FANTASTIC FOUR : WEDDING SPECIAL (Simone, Slott, Hembeck, Braga, Buckingham)

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Fantastic Four: Wedding Special #1

Come and celebrate the impending nuptials of the Thing and Alicia Masters with a Ladies Night Out as only the First Family of Comics can do it! Guest-starring She-Hulk, Medusa, Crystal and more, it’s the bachelorette party Alicia never expected—and one whose ribaldry will be interrupted by the arrival of a Surprise Super Villain! (And no, we don’t mean Johnny Storm!) Meanwhile, the Thing has an unexpected meeting with his future father-in-law, the Puppet Master! Plus, Hembeck! The Fantastic Four family tree! And more! R.S.V.P. at your local comics retailer this December, and don’t forget to kiss the bride!

Fantastic Four: Wedding Special #1 is out on December 12th, priced $4.99.

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Source : www.flickeringmyth.com

Bon, pourquoi pas.

Bon, soyons honnêtes : personne n’attend grand-chose de ce type de numéro, généralement fourre-tout, quasiment toujours l’occasion de récits anodins, de petites bluettes, par principe sans prétention, mais avec souvent quelques idées sympathiques, et de jolis moments.
C’est le cas ici ; même si ça ne vole vraiment pas haute.
Dans (Invisible) Girls Gone Wild, Gail Simone livre la traditionnelle soirée d’enterrement de vie de jeune fille d’Alicia Masters… qui évidemment tourne mal. La scénariste s’en sort bien, mais la future mariée est quasiment un personnage même pas secondaire mais tertiaire d’un récit rigolo, un peu touchant, mais où Alicia fait figuration. Les interactions sont bonnes, la confrontation entre Johnny et ses ex est cool, mais ça ne vole pas haut ; pis Alicia est vraiment de côté, ça gêne un peu. Laura Braga dresse des planches sympathiques, correctes ; propres, mais sans brio.
Father Figure voit Ben aller en prison pour demander officiellement la main d’Alicia à son père, dans une démarche old school qui correspond à la Chose… mais peut-être pas autant. Je doute que Ben s’empêche de se marier, si son beau-père refuse. Dan Slott force le trait ici, mais son twist final est bien fait et livre une jolie scène ; mais c’est peu, même si Mark Buckingham livre des planches solides, dans un style passé du meilleur effet.
Je n’ai pas lu le passage de Fred Hembeck, je suis trop réfractaire.
Bref, que dire en définitive ? Je sors du numéro sans déplaisir, mais j’oublierais ça vite. Complètement anonyme, et finalement inutile. Gentil, à peine, mais bien trop limité, et finalement fainéant.