Qu’il veuille une part du gâteau parce qu’on a exploité son image, c’est une chose… C’est l’angle pédopornographique que je critique : une fois encore, on confond nudité et sexualité/sensualité/érotisme/pornographie.
Il aurait suffit que ton visage ne soit pas reconnaissable pour que ça passe… Et encore, s’ils ont piqué la photo dans un magazine, le magazine en question aurait pu se retourner contre eux.
Je crois que ça a évolué un peu, notamment pour les photos d’enfants.
Cela dit, quand on se rend à certains événements particuliers, il est parfois indiqué (pas toujours de façon très visible) qu’on renonce à son droit à l’image dans l’espace où il a lieu (c’est le cas des conventions, par exemple).
Et puis, par exemple, pour une équipe de télévision qui filme en direct le Tour de France, et où l’on voit le public, ça me paraît compliqué de faire signer une décharge à chaque badaud !
Magnifique morceau, un des sommets du répertoire du Floyd (et pourtant j’aurais tendance à préférer leurs albums antérieurs). Elle a été payé en tant que simple musicienne de session là-dessus, comme si elle assurait des choeurs écrits au préalable, alors que c’est une improvisation de toute beauté, et qui s’étend sur toute la durée du morceau qui plus est…
Sacrée performance, en tout cas.
Effectivement, j’ai des souvenirs de cette chanson et surtout de son refrain.
Ca remonte bien à l’enfance.
On reconnaît bien Clare Torry en milieu de morceau.
Le mec qui a fait ça aurait pu mettre le vrai nom de la vache et citer le nom de l’album, quand même… Atom Heart Mother : c’est avec cet album que j’ai découvert Pink Floyd !
Et, bon sang, avec Alan’s psychedelic breakfast, j’ai découvert qu’on pouvait transformer n’importe quoi en morceau de musique, quand on a du talent !
Allez, je ne résiste pas :
C’est aussi le tout premier mp3 que j’ai téléchargé… mais il ne tenait pas sur une seule disquette !