GOTHAM CITY : YEAR ONE #1-6 (Tom King / Phil Hester)

Tom King ajoutera un nouveau chapitre à l’histoire passée de Gotham City dans une mini-série qui aura pour personnage principal le détective Slam Bradley.

Gotham City : Year One est dessiné par Phil Hester. Le #1 sortira en octobre.

GOTHAM CITY: YEAR ONE
The crime of the century in Gotham City…generations before DC’s Dark Knight!
Tom King and Phil Hester share the secret origin of Gotham City!

How did Gotham become such an active cesspool of criminal activity? Gotham City: Year One will explore the city’s fall from grace, two generations before Batman made it his mission to rid his hometown of dangerous villains.

Written by King and Hester, illustrated by Eric Gapstur, colored by Jordie Bellaire, and lettered by Clayton Cowles, Gotham City: Year One will follow private investigator Slam Bradley as he gets caught up in the « kidnapping of the century » – AKA the disappearance of infant Wayne heir Helen.

« Night falls quickly in Gotham City, » Hester says in the announcement. « The shadows cut across guilty and innocent alike. I feel lucky to be the artist to show you just how this city got so dark in the first place. »

He continues, « Tom has crafted a story that will echo across Batman lore past and present, and I hope the storytelling techniques Eric, Jordie, Clayton and I are bringing to bear will augment his razor-keen approach. I’m honored to play a small part in bringing Siegel and Shuster’s landmark creation to a new audience, and in giving one of DC’s oldest legends the white-hot spotlight he deserves. »

King adds, « Having written a ton of Batman comics, I can say it’s incredibly rare to write a book like this, where you can add something large and essential to the mythos of the Dark Knight, as Scott did with Court of Owls or Grant did with the introduction of Damian or Frank did with, well, everything he touched. »

« In Gotham City: Year One, Phil and I will take you to a noir-drenched past, where the secrets that made Gotham become Gotham, the sins that made Batman become Batman are finally and violently revealed. »

J’aurais préféré Tynion, mais pourquoi pas.

Tynion?
Moi depuis son dernier run sur batman… non

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Je trouve qu’il savait bien retranscrire la ville, et je pouvais « deviner » des plans des rues.

King peut faire un bon truc avec ça.

J’aurais préféré le retour de Rucka , ou Brub, mais bon on fait avec ce qu’on a.

Michelin fait ça bien aussi.

Je préfère Waze.

Hester depuis que je l’ai découvert sur green arrow je l’adore.

Je crois que c’est aussi là que je l’ai découvert.

Il me semble l’avoir vu sur des choses avant, mais pas grand choses. Je ne sais plus quoi.

Nouvel aperçu :

J’aime bien Hester même si je le préfère encré plus lourdement, à la manière de Green Arrow. :wink:

j’aime bien comme ça aussi. Je trouve ça à un côté début 2000 genre la période New gotham avec Brub et Rucka.

Ce n’est pas faux, Kab.

Je ne dirais pas que je te donne raison car ça serait accepter la défaite. :wink:

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Sympathique petit récit « noir », polar âpre déjà vu mais agréable.
Tom King se concentre ainsi en 1961, où des Wayne ont vu leur fille (« la princesse de Gotham ») enlevée. Slam Bradley est impliqué contre son gré, en prend plein la tronche, perd un copain et doit enquêter sur un étrange kidnappeur, qui utilise pour être reconnu une « bat-mark » sur ses lettres. En parallèle, au présent, le vieux Slam veut expliquer « qui il est vraiment » à Batman…
Bon, ça se lit bien ; mais ce n’est pas brillant non plus. Tom King, plus sage qu’ailleurs, caractérise bien son univers polar, et déroule une intrigue prévisible mais qui fonctionne bien. Sauf que… autant l’univers Batman que le genre convoquent des Greg Rucka et Ed Brubaker, et la comparaison est en défaveur de King.
M’enfin, ça se lit bien, même si je suis circonspect sur un énième secret sur « Bat ». Par contre, graphiquement, quel plaisir de retrouver Phil Hester ! Le dessinateur est ici formidable, ses planches sont tops et très justes.

Un début solide de ce qui cependant s’annonce mineur.

Toutafé. C’est une lecture agréable, honorable et assez humble finalement pour du Tom King. Phil Hester assure une belle partie graphique où les couleurs grisâtres des planches nous plongent efficacement dans l’ambiance polar souhaitée.

On dénote quelques indices (on aura sûrement droit à la Cour des Hiboux) et obstacles que - le pauvre - Slam devra bien franchir pour retrouver cette « Princesse ».

Enfin, il y a cette intégration d’une ségrégation raciale à Gotham envers les classes ouvrières noires notamment qui demandent un développement un peu plus solide. Toute proportion gardée, je me pose la question de savoir si King ne va pas tenter une « Lindelhof dans Watchmen » en ramenant cette thématique sur le devant. C’est juste une sensation.

Et qui etait très bien faite dans cette suite.

Written by: Tom King.

Art by: Phil Hester, Eric Gapstur.

Covers by: Phil Hester, Eric Gapstur, Cully Hamner, Natali Sanders.

Description: The bloody, bare-knuckled crime series continues! A bruised and battered Slam Bradley find himself embroiled in a shocking case as the infant heiress to the Wayne fortune has been kidnapped! But as with all things in Gotham City, nothing is what it seems… Can he solve the case in time to save a young life and secure the Wayne legacy or will the secrets of Gotham bury them all?

Pages: 40.

Price: $4.99 (Variants, $5.99).

Available: Nov. 1.

C’est un bon polar.
Sans surprise, sans folie, mais un bon polar. Tom King avance l’enquête de Slam Bradley dans une Gotham alors « parfaite », une cité sans crime et avec des meurtres constamment élucidés. La disparition de la fille des Wayne continue de crisper, et les manoeuvres pour donner suite aux demandes des kidnappeurs, liés au « Bat », sont difficiles et troublantes.
La gamine demeure disparue, Slam est paumé, et le père Wayne s’emporte. Slam est seul face à l’enquête, le défi, les ombres d’une cité dite solaire mais qui semble bien plus mystérieux.
C’est bien. Tom King livre un polar efficace, sans briller mais sans se planter. Phil Hester, surtout, livre une atmosphère parfaite, très maîtrisée et idéale.

Ca ne révolutionne rien, mais c’est un bon polar.

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