quelques photos de l’épisode de Noël The Husbands of River Song et le résumé :

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[quote]It’s Christmas Day on a remote human colony and the Doctor is hiding from carols and comedy antlers. But when the Time Lord’s help is requested he finds himself recruited into River Song’s squad and hurled into a fast and frantic chase across the galaxy! King Hydroflax (Greg Davies) is furious and his giant robot bodyguard is out-of-control and coming for them all! Will Nardole (Matt Lucas) survive? And when will River work out who the Doctor is?

All will be revealed on a starliner full of galactic super-villains and at a destination the Doctor has been avoiding for a very long time…[/quote]

Deux teasers de l’épisode de Noël :

Alors, je me doute que ça ne vous concerne pas vraiment, mais je suis RAVI d’avoir ENFIN pu réaliser la photographie que je voulais depuis longtemps.
Fan de Lego, fan de Doctor Who, j’ai voulu depuis longtemps immortaliser les Doctors de l’ère moderne sur un seul cliché. La récente sortie de sets Lego Doctor Who m’a permis de réaliser cette envie :

Source : facebook.com/Les-Contes-de- … 37/?ref=hl

Voici donc les 9e (réalisé par moi-même avec différentes parties pré-existantes), 10e (idem que le 9e), 11e (qui est un Lego officiel mais avec une tête jaune qui remplace la tête blanche), 12e (idem que le 11e) et le War Doctor (idem que les 9e et 10e, donc un custom).
J’en suis très content, je souhaitais le partager. :slight_smile:

Excellent !
Tu penses rajouter les 8 premiers Docteurs un jour ? Ca ferait une (autre) chouette photo de groupe…

Ah, c’est un autre défi - un très gros défi. :smiley:
Tiens, je vais essayer, pour le fun ! Je vais avant finir ma collection de vilains : j’ai les Daleks, un Cyberman, deux Silence, un Vashda Nerada… je vais aussi me faire Davros, je réfléchis au Master, et j’essaye d’avoir tous les assistants (mais je suis bloqué par l’absence de visage féminin noir chez Lego pour Martha).

Nom de zeus, ça ferait un joli truc, tout ça : le « Dr WhoGo Experience » !

France 4 diffusera la saison 9 de Doctor Who à partir du samedi 26 décembre à 20h50.

Ouais, et pas les mêmes horaires la semaine suivante (et je crois même que deux semaines plus tard, ce n’est pas la même logique de diffusion non plus !)
Pinaise, la télé publique est à l’image de nos politiques : pas organisée pour deux sous et changeant constamment d’avis !

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Si l’on en croit la rumeur persistante qui circule depuis une semaine, le très décevant spécial de noël The Husbands of River Song (ponctuant une année encore plus mauvaise que la précédente) devait être le dernier épisode de Steven Moffat en tant que showrunner de la série.

Il aurait dû être remplacé l’année prochaine - toujours selon la rumeur - par Chris Chibnall qui, lui, est malheureusement bien trop occupé avec la troisième et dernière saison du succès critique Broadchurch pour penser à reprendre les rênes de la série la plus populaire de Grande Bretagne.

Ceci explique d’ailleurs pourquoi plusieurs autres rumeurs parlent d’une saison incomplète pour 2016, un peu à l’image de la dernière année de Russel T. Davis qui se concluait sur la régénération du 10ème Docteur (interprété par David Tenant) en onzième (Matt Smith).

Tout ça pour dire que 2016 pourrait très bien être le dernier tour de piste de S. Moffat mais aussi celui de l’acteur vedette Peter Capaldi dans l’optique où un nouveau superviseur voudra recommencer à zéro avec son Docteur.

Espérons au moins qu’une saison « limitée » permette à l’actuel producteur exécutif de retrouver son bon sens et un peu d’ambition pour finir son mandat en apothéose, évitant par la même de revenir constamment en arrière et de dynamiter ce qu’il avait si bien réussi ([size=85]coucou River Song ![/size]).

