FLASH ANTHOLOGIE (Collectif)

je m attendais à du Baron/Guice (pour montrer un autre flash) et à al periode où Barry a tué Nega Flash???(un DC Classique en vue?)

Du Mesmer Loeb je suis plus que surpris je m’y attendais pas, peu de Waid par contre dommage.

C’est peut être juste pour nous mettre l’eau à la bouche pour un éventuel gros volume Flash by Waid …

euh vu son run j’en veux plusieurs de tomes, pas 1 :wink:

[quote=« soyouz »]

C’est peut être juste pour nous mettre l’eau à la bouche pour un éventuel gros volume Flash by Waid …[/quote]

Ah le Flash de Waid est excellent, une des séries que j’ai le plus suivi en vo, je pourrai presque lui consacrer une boite entière.
Un Mark Waid Présente… The Flash, hmmmmm…

Quelques précisions supplémentaires sur le site Urban :

urban-comics.com/on-vous-dit-tout-sur-la-flash-anthologie/

La sortie du volume a été repoussée, non ?

à priori il est dispo

il est là avec des trads de Jim Lainé, Nkolavicth, Manesse et (je crois) Wicky

OK, j’ai dû mal comprendre.

Pour accompagner notre article sur l’anthologie, Urban a gentiment répondu a quelques unes de nos question : dailymars.net/flash-antholog … yann-graf/

(et mon avis sur l’anthologie : dailymars.net/on-a-lu-critiq … nthologie/)

La critique par Blackiruah est disponible sur le site!

Lire la critique sur Comics Sanctuary

C’est cool de voir que cette anthologie plaît à tout le monde.
Petite précision : Les récits de Flash ont toujours eu une ampleur énorme. Tu en parles en disant que ça commence après Crisis, et si c’est vrai pour l’anthologie, de manière générale, les histoires de Flash ont eu un impact phénoménal sur l’univers DC. C’est le super-héros dont le retour (via Barry Allen) a relancé l’univers DC. Dont le voyage chez Jay Garrick a défini la structure du multivers. Dont la manière de présenter les ennemis, de constituer une « rogue gallery » (avec le double négatif, des vilains pas vraiment vilains) et donc de contourner le manichéisme, a aussi montré la voie pour plein de choses.
Rétrospectivement, il y a un nombre de trucs incroyables posés dans la série de Barry Allen qui ont eu des conséquences dingues sur l’univers DC, mais aussi sur la perception que le public a des super-héros.
En comparaison, Green Lantern a posé moins de trucs, la série se contentant de quelques variations sur le thème de l’identité secrète. Les deux innovations dans Green Lantern, c’est la main de Krona autour de la galaxie, qui soutient tout Crisis, et bien entendu la prestation de Denny O’Neil et Neal Adams, qui ouvrent la voie à plein de choses sur le côté « adulte » du genre. Ce qui est déjà énorme, et fait des deux séries deux piliers de DC, et du genre super-héros en général.
Je continue pour ma part à avoir une préférence et une familiarité plus grande avec Flash, qui m’a toujours emporté davantage.

Jim

A ce sujet, je conseille l’article de l’avant-dernier comic box !
Mais c’est vrai que pour qui connait un tout petit peu l’univers DC, Flash a toujours eu de l’influence (je pense au Showcase, je pense à la première rencontre avec HJay, etc …)

Ah ? c’est pas venu avec les revues du style Super-vilain team up ?

[quote=« Jim Lainé »]Rétrospectivement, il y a un nombre de trucs incroyables posés dans la série de Barry Allen qui ont eu des conséquences dingues sur l’univers DC, mais aussi sur la perception que le public a des super-héros.
En comparaison, Green Lantern a posé moins de trucs, la série se contentant de quelques variations sur le thème de l’identité secrète. Les deux innovations dans Green Lantern, c’est la main de Krona autour de la galaxie, qui soutient tout Crisis, et bien entendu la prestation de Denny O’Neil et Neal Adams, qui ouvrent la voie à plein de choses sur le côté « adulte » du genre. Ce qui est déjà énorme, et fait des deux séries deux piliers de DC, et du genre super-héros en général.
Je continue pour ma part à avoir une préférence et une familiarité plus grande avec Flash, qui m’a toujours emporté davantage.[/quote]

Intéressant tout ça, merci pour ce retour.

Non, je ne pense pas. Chez DC, j’ai vraiment l’impression que ça vient de Flash. Les Rogues qui essaient d’établir un code d’honneur, c’est là. Mieux encore, Mister Element qui, à ma connaissance, est le premier vilain repenti du Silver Age (en tout cas, celui qui me semble être le plus ancien). A contrario, le Reverse-Flash démontre par l’exemple que ce n’est pas les pouvoirs ou le costume qui font le héros, et que, finalement, le héros est le reflet du méchant, c’est-à-dire une image inversée.
On trouve des trucs pareils chez Green Lantern (Sinestro l’ancien héros déchu, Carol Ferris la super-vilaine à son insu - reprise d’un truc déjà vu avec le Green Lantern du Golden Age, mais quand même -), mais Flash a commencé en 1956, il a eu le temps de poser plein de choses en amont (il a une longueur d’avance, en somme). J’ai pas calculé ni vérifié les dates, mais j’ai vraiment l’impression que c’est là que ça se passe en premier, comme souvent…

Jim

Il y a eu Two-Face qui était un précurseur,également.

Y a pas la Harlequin du GL du Golden Age???
Et il me semblait qu il y avait un perso type the cat ou un truc comme ca chez un indé (un vague souvenir d un Oldies but goodies de CB.com)

Apres y a quand même les débuts de Namor avant la guerre aussi…

mais Flash y a quand même une reflexion plus poussée… un coté plus organisée comme le dit Jim.
En même temps, il est le personnage qui relance les superheros dans l aprés comic code et qui se retrouve un peu à tout tester…

Je sais pas… Perso, il est un des 1ers héros que j ai adoré (periode Bates/Norvick)… même si j ai d un coup abandonné (j ai d ailleurs plus lu ces comics depuis et ne les ai plus).

[quote=« Fred le Mallrat »]Y a pas la Harlequin du GL du Golden Age???
[/quote]

C’est celle à qui je pense quand j’en parle un peu plus haut.
Mais surtout, je parlais du Flash du Silver Age. Le Golden Age, bien souvent, la formule est éprouvée et ne varie qu’à l’occasion de changements éditoriaux liés à des modes qui passent (c’est très frappant sur les personnages féminins, genre Vénus ou Moon Girl…). Mais au Silver Age, le succès est pérenne, le genre se construit réellement (notamment en s’échappant de la représentation de la guerre) et définit son cadre d’expression, ses limites (qui sont constamment testées). C’est lié à plusieurs choses : le fait que les héros aient des séries à leur nom (sans même l’adjonction « comics »), le fait que ce soit plus SF (censure oblige), le fait qu’il y ait des équipes créatrices stables ce qui permet de creuser certaines questions… Bref, un environnement de travail vraiment différent de ce qui se faisait vingt ans plus tôt.

Jim

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