Et c’est un chouette entretien…tu es d’ailleurs crédité à ce que je vois…vous avez conduit l’interview en duo, en vous partageant les questions ?
C’était de qui, l’idée de lui montrer des vieux Strange avec ses DD censurés ?
Bon, les choses ne sont pas encore définitives, mais on s’achemine vers une conférence / table ronde autour de Frank Miller. Hélas, d’après ce que je comprends, il ne sera pas présent, mais bon…
Alors en gros, ça se tiendrait le samedi 24 octobre, dans le cadre de la Comicon, de 9h30 à 10h15 (un horaire de païen, je vous le concède). Venez nombreux. C’est court, mais ça sera bon.
Pas présent à la table ronde (décidément, soit j’écris trop vite, soit tu lis trop vite. Soit les deux.), ce que je regrette, parce que c’était l’idée quand j’ai lancé la proposition, mais apparemment son emploi du temps était déjà bien booké.
Mais il est toujours là pour le salon, je crois bien.
Bon, il est question d’une dédicace (de moi, Soyouz, pas de Miller), aussi.
Mais rien n’est sûr, c’est pas encore fixé, donc je vous en reparle dès que j’en sais davantage.
En tout cas c’est une bonne nouvelle. Pour moi les conférences, masterclass et autres intervention c’est ce pourquoi je vais aux conventions. Je serais content de t’y croiser Jim
À Toulouse ce week-end, j’ai signé quelques exemplaires de bouquins écrits chez les Moutons Électriques. Ça sera sans doute les derniers. En effet, l’éditeur, face à des stocks qui ne se vendent plus, a décidé de retirer de la commercialisation quelques ouvrages, dont Frank Miller : urbaine tragédie ou Stan Lee : Homère du XXe siècle.
Les plus retardataires parmi vous ont encore la possibilité de récupérer les bouquins chez un éventuel libraire qui aurait oublié de retourner ses invendus, dans les rubriques « occasion » des sites en ligne, ou directement auprès de la VPC des Moutons électriques, qui ont pris la précaution de conserver quelques poignées de ces ouvrages afin de satisfaire ceux qui se réveillent en retard.
J’en profite pour rappeler aux amateurs de livres (en général, hein, pas seulement les essais), que la vie d’un ouvrage, c’est quelques années. Si vous aimez un bouquin, achetez-le, au mieux dans l’année qui suit sa parution. C’est le meilleur moyen de participer à sa survie (et à celle de son éditeur).