[quote=« BenWawe »]Alors, je me doute que ça ne vous concerne pas vraiment, mais je suis RAVI d’avoir ENFIN pu réaliser la photographie que je voulais depuis longtemps.
Fan de Lego, fan de Doctor Who, j’ai voulu depuis longtemps immortaliser les Doctors de l’ère moderne sur un seul cliché. La récente sortie de sets Lego Doctor Who m’a permis de réaliser cette envie :

Source : facebook.com/Les-Contes-de- … 37/?ref=hl

Voici donc les 9e (réalisé par moi-même avec différentes parties pré-existantes), 10e (idem que le 9e), 11e (qui est un Lego officiel mais avec une tête jaune qui remplace la tête blanche), 12e (idem que le 11e) et le War Doctor (idem que les 9e et 10e, donc un custom).
J’en suis très content, je souhaitais le partager. :slight_smile:[/quote]

Excellent ! Je n’avais point vu.

Mais pourquoi utilises-tu forcément des visages jaunes alors que la tendance chez Lego va justement maintenant à la « fidélité » ? C’est pour rendre hommage aux Lego de ta jeunesse ?

Pour éviter de les confondre avec des Playmobil !

Haha, même pas. :smiley:

Pourquoi utiliser des visages jaunes ? Pour plusieurs raisons :

  • facilité : j’ai plus (et je trouve plus) de figurines différentes de couleur jaune que de couleur chair. De ce fait pour customiser et ainsi créer mes versions du 9e, 10e et du War Doctor, j’ai plus de possibilités en jaune qu’en chair. Et je ne supporterais pas, mais c’est mon aspect psychorigide, d’avoir des personnages dépareillés dans une même gamme.
  • nostalgie : en effet, pour moi, Lego = figurines jaunes. Si j’apprécie l’effort fait pour l’aspect chair (même si je déplore l’absence de visage féminin noir, alors que des visages masculins noirs existent…), j’aime l’idée de départ de Lego, à savoir ce jaune pour « neutraliser » la figurine et n’inclure aucun aspect de « race » ou de différence chez les êtres humains. J’aime m’en tenir à cette vision-là, qui se recoupe en plus avec l’aspect pratique.

Merci de votre intérêt. :slight_smile:

[quote=« Jack! »]http://imageshack.com/a/img540/8295/zRh0wG.jpg
Le Docteur: « Avouez-le, nous avons tous fait ce même cauchemar ! »

Si on devait le dire sans (trop) se répéter: ça fait bien longtemps que Steven Moffat n’a pas raconté une histoire originale. Après un première épisode prototypique, enchainant sans frein les mécanismes redondants de l’auteur, le ronflant Moffat pouvait-il inverser la vapeur ? C’est toute la question qui résume cette deuxième introduction de la neuvième saison.

Car de ronflant, ce second épisode n’en garde pas grande trace. Si le premier ressassait ultérieurement les questionnements de Moffat sur la mort du Docteur (ou ce qu’il aurait pu faire à l’époque où Matt Smith pliait bagage; le testament, la méditation, etc.), ce segment s’intéresse plutôt aux réactions du nouveau Seigneur du Temps (prestation épatante de Peter Capaldi, une fois qu’on lui retire la guitare électrique, dans un épisode hilarant, je dois l’avouer).

Comme précisé plus tôt cette semaine, le « douzième Docteur » est une étape inconnue après « Celui qui regrette » et « Celui qui oubli »; savoir laquelle est une autre affaire. Un semblant de réponse se dégage avec The Witch’s Familiar: « Celui qui pardonne » (aussi ironique que ça puisse paraitre vu le thème de la saison précédente mais pas si surprenant lorsqu’on examine le début de The Dark Water; S08E11).
Car le Docteur de Moffat est âgé; d’abord littéralement puisque, depuis 2010, le showrunner s’est évertué à accélérer le temps extra-diégétique (ce qui explique pourquoi chaque saison s’ouvre sur des retrouvailles), faisant ainsi souffler ses 2500 bougies au Galifreyein; mais surtout physiquement depuis que Peter Capaldi, acteur à la quinquagénie bien tassé, lui prête son visage.

