Fleming : l'homme qui voulait être james bond

Dominic Cooper (Howard Stark dans Captain America : First Avenger) est Fleming…Ian Fleming.

Fleming est une mini-série en 4 épisodes qui reviendra sur les activités du futur créateur de James Bond pendant la Seconde Guerre Mondiale, années pendant lesquelles Ian Fleming conçut et participa à des opérations contre l’Allemagne Nazie au sein des services secrets britanniques.

Le teaser :

Avec Lara Pulver, inoubliable Irène Adler dans Sherlock (et malheureusement beaucoup plus oubliable Orsini dans le récent Da Vinci’s Demons).

Le sujet avait déjà été abordé dans un sympathique téléfilm de 1990, The Secret Life of Ian Fleming, qui prenait comme angle d’attaque l’idée que le contenu des romans était une retranscription de la vie passée de Fleming. Le sel du truc, c’est que l’acteur qui incarnait Fleming, c’est Jason Connery. Le fils de.

Jim

Elle est aussi au casting de la dernière saison de Skins. Miaouuuuuuuuuuuu!!!

Extraits & interview de Dominic Cooper (V.O.) :

La bande-annonce :

J’ai vu le premier épisode et même si c’est loin d’être désagréable ça ne casse pas 3 pattes à un canard.

J’en retire tout de même une légère impression de vacuité ponctuée scène de sexe très « porno chic », si je puis dire.

Reste que la prestation de Dominic Cooper est malgré tout captivante, c’est pour l’instant le seul attrait procuré par cet épisode.

[quote=« artemus dada »]…]

Reste que la prestation de Dominic Cooper est malgré tout captivante, c’est pour l’instant le seul attrait procuré par cet épisode.[/quote]

Malheureusement ce n’est pas suffisant du tout, le deuxième épisode sera pour moi le dernier de cette série.

je suis assez vert : je me traine depuis des années un scénar bouclé sur le sujet, sans trouver de dessinateur.

et là, pouf, ce truc utilise pas mal de petites choses que j’avais mises dans mon histoire. (le restau avec les Allemands, par exemple)

s’en va en grognant

J’espère que tu finiras par trouver un dessinateur, et surtout j’espère que ton scénario et meilleurs que celui de cette série télé.

En regardant le premier épisode je me suis demandé si j’aurais été aussi loin si cela n’avait pas été un biopic sur Fleming.

Et rétrospectivement je pense que j’aurais lâché l’affaire avant la moitié du premier épisode.

Arte démarre la diffusion jeudi prochain, mais bon, mais l’avis d’Artie ne donne pas envie de passer du temps dessus !

Sur le sujet, en BD, ça a déjà été fait:

ou tu te fais ton propre avis.
Artemus aime The Blacklist :mrgreen:

Il est vrai !

Plutôt pas mal : image classe, illustration musicale ironique, Dominic Cooper insolent, Lara Pulver impériale, un scénario qui oscille entre la description d’une carrière hors norme dans les renseignements et la peinture d’une vie sexuelle hystérique, le tout avec des dialogues effilés et des acteurs au bord du surjeu sans jamais y tomber (à l’anglaise, quoi). Les épisodes sont assez courts, qui plus est, ça donne un rythme soutenu sans être frénétique. Vraiment pas mal. Pas renversant, mais plutôt quali.

Jim

pareil que Jim

Après, c’est très apprêté, très léché, très joli.
Je continue donc à beaucoup apprécier le téléfilm avec Jason Connery et Kristin Scott-Thomas, plus brut de décoffrage, moins sexe, moins « porno chic » comme disait Artie.
Mais bon, on ne va pas bouder la qualité et l’élégance.

Jim

et puis en 4 épisodes ça le fait. sur un format plus long j’aurais peut être pas continué mais là c’est rapidos

et puis Lara Pulver!!! :smiley: :smiley: :smiley: :smiley:

Tiens Jim, c’est quoi pour toi « une vie sexuelle hystérique » ? :mrgreen:

Sinon, viens de voir les deux premiers épisodes (le replay, c’est quand même le seul intérêt de la TNT, mais ça peut être pas mal fait quand même !) et outre ce que vous avez dit, c’est quand même du vrai biscuit pour fan ! C’est un jeu de référence ces deux épisodes (enfin surtout le premier, mais y en a dans le deuxième aussi).

Tu es bien curieux, garnement.

Références ?
Genre, les trucs qu’on retrouvera dans les romans (et dans les films) ?
C’est un des gros plaisirs du téléfilm, mais dans ce dernier, c’est très très très appuyé. Ici, c’est plus élégamment dilué.

Jim