Dommage, j’aime bien le style graphique de la couv’ !
Hé ouais, c’est la technique Marvel actuelle : la cover plus jolie que l’intérieur.
Jim
Marvel n’est pas exactement le seul à pratiquer cette approche. (Ça marche des deux côtés de l’Atlantique d’ailleurs.)
C’est exact.
Mais si on n’a plus le droit d’être gratuitement méchant, où va le monde ?
Jim
On rigole, mais ça m’est déjà arrivé de tomber sur des bouquins dont la couv était moche (ou ratée… Mais une couv’ moche, c’est aussi un ratage), alors que le contenu ne l’était pas.
Tori.
EMPYRE: CAPTAIN AMERICA #1
Written by: Phillip Kennedy Johnson.
Art by: Ariel Olivetti.
Covers by: Mike Henderson, Steve Epting.
Description: The invasion has made landfall! Captain America stands on the front lines - but when the threat goes global even he won’t be enough to stem the tides! Will Captain America be able to find allies willing to fight alongside him - or will he fall in the face of this intergalactic incursion?
Pages: 32.
Price: $3.99.
In stores: July 29.
Source : www.comicscontinuum.com
Elle est pas mal, cette couv’ d’Olivetti.
Je ne pense pas que ce soit de lui.
En revanche, les planches sont pas mal.
Jim
Ceci expliquerai cela, alors. Je peine à le reconnaitre. Mais je ne demande qu’à être agréablement surpris.
Covers by: Mike Henderson, Steve Epting.
Il fait l’intérieur par contre visiblement.
Et la variant par Epting :
Bon, c’est pas fou.
Phillip Kennedy Johnson nous sort un épisode passe-partout, où Cap’ vient aider des soldats près de Washington, obtient un refus d’un général pour aller aider en Amérique du Sud les résistants face à l’invasion principale, mais y va quand même avec des soldats motivés. Tandis que, hein, l’un d’entre eux est infecté et cause des dommages.
Bref, rien de neuf, rien d’original, rien de vraiment bien. Les dialogues sont basiques, même le discours de Cap’ est faible. Tout est assez creux, même si Ariel Olivetti a des planches correctes, efficaces. Heureusement bien loin de son style figé d’il y a quelques années.
Un tie-in inutile et anonyme. Ni bon, ni mauvais ; à oublier.
EMPYRE: CAPTAIN AMERICA #2
Written by: Phillip Kennedy Johnson.
Art by: Ariel Olivetti.
Covers by: Mike Henderson, Luke Ross.
Description: Earth’s defenses are being overrun! With his back against the ropes, Captain America reaches out for aid…but is there anyone left to hear the call?
Pages: 32.
Price: $3.99.
In stores: August 12.
Source : www.comicscontinuum.com
Oh put$in, c’est chiant.
Bon, j’ai carrément survolé les deux tiers tellement ce récit m’endort. Bon, Captain America mène quelques soldats, ça se tape contre les Cotati, ça discute avec des Kree/Skrulls qui ne font pas attention aux civils. Ils discutent le soir de vieux récits déchirants de guerre, ils découvrent que l’un d’entre eux est possédé par un Cotati, qui a infecté un général qui veut soumettre les responsables américains. Mais Captain America a compris et stoppe tout, convainc Humains, Kree et Skrulls de s’unir pour la bataille de Mexico City.
Voilà. C’est complètement prévisible, lent, lourd et chiant. Ariel Olivetti livre des planches correctes, mais pas aussi jolies ou intenses que sur Death of the Inhumans.
Clairement un tie-in inutile. Une perte de temps et d’énergie, mais pas de talent - Phillip Kennedy Johnson et Ariel Olivetti n’abusent pas du tout des leurs, ici.
EMPYRE: CAPTAIN AMERICA #3
Written by: Phillip Kennedy Johnson.
Art by: Ariel Olivetti.
Covers by: Mike Henderson, Butch Guice.
Description: A mountain of trouble arises for Captain America and his ground forces – literally! Will Captain America and his allied soldiers be able to stop this terrain behemoth… or will they find themselves buried in an early grave in this shocking series conclusion?
Pages: 32.
Price: $3.99.
In stores: August 26.
Source : www.comicscontinuum.com
Oui c est clair que là… ca sert a rien…
Moi aussi je survole…
Final complètement inintéressant d’une mini-série qui ne l’est pas moins.
Rien à dire, en fait.
Cap’ mène des troupes contre le géant Cotati, les Kree/Skrulls trahissent en n’étant pas moraux, Cap’ combat l’ennemi, le pousse à la faute, le bat ; houra.
Phillip Kennedy Johnson n’a rien écrit ici hormis des lieux-communs sur le personnage. Ariel Olivetti livre des planches solides, son Cap’ est réussi, mais il n’y a pas de supplément d’âme ou d’envie.
Un tie-in inutile, une histoire inutile.