Et c’est là que l’épisode tire son épingle du jeu. Si le tempérament furieux du 12ème Docteur a malheureusement été balayé dès The Magician’s Apprentice pour retomber dans le grand-guignole, Moffat prend à contre-pied le spectateur en proposant une version accomplie du personnage, un homme d’expérience qui regrette certainement ses actes passés. Comme dit Missy, leur conception du bien et du mal, de l’amical et de l’ennemi, éprouvée par le temps, est bien différente de celle des humains.
Après des retrouvailles avec le Maitre, son ami(e) d’enfance, c’est donc sans surprise que le héros s’assoit pour tailler une bavette avec Davros, en vieux messieurs qu’ils sont, plutôt que de courir dans tous les coins (la scène en fauteuil roulant n’est d’ailleurs pas innocente), lors d’un épisode calme (un reproche que j’ai souvent fait à la série mais qui est plutôt logique ici), plus intimiste aussi. Le Killing Joke de Doctor Who comme l’affirme Rich Johnson ?

Et ça aurait pu être vraiment bon. Ironiquement, Moffat cherchant constamment à déstabiliser le spectateur à travers ses gros rouages, il décontenance ici en livrant un épisode profond qui marquerait presque un tournant; celui d’un Docteur contemplant son passé avec sagesse et se tournant vers l’avenir en faisant fi des vieilles querelles, particulièrement mis en avant lors de scènes touchantes où les deux vétérans de la Guerre du Temps, le Docteur et Davros, se comprennent enfin.
Je dois même l’avouer, j’étais à deux doigts de croire que le scénariste allait offrir une porte de sortie « définitive » (au moins jusqu’à ce que son successeur prenne le relai) et sincère au problème Dalek et, ce, sans pour autant les rayer de la mythologie (après tout, c’est un voyageur temporel; il peut assister à la fin d’une ère et continuer à l’arpenter à loisir).

« Aurait pu » ? « Presque » ? Malheureusement, l’épisode s’empresse de rétablir le statu-quo. On découvre finalement que Davros n’est pas en train de se repentir, pas plus que le Docteur n’est en fait tombé dans un piège (c’est vous dire si la chute est attendue); l’épisode se concluant sur la restitution d’un despote galactique et sa clique de poubelles volantes lors d’un twist convenu.
C’est d’autant plus cocasse que Moffat ressuscite les vielles figures alors qu’il n’est pas partisan des « individualités ». Elles sont souvent prétexte à l’action mais ne sont jamais les véritables antagonistes de l’histoire (Madame Kovarian, par exemple). Car chez Moffat, le véritable méchant, c’est l’esprit de ruche (les Anges Pleureurs); les alliances, les corporations (Great Intelligence); ou les groupuscules (le Silence); (bientôt: les Seigneurs du Temps ?). Bref, chez Moffat, le vrai méchant, c’est la multitude, une entité supérieur à l’individu. Même la révision du Maitre, ou Missy, n’est encore une fois qu’un rouage d’une plus grande machinerie (on retombe souvent sur le même thème du mécanisme, non ?).

Bref, on se répète (cette fois-ci beaucoup), The With’s Familiar est un épisode déséquilibré, qui manque de faire valoir le rôle de l’assistante. Je me suis toujours demandé ce qui arriverait aux compagnons huppés du Docteur lorsque leur secret est éventé ? La réponse oscille entre « pas grand chose » et « figuration ». C’est d’autant plus dommage que la (re)transformation en Dalek de Clara Oswald (S07E01; Asylum of the Daleks) aurait pu être l’occasion pour l’auteur de relancer le personnage mais elle finit encore une fois par valoriser le Docteur dans un épisode toujours un peu plus égo-centré*.
Ego-centré s’il n’était mis à l’épreuve par plus égocentrique que lui, l’agaçante Missy, nouvelle femme de caractère après River Song, qui vole clairement la vedette à tout ce beau monde. Est-ce à dire que les frasques répétitives du Docteur, telle qu’édictées par Moffat, amenuisent l’intérêt du show lorsqu’on contemple, amusé, les agissements chaotiques et libres de l’actrice Michelle Gomez ? Il n’y a qu’un pas.

Reste des dialogues savoureux et quelques bonnes idées (la traduction Dalek, l’apprentissage de la pitié qui courrait déjà à la fin de la cinquième saison lorsque River Song torturait un Dalek - The Big Bang), malheureusement éclipsés par les tics caractéristiques de la série sous sa forme actuelle. C’est bien peu pour l’introduction d’une nouvelle saison et encore moins pour un double-épisode de Steven Moffat.

La suite ?


