Auteur : Jody Houser
Dessinateurs : Francis Portela, Marguerite Sauvage
Coloriste : Andrew Dalhouse
Couverture : Jelena Kevic-Djurdjevic
128 pages.
Prix de lancement de 10 euros (jusqu’au 31/08/2017, puis 13,95 euros)-
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Faith Tome 1 – RÉSUMÉ
Faith Herbert a toujours voulu être un super-héros, comme ceux de ses comics favoris. Lorsque Peter et son groupe de Harbingers renégats ont activé ses pouvoirs psiotiques latents, elle a enfin pu raliser son rêve. Avec les Renégats, elle a vécu des aventures incroyables et a même connu l’amour… mais les Harbinger ne sont plus, et elle va devoir apprendre à s’en sortir seule. Timide blogueuse pop-culture pour un site d’actualités le jour, elle devient super-héroïne la nuit dans le ciel de Los Angeles. Lorsque de jeunes psiotiques comme elle disparaissent sans laisser de trace dans toute la Cité des Anges, Faith «Zephyr» Herbert va devoir prendre ses responsabilités pour les retrouver sains et saufs.
La jeune scénariste Jody Houser (Orphan Black) fait équipe avec Francis Portela (Black Panther, Generation Zero) et la française Marguerite Sauvage (DC Bombshells, La Sorcière Rouge) pour une série acclamée par les lecteurs et la critique outre-Atlantique. Le phénomène Faith arrive en France !
Autrice : Jody Houser
Dessinateurs : Pere Pérez, Marguerite Sauvage
Coloriste : Andrew Dalhouse
Couverture : Kevin Wada
128 pages.
14,95 €
Faith Tome 2 : le piège californien – RÉSUMÉ
«Actuelle et indépendante, Faith emporte l’adhésion au bout de quelques pages» -Culture BD
«Faith est intelligente, sociable et une nerd sans complexe.» -MTV
«Comme un comics de super-héros girly, mais en mieux !» -LesComics.fr
«Une série aux débuts très prometteurs.» -Planète BD
«les comics Valiant ne cessent de nous surprendre, très agréablement !» -Sceneario.com
Dans une ville assiégée par des robots, des extraterrestres, des montres, et pire… des célébrités, les habitants de Los Angeles ne peuvent compter que sur une femme : la super-héroïne Faith ! Journaliste le jour et justicière la nuit, Faith a surmonté tous les obstacles avec confiance : les délais impossibles au bureau, les difficultés d’une relation longue distance avec son petit-ami, et même les quelques numéros manquants qui gâchent sa collection de comics ! Mais Faith ne sait pas qu’elle est sur le point de découvrir une menace qu’elle n’avait pas vu arriver, un individu bien décidé à se débarrasser d’elle définitivement ! Qui se cache derrière le masque de ce nouvel ennemi, qui pourrait bien être la seule personne capable d’enlever à Faith ses pouvoirs ?
PLUS : Faith et Archer vont dans une convention comics !
Je viens de terminer le premier tome. Il y a un truc fascinant avec Faith. Elle a tout du personnage que je ne supporte pas (la caricature même du lecteur qui rêve d’être le héros) et pourtant je ne peux m’empêcher de l’aimer.
Quand elle est apparu dans Harbinger, elle ma tout de suite gonflé. Grosse, renfermé, ne parlant que par référence, elle vivait sa vie par procuration. Mais à (à l’instar de la série dont elle reste le coeur), le personnage à su sortir de ce carcan. L’épisode qui revient sur la mort de ses parents et sa jeunesse fut pour moi le point de bascule et, dès lors, le personnage était admirablement bien traité (la scène avec Torque est vraiment belle)
il en va de même ici. La tonalité est tout de suite là. J’apprécie la manière que le premier épisode à de bien résumer l’histoire de Faith tout en faisant avancer l’intrigue. J’aime ce mélange bien dosé entre l’héroïne, la fan d’imaginaire et la jeune femme. Les références sont bien dosé aussi, ca passe par des citations claires et des trucs plus subtils (sa manière de se déguiser me fait penser à Supergirl).
L’histoire sinon est bien chouette (et fait écho à la série même) et le rôle des deux dessinateurs est bien réparti pour que ca fonctionne bien.
Auteur : Jody Houser
Dessinateurs : Meghan Hetrick, Joe Eisma, Marguerite Sauvage, Pere Pérez
Coloriste : Andrew Dalhouse
Couverture : Kano
128 pages.
14,95 €
Héroïne attitrée de Los Angeles, Faith fait rêver toute la cité des anges… Mais le cauchemar n’est jamais loin ! Une jeune psiotique évadée provoque le chaos dans les rues de la ville, Et Faith doit voler à la rescousse…. Cette jeune fille, qui peut drainer l’énergie de tout ce qui est à sa portée, n’est autre que la plus controversée des stars de la pop…
Ce nouveau volet de la série nommée aux Eisner Awards est toujours écrit par la Jody Houser (Rogue One) et illustré par Meghan Hetrick (Red Thorn) et Marguerite Sauvage (DC Comics Bombshells). Mais aussi : Faith rencontre Hilary Clinton, dans une histoire par la légendaire Louise Simonson (New Mutants) et Pere Pérez (Ivar) !
DATE DE PUBLICATION : 08/03/2018
Auteur : Jody Houser
Dessinateurs : Joe Eisma, Kate Niemczyk, Marguerite Sauvage
Coloriste : Andrew Dalhouse
Couverture : Elsa Charretier
112 pages.
14,95 €
Faith Tome 4 – RÉSUMÉ
DÉCOUVREZ L’ÉQUIPE ULTIME DE SUPER-VILLAINS !
Les plus terribles adversaires de Faith, Chris Chriswell, Dark Star, Murder Mouse et Sydney, se sont enfin unis. Le but de leur coalition maléfique : anéantir Faith Herbert. Ils se font appeler les… Faithless !
Conclusion de la série, par Jody Houser (Mother Panic, Star Wars: Rogue One) et un casting d’artistes de haut-vol : Joe Eisma (Archie, Morning Glories), Marguerite Sauvage (Shade, The Changing Girl) et Kate Niemczyk (Mockingbird).
Contient Faith (série régulière) #9-12. DERNIER TOME.
ISBN : 978-2-37578-108-1
La lecture du premier tome [Pour en savoir +] m’a beaucoup moins emballé que les extraits dithyrambiques qui illustrent la quatrième de couverture dudit recueil, et que ne le laisse entendre le commentaire de mon éminent « co-forumer » Lob (voir ci-dessus). Extrait :
Héroïne endomorphe, une rareté dans la population pourtant très nombreuse des super-héros américains, Faith s’est vue octroyer sa propre série, après un galop d’essai de 4 numéros, celui-là même dont je vais parler. […]
Écrites par Jody Houser, les premières pages de la mini-série démarrent sur un quiproquo, qui scelle clairement le pacte de lecture, tout en étant joliment troussé.
Rien d’impardonnable, mais Jodie Houser aurait besoin d’être mieux édité.
