EMPYRE : CAPTAIN AMERICA #1-3 (Phillip Kennedy Johnson / Ariel Olivetti)

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EMPYRE: CAPTAIN AMERICA #2

Written by: Phillip Kennedy Johnson.

Art by: Ariel Olivetti.

Covers by: Mike Henderson, Luke Ross.

Description: Earth’s defenses are being overrun! With his back against the ropes, Captain America reaches out for aid…but is there anyone left to hear the call?

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: August 12.

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Source : www.comicscontinuum.com

Oh put$in, c’est chiant.
Bon, j’ai carrément survolé les deux tiers tellement ce récit m’endort. Bon, Captain America mène quelques soldats, ça se tape contre les Cotati, ça discute avec des Kree/Skrulls qui ne font pas attention aux civils. Ils discutent le soir de vieux récits déchirants de guerre, ils découvrent que l’un d’entre eux est possédé par un Cotati, qui a infecté un général qui veut soumettre les responsables américains. Mais Captain America a compris et stoppe tout, convainc Humains, Kree et Skrulls de s’unir pour la bataille de Mexico City.
Voilà. C’est complètement prévisible, lent, lourd et chiant. Ariel Olivetti livre des planches correctes, mais pas aussi jolies ou intenses que sur Death of the Inhumans.

Clairement un tie-in inutile. Une perte de temps et d’énergie, mais pas de talent - Phillip Kennedy Johnson et Ariel Olivetti n’abusent pas du tout des leurs, ici.

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EMPYRE: CAPTAIN AMERICA #3

Written by: Phillip Kennedy Johnson.

Art by: Ariel Olivetti.

Covers by: Mike Henderson, Butch Guice.

Description: A mountain of trouble arises for Captain America and his ground forces – literally! Will Captain America and his allied soldiers be able to stop this terrain behemoth… or will they find themselves buried in an early grave in this shocking series conclusion?

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: August 26.

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Source : www.comicscontinuum.com

Oui c est clair que là… ca sert a rien…
Moi aussi je survole…

Final complètement inintéressant d’une mini-série qui ne l’est pas moins.
Rien à dire, en fait.
Cap’ mène des troupes contre le géant Cotati, les Kree/Skrulls trahissent en n’étant pas moraux, Cap’ combat l’ennemi, le pousse à la faute, le bat ; houra.
Phillip Kennedy Johnson n’a rien écrit ici hormis des lieux-communs sur le personnage. Ariel Olivetti livre des planches solides, son Cap’ est réussi, mais il n’y a pas de supplément d’âme ou d’envie.

Un tie-in inutile, une histoire inutile.