Nikolavitch à propos du jeune Miller (en dehors de DD) :
« La grande force de Miller, c’est son sens narratif, qu’il affine sur Daredevil pour le porter au sommet à la fin de son run (le n°191 est une leçon absolue dans ce domaine, l’ouverture de l’âge d’or Millerien au milieu des années 80). »