DOCTOR WHO (2005) - Saisons 1-13

Rigolo sans plus.

Et drôle.

Jim

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Valeria Favoccia

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Un jour

Jack (en mode) Bauer.

Ahah, ouais. Il y a peut être un peu de ça.

C’est ma série favorite, avec tout le bien et le mal. Je ne critiquerai pas la période de Chibnal. Elle me passe au-dessus et je m’en fous.

On m’a même prêté un compte Disney+. ça fait un an que je fais chier tout le monde avec mon décompte de merde.

Demain, je serais juste un gosse.

J’adore retrouver ce plaisir.

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Pour passer le temps :

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Samshawdraws : « Happy 60th birthday Doctor Who. You look really good for your age. »

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Oh, c’est bon ce retour.
Très dynamique, très juste et très élégant sur plusieurs concepts.

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Après une petite nuit dessus, je confirme mon avis positif. Mais tout n’est pas parfait.
Le début est poussif. L’introduction où le 14e Docteur et Donna parlent au spectateur pour rappeler leur lien est une bonne idée en soi, mais il aurait alors fallu réellement présenter le Docteur et ses principes pour un vrai rappel général, ça fait limité là et ce n’est pas pleinement maîtrisé. Les premières minutes sont maladroites, avec un Docteur là « comme ça » et un côté pataud de la rencontre avec Donna et sa famille. La découverte de la créature est bonne, mais ça s’emballe vraiment quand le Docteur les rejoint. Et là, ça ne s’arrête plus ! Je retiens un énorme rythme alors, beaucoup de dynamisme, beaucoup d’action (on sent le budget et les moments de bagarre) et beaucoup d’événements. Ce rythme est très prenant et agréable.
Sinon, en soi, l’épisode est bon. Sur le fond de l’histoire, ça fonctionne avec la créature même si des choses se voient venir, hein. Surtout, je retiens la très bonne gestion du cas de Donna, bien traité, émouvant, avec un gros flip et ensuite des explications élégantes. Je le redis, je trouve que Russel T Davies a imaginé des éléments très justes, très élégants pour Donna, mais aussi sa fille en transition. L’inclusion des minorités est ici très juste et solide, sans que ça soit trop visible ou lourd. La fille Rose l’incarne bien (superbes moments sur ça d’ailleurs, avec la discussion entre Donna et sa mère sur leurs maladresses en parlant à Jason devenu Rose), mais aussi la scientifique rousse en fauteuil à gadgets UNIT, qui est très cool. C’est d’ailleurs agréable de revoir UNIT, la proclamation des ombres ; ça fait plaisir.
Sinon, le 14e Docteur aborde son cas et on n’en sait pas plus. Il est nouveau, il n’est pas le 10e, mais a repris ce visage. Pourquoi ? Il cherche, pense un moment avec Donna que c’est pour dire adieu, elle évoque une deuxième chance pour mieux faire… A voir, ce n’était pas le point essentiel ici mais c’est abordé solidement. Comme les références à la 13e Docteure, avec un petit commentaire juste de Donna et Rose sur le fait que la Docteure aurait tout compris mieux, elle. Le moment est bon et l’hommage est juste.

Un vrai bon épisode donc, pas formidable car quelques maladresses (le début poussif, la créature et son destin prévisibles). Mais un vrai souffle, une dynamisme, un rythme, de bons acteurs, une réalisation de qualité, des effets spéciaux réussis (le sort de Londres, wow), et le plaisir de retrouver Donna, sa famille, Tennant… dans un vrai bon épisode, très juste, fin, élégant et prenant. Qui en plus donne envie de voir la suite.
C’est déjà énorme. C’est cool. C’est top. Ça nous a donné le sourire.
C’est un retour réussi. C’est Doctor Who !

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J’ai passé un super moment. Même si j’adore le personnage et son univers, j’avais un peu lâché la série ces derniers années parce que je n’arrivais plus à suivre les diffusions. Je n’ai donc pas fini l’ère Capaldi ni celle de Jodie Whittaker mais ce n’est pas grave puisqu’à chaque fois les régénérations sont suffisamment bien pensées pour que le spectateur puisse prendre le train en marche. Certes Russell T Davies s’inscrit dans un premier temps dans sa première prestation mais les éléments sont bien expliquées par les commentaires du Docteur et de Donna en début d’épisode. C’est quelque chose qui fait très comic-book et ce n’est pas étonnant car le scénariste a choisi d’adapter le scénario d’une bande dessinée Dr Who de Pat Mills et Dave Gibbons (période Tom Baker…des excellents comics superbement dessinés) pour son retour et cela fonctionne très bien !
Il y a un côté nostalgique dans le fait de retrouver Donna et sa famille, mais pas que…c’est aussi intéressant de découvrir ce qui leur est arrivé, avec des thèmes traités de manière très juste. Et quand l’action démarre, le rythme ne se relâche jamais. RTD intègre très bien les rebondissements de la BD avec Beep the Meep tout en offrant une belle résolution au destin de Donna Noble…c’est drôle, touchant, palpitant…
Le mystère sur le retour du visage du 10ème Docteur est pour l’instant bien dosé. Le Docteur s’interroge, et il n’est pas le seul, et ce sera à la suite de nous en dire plus…
De l’humour, de l’action, du drame, une créature irrésistible, des acteurs à l’enthousiasme communicatif, une dynamique qui rappelle de bons souvenirs…ce retour est également pour moi un divertissement très réussi. Vivement la suite !

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Ca passe pas encore en VF ?

C’est sur Disney +.

Punaise… je vais manquer d’arguments auprès de ma femme.

Je te conseille sa dernière saison, la 10. Je n’ai pas aimé le Capaldi de la saison 8 (trop froid, dur, sec), la saison 9 m’a lassé (l’hybride, pff…) mais la 10e saison est pour moi un bijou. Ma saison préférée, avec un 12e Docteur formidable, différent et des assistants tops.

Avec la voix VF habituelle du Docteur, aussi.

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Ouais elle est pas mal la dernière saison.

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Relou Clara, sur la fin, quand même.

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