D’ailleurs, me vient une question à l’esprit : Animal Man non plus, ça n’a pas été traduit ?
Jim
Il semble que l’accueil critique du troisième épisode soit un poil plus mitigé que celui du formidable « two-parter » qui a ouvert cette saison ; perso j’aime toujours autant ce que je vois, même si le show est peut-être entré dans sa phase routinière (et je dirais que ça se sent surtout sur la mise en scène, moins « ample » que celle du premier épisode).
Routinier, faut quand même le dire vite, tant l’épisode multiplie les séquences what-the-fuck et jubilatoires. Mention « très bien » à la séquence des marionnettes nazies (oui, oui), très « Team America » dans l’esprit, et au massacre final (dont on ne connaît pas encore tous les tenants et aboutissants à ce stade, il semblerait)…
Et que dire de la dernière scène, où les auteurs osent introduire un concept appartenant à la BD d’origine, mais tellement « autre » qu’on était loin d’imaginer qu’il trouverait le chemin de cette adaptation à l’écran ? Perso j’ai hurlé de bonheur à la vision de cette séquence…
Les séquences « émotion » sont toujours au rendez-vous et ne déméritent pas : si le passé tragique de Larry Trainor ne relève certes pas de l’inédit au niveau du contenu narratif, force est de constater qu’elles font mouche et serrent le coeur, et que les acteurs s’en sortent remarquablement bien.
Je continue à mordre et pas qu’un peu. La suite, vite !!
Je pense que Jim faisait référence au seul run de Morrison, pour « Animal man », un run contemporain de celui sur « Doom Patrol »…
Tout à fait. J’aurais dû être plus explicite, mais cela me semblait clair.
Donc, pour résumer, les Animal Man de Morrison sont encore inédits, c’est ça ?
Jim
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Yep !
…et c’est une sacrée lacune !!
PEIO
Tiens, tu te mets à imiter Jim et moi et à signer tes messages ? ~___^
Tori.
Ha ha !! Non, je ne plagie pas Jim (et toi !), c’est juste que je signe tous mes mails comme ça ; je devais avoir la tête ailleurs…
J’imaginais un truc comme ça, pour que tu aies utilisé ton prénom plutôt que ton pseudo.
Tori.
La version Morrison ? Non.
Momo chez Dc hormis ses JLA et Batman (c’est tout de même pas mal), il y a pas grand chose d’édité. Les invisibles ne l’ont jamais été en entier, ses Doom Patrol jamais tout court, the Filth pas réédité depuis Panini, Vinamarama ou encore Seaguy sont totalement inédit, Kill your boyfriend est plus dispo… La liste est assez longue je dois dire.
Et c’est assez étonnant compte-tenu de ce qui avait dit par Urban il y a quelques temps, à savoir qu’à terme le but était de proposer l’intégralité du corpus morrisonnien chez DC (c’est-à-dire le plus gros de sa production).
Surtout que l’un des patrons d’urban n’est autre que l’ancien Denny Colt de Superpouvoir, auteur d’un excellent livre sur Morrison.
(Soit Yann Graff)
oui bon ben ça v ,j’avais oublié le nom et j’avais la flemme de me lever pour checker, je suis en deuil. Putain Prodigy, ça me fout le bourdon, ils vont pas aimer la musique mes clients demain.
Allez-y, les mecs, dites à tout le monde que Peter Parker est en réalité Spider-Man, tant que vous y êtes !!!
Jim
Hum. Il y a des manques, oui, et pas que des petits — les deux titres cités au premier chef. Mais tout de même… Kid Eternity, NOU3, Flex Mentallo, Joe the Barbarian, All-Star Superman, 52, Seven Soldiers, Final Crisis, Multiversity, Superman: Action Comics, Wonder Woman Terre-1… y a quand même quelques titres de dispo en VF !
Hein ?!?!?!
52 il est pas tout seul et bizarrement c’est surtout des maxi séries (seven Soldiers vient juste d’arriver et même pas sous ce titre).
Il manque tout de même de gros trucs (Invisibles, Doom Patrol, Animal Man, Aztek, Flash, The Filth, Seaguy. Et plein de plus petits.)
Mais j’avoue avoir oublier des séries que tu cites 
.
Effectivement à te voir procéder à cette énumération, ça fait quand même pas mal de trucs en VF. Mais c’est surtout l’absence des titres Vertigo (et ça va au-delà du seul cas de Morrison ; quid de cette perle méconnue qu’est « Shade The Changing Man » de Milligan ?) qui m’étonne perso.
Et « Doom Patrol », y’a quand même une petite actualité, là, qui aurait pu justifier sa réédition… Sans compter que c’est à mon avis le sommet absolu du travail de l’écossais, mais je perds vite toute objectivité quand je l’évoque.
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