FARMHAND t.1-4 (Rob Guillory)


*couverture à venir

Farmhand Tome 01

Jedidiah Jenkins est agriculteur, mais il ne cultive des organes humains « plug-and-play » à croissance rapide capable de réparer les corps. Perdre un doigt? Besoin d’un nouveau foie? Il a ce qu’il faut. Malheureusement, les étranges substances qu’il utilise ont quelques effets secondaires. Au fond du sol de la ferme familiale Jenkins, quelque chose de noir a pris racine et commence à grandir.

  • Editeur : Delcourt (4 septembre 2019)
  • Collection : DEL.CONTREBANDE
  • Prix : 15,95 EUR

J’ai lu le FCBD … c’est intrigant.

Mon prochain gros kiffe :heart_eyes_cat:

La couverture :

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Zeke revient dans sa ville d’origine, après des années de brouille avec son père, le vieux Jedidiah un agriculteur un peu spécial. Il a découvert un gène qui lui permet de faire pousser n’importe quel organe qui se greffe de manière instantanée.

Rob Guillory le dessinateur de Tony Chu (BD déjanté sur les dérives de la nourriture) revient ici dans une nouvelle série tout aussi déjanté et trash. Le style cartoony, permet beaucoup de trucs gores, et le mélange des genres est comme d’habitude excellent. Entre fermiers (faisant pousser des arbres et autres plantes d’organes), agences gouvernementales (employant des enfants ninja), monstres, et autres, c’est un vrai foutoir cohérent et jouissif. Malgré tout, il y a un fond. La critique de l’agriculture moderne et des produits chimiques toujours plus nombreux que l’on ingère.

Farmhand T02

Jedidiah Jenkins est un simple agriculteur, mais il cultive des organes humains « plug-andplay » à croissance rapide capable de réparer les corps. Ce qui semble être un remède miracle se révèle problématique lorsque ses patients se transforment en quelque chose de pas tout à fait humain ! Ils reviennent à la ferme Jenkins,pour trouver des réponses, mais surtout des solutions à leurs problèmes !

  • Broché : 160 pages
  • Editeur : Delcourt (4 mars 2020)
  • Collection : DEL.CONTREBANDE

Si j’avais beaucoup aimé le tome 1 de cette série je suis assez refroidi avec le second.

L’aventure continue, et il ne se passe pas grand chose, ça avance lentement, ce qui en soit n’est pas gênant, mais je trouve que rien n’est dévelopé dans ce tome. On en apprend plus sur la nature de ce qui se passe et le potentiel grand vilain, mais ça dure tellement peu de pages que du coup, j’ai eu un mal fou à lire ce second opus. Entre tunnel de dialogues ou les personnages hésitent sur quoi faire et quoi dire, explique pourquoi ils disent tel ou tels choses, et absence d’avancée ou de truc loufoque, c’est un numéro très plat et ce n’est pas pour me rassurer sur la suite. Clairement il manque la touche de John Layman pour donner du peps a l’ensemble. Même la critique de l’agriculture bien présente dans le premier tome à disparut.

Il m’aura fallut pas loin de 3h pour lire un bouquin que je lis en 1h d’habitude tant je me suis ennuyé et endormi sur ce bouquin. C’est vraiment dommage car j pense que le potentiel est toujours là, juste que la manière de faire n’y est pas.

Farmhand T03

Les graines cultivées par Jedidiah Jenkins s’infiltrent dans l’écosystème local à un rythme toujours croissant. Les recherches de ce fermier pas comme les autres pour trouver un remède miracle le mènent aux racines mêmes de la création. Mais ce qu’il y trouve va secouer Freetown et risque fort de briser toute sa famille. Et il ne semble pas y avoir de retour possible.

  • Relié : 160 pages
  • ISBN-13 : 978-2413016601
  • Éditeur : Delcourt (27 janvier 2021)

Farmhand T04

Jedidiah Jenkins est agriculteur. Il cultive des organes humains personnalisables, qui guérissent très rapidement, afin de sauver le monde. Mais une entité sombre s’en est servi pour transformer l’humanité en quelque chose de monstrueux…

  • Éditeur ‏ : ‎ Delcourt (31 mai 2023)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 160 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2413078819
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2413078814

La plongée dans le chaos se poursuit avec ce 4eme tome, c’est moins fun et plus dramatique : un drame qui prend de l’épaisseur surtout au vu du cliff de fin (à la hauteur d’un Tony Chu) :