FANTASTIC FOUR : NEGATIVE ZONE (Mike Carey / Stefano Caselli)

Fantastic Four: Negative Zone (One-Shot)

One of Reed Richards’ greatest discoveries is the extradimensional Negative Zone that exists parallel to our own universe. But now, an experiment that Reed began many years ago has come back to roost—and the Fantastic Four will once more have to venture into this hostile expanse in order to put things right! Plus! Ryan North and Steve Uy bring you the first adventure of those bizarre new heroes in the Baxter Building, the Fantastix!

Written by Mike Carey, Ryan North
Art by Stefano Caselli, Steve Uy
Cover by Kim Jacinto
Page Count 35 Pages
Release Date November 27 2019

Source : www.adventuresinpoortaste.com

C’est pas mal, ce petit one-shot. Rien qui ne marquera vraiment, mais deux histoires très correctes et bien menées, qui font passer un bon moment.
Le premier donne son nom et sa couverture au numéro. Mike Carey et Stefano Caselli emmènent les Fantastic Four dans la Zone Négative, retrouver une balise jadis envoyée et perdue par Reed ; qui vient d’être réactivée. Elle a été en fait reprogrammée par Annihilus et est devenue « mauvaise », s’en prend au groupe. Un joli tour de passe-passe règle ça (Sue les faisait passer pour invisibles pour éviter d’attirer leurs ennemis, elle les fait redevenir visibles, et ils laissent Blaastar détruire le machin). Avec une belle déclaration finale de et sur Reed, qui est allé rechercher les restes de la balise pour la conserver ; au cas où ça peut servir, avec une comparaison sur la variole, qui a été guérie par un autre virus, et le « devoir » des scientifiques de « garder » ce qui menace mais peut servir. Mike Carey est un auteur expérimenté qui assure, Stefano Caselli aussi. Rien de notable, mais agréable.
La deuxième histoire concerne les Fantastix, les « ersatz » des F.F. vus dans le début du run de Dan Slott. Ryan North les étoffe ici, en leur faisant chercher un sens à leur réunion et en leur faisant affronter une Skrull ersatz du Super-Skrull. Rien de notable non plus, mais une bonne création de caractères pertinents en quelques pages, des jolis moments d’héroïsme, des personnages qui « deviennent » des héros… ça fonctionne bien, c’est sympathique. Steve Uy a un style un peu froid, mais ça se lit sans déplaisir, et les planches sont fluides.

Un bon petit numéro.