68 %.
115 contributions.
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Jim
68 %.
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Et hop 100%
115 %.
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131 %.
233 contributions.
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Jim
Dernière semaine : 142%.
Dernier week-end :
165%
Dernier jour : 168%.
Palier 175 atteint. Il reste un peu plus de 3h.
Road to Halloween : prélude
Massimo Rosi continue d’explorer du folklore étranger, et cette fois-ci, c’est du côté de la Russie, et plus précisément aux prémices mêmes de la notion de vampire dans cette culture, qu’il amène pendant la 2ème Guerre Mondiale, en campagne sibérienne.
C’est une histoire de famille assez dure. Pas de moment drôle, jamais il me semble. Il fait monter la tension au fil des pages, avec un faux semblant, jusqu’à ce que ce soit sûr et qu’on se doute que la fin sera du même acabit que le récit.
Y a peut être du stéréotype, dans le perso de mère. Cela dit, je trouve que ça me parait crédible.
J’ai bien aimé les suppléments en fin d’album, qui amènent du contexte de la part de l’auteur (ou de la culture, justement, sur les vampires au sein de la Russie) et aussi sa vision du vampire dans la littérature. J’ai trouvé cela assez intéressant, et j’avoue, que bêtement, je n’avais jamais réfléchi cela comme ça. Cela étant dit, l’histoire se suffit en elle-même et fait passer les sentiments.
Faut dire que Fiorelli est plutôt bon dans l’expressivité des visages. La bouille ronde de la petite, plein d’innocence mais aussi de tristesse répond à celle plus tendu et anguleuse de la mère, pleine également de tristesse, mais aussi de violence. J’aime bien aussi sa manière de dessiner le vampire, qui a un côté innocent, inéluctable. Je pense qu’il s’est appuyé sur Nosferatu, y a des effets sur la lumières qui semblent renforcer cela.
Et puis évidemment, en noir et blanc, les quelques rouges qui apparaissent sont forcément renforcés.