DOOM PATROL (Saisons 1-4)

ça fait sacrément retouché, quand même !

C’est l’effet voulu…

Avec le best James Bond.

Si je pose la question, c’est que c’est réussi, alors, non ?

C’est un effet que je vois de plus en plus également dans la photo, un effet de mode je suppose

Pourtant c’est pas un effet nouveau, il fait partie des plus vieux sur photoshop. C’est l’effet plastique.

Le truc qui compte, c’est que c’est bien.
C’est weird. Une équipe de super-héros assumée, mais qui ne fait pas super-héros.
La pose de Robotman est un bonheur.

Ils ont aussi dégagé l’acteur qui faisait Niles Cauder dans Titans, non ?

Yep !

Ah oui tiens je n’avais même pas remarqué…

Il n’était pas impressionnant dans le jeu.
Timothy Dalton, c’est classe. Il était très bon dans Penny Dreadful.

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en phase

Teaser :

Entre ce casting quand même assez haut-de-gamme et des effets visuels finalement plutôt dans l’esprit du matériau d’origine, je suis de plus en plus curieux, perso…

Je ne sais pas si tu as vu Titans mais l’épisode qui y introduisait l’équipe et son « fonctionnement » fonctionnait plutôt pas mal.

Non, j’ai pas vu mais ça me rend curieux justement.

Une superbe famille dysfonctionnelle.

On n’est pas souvent d’accord, mais là, je crois que si.

Jim

Ha ouais,toi aussi,c’est ton préféré?

Cool.

Pareil. Par contre faut pas espérer une diffusion prochainement sur Netflix. Au mieux, si ça se fait, l’été prochain.

J’aime ses deux films pour des tas de raisons.
Le premier parce qu’il annonce (sans doute à son corps défendant, vu les dates) la nécessaire transformation du personnage, scorie de la guerre froide qui est obligé de changer, et le jeu froidement ironique de Dalton renforce le truc.
Le deuxième parce qu’il travaille sur de nombreux trucs liés au mythe : le permis de tuer, les références au mariage et au veuvage, l’amitié avec Felix Leiter, l’absence de gadgets voyants qui témoigne d’une volonté de revenir aux sources… Rajoutons à cela l’un des plus sympas « plant / pay off » de la saga (voir du cinéma mainstream), deux James Bond Girls qui contribuent à redéfinir leur rôle dans la série et à moderniser l’image de la femme, un Bond teigneux et jusqu’auboutiste, des méchants formidables, des répliques qui tuent (« Blanchis-moi ça ! »), des piques envers la religion, un Q sur le terrain et plein d’autres choses qui font de ce film l’une des meilleures interprétations cinéma du personnage.
Et en plus, il me semble que c’est le premier que je suis allé voir en salles, et il fait ouvertement référence au premier roman de Fleming que j’ai lu.
Je me dis que si la production avait continué sur sa lancée, on aurait pu avoir un Bond modernisé vingt ans avant Craig.
(Bon, après, j’aime bien les Brosnan, et particulièrement le premier, qui continue un peu sur la lancée, avec une réflexion sur l’après guerre froide et un personnage désabusé, mais on sent bien que la production lorgne vers l’humour et les gadgets de la période Moore, tendance qui ne fera que s’amplifier au fil des épisodes brosnaniens…)

Jim

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