[size=85]* Si le reste de la saison est du même acabit, on comprend que l’actrice Jenna Coleman[/size] décide de quitter le navire. [/quote]

Tiens, je viens de regarder les deux premiers épisodes de la saison 9, et je suis assez d’accord avec toi sur l’ensemble de ton analyse, si ce n’est que je suis faible et donc j’aime toujours bien me prendre ma dose de Docteur (bon, le twist, est un peu trop facile je trouve, ça rappelle des fins de l’époque de Tennant).
En revanche, y a un truc qui m’a échappé pour la fin (faut dire qu’apparemment, y en a une qui exprimait bruyamment sa volonté de vouloir voir le Docteur au lieu de dormir) et je suis sûr que tu vas pouvoir m’éclairer :

pourquoi les vieux daleks morts et pourrissant dans leur cimetière/égout sont fâchés après les plus récents ?

En un sens, ils sont énervés d’être abandonnés dans les égouts, telles des ordures pourrissantes et agonisantes qui ne peuvent mourir, sans que ça n’émeuve personne. Mais, surtout, ils veulent retourner dans une armure et ainsi retrouver une forme de vie. C’est plus une volonté de remplacer les jeunes que de les tuer.

Ah, c’est une idée que j’avais comprise en filigrane, mais n’ayant pas tout entendu, je n’étais pas sûr ! Merci !

Pareillement, j’adore toujours Doctor Who. Les hauts et les bas, ça fait partie du concept. Malgré mes critiques, je ne me ronge pas les ongles à chaque saison. Je sais bien que le changement arrivera, et puis encore une fois, et puis une autre… Parfois on gagne, d’autre non. C’est une loterie Doctor Who.

D’ailleurs, si j’aime bien Broadchurch, le créateur Chris Chibnall - supposé successeur de Moffat - ne m’a jamais réellement convaincu comme scénariste de la série. Donc, je ne suis pas certain de gagner au change. Ou peut-être que si.

[quote]En revanche, y a un truc qui m’a échappé pour la fin (faut dire qu’apparemment, y en a une qui exprimait bruyamment sa volonté de vouloir voir le Docteur au lieu de dormir) et je suis sûr que tu vas pouvoir m’éclairer :

pourquoi les vieux daleks morts et pourrissant dans leur cimetière/égout sont fâchés après les plus récents ?

Je ne sais plus vraiment. Parce que les Daleks sont juste des gros salopards, même entre-eux ? Je crois me souvenir d’une vague explication impliquant une sous-race mutante de Daleks utilisée de force comme égout d’où leur mécontentement lorsqu’ils reprennent conscience.

Ou peut-être pas. C’est loin pour moi, quatre mois. ^^

[quote=« Jim Lainé »]J’ai entamé cette saison, et bizarrement, j’aime beaucoup.
Pourquoi bizarrement ? Parce que j’avais perdu, lentement mais sûrement, mon intérêt pour la série depuis la fin de la période Davies.
Je crois que j’ai boudé la série, au point de ne pas regarder les diff VF, et ça sans doute que je me suis purgé de mon trop-plein, ce qui m’a permis de reprendre goût au truc.
Et je me dis qu’il va falloir que je reprenne les deux saisons précédentes dans l’ordre, avec cet intérêt renouvelé. Histoire de savourer un peu.

Au-delà de ça, j’aime bien la structure (j’ai vu cinq épisodes : deux two-parters et un stand-alone), les histoires ne débordent pas trop d’un épisode à l’autre comme au début du règne de Moffat, on n’a pas l’impression non plus qu’il se perde dans de grandes envolées qu’il ne tient plus, les dialogues sont enlevés et souvent plein d’humour (y a notamment des jeux sur le langage, sur l’énonciation), les décalages sont hilarants (Beethoven à la guitare électrique, la musique de Benny Hill…), bref, y a un côté enjoué, rigolard, déconneur, qui me semble correspondre à ce que j’ai aimé pendant un temps.

Va vraiment falloir que je reprenne les saisons précédentes, maintenant que je me suis sevré et que je goût est revenu.

Jim[/quote]

Oui, elle est vraiment bien cette saison pour ce qui est de l’humour ! En tout cas, ça me convient bien !
Après, dans l’épisode 5, la référence à la continuité ne m’a pas échappé, mais j’ai pas toutes les clés pour comprendre ce que le Docteur en pense, mais je suppose qu’on aura ça par la suite !