**s1ep4-6 **: la fin de l’épisode 6 change un peu la donne, heureusement car ça devenait un peu trop mécanique !
A voir comment ça va être exploité par la suite !
(sinon, y a qu’aux States que les femmes de flic ne connaissent pas le secret professionnel ?)
(sinon, côté gnangnantise, ça reste encore un peu soft !)
Un certain ordre n’a pas fini de faire parler de lui dans cette saison, dirait-on.
Si tu as les jeux Batman arkham, il est dans City, il faut le trouver à plusieurs reprises pour lui parler et il te donne rdv dans la suite. Et donc dans cette suite, arkham knight tu dois relever ses defis en quete annexe et enquêter sur lui pour en découvrir plus. Ca te permettra de te familiariser un peu avec le gars. Même si je suppose que dans Gotham, ca va être une version moins édulcorée de ce cher J-P
Avec Strange et Victor Fries, cette seconde moitié de saison titille méchament mon intérêt un peu perdu avec la première et quelques passges relous (même si c’est pas mal, quand même)
15 ans, tu exagères quand même ! Je ne connaissais même pas l’existence de l’internet il y a quinze ans (toujours est-il que Kab et Jack ont bien compris mon propos, parce qu’il y a quinze ans, je connaissais l’existence d’Azraël !)
Gotham s1ep7-9 : la fin du 9ème épisode annonce ce que j’avais envisagé côté amourette, en revanche, je n’avais pas vu venir celle des jeunots (possible que ça m’agace ça).
Sinon, ça se laisse voir, c’est quand même moins chiant qu’Arrow et surtout, les scènes sont amenées (là où dans Arrow elles arrivent par l’opération du saint esprit). Après, ça manque un peu de piquant, avec pourtant un épisode 6 et un épisode 7 qui annonçaient éventuellement deux trois changements radicaux, mais en fait non, tout se fait tranquillement … Pas la série du siècle, mais pas du niveau de Berchianti non plus !
s1ep10-11 : l’épisode 10 est ce que j’appelle un épisode prétexte, puisqu’en fait, on a surtout l’impression que l’intrigue est construite pour arriver à la situation finale voulue par les auteurs ! Pas terrible justement comme intrigue, pas compris la motivation des « tueurs ».
L’épisode 11 se passe à Arkham, et c’est déjà un peu mieux ! D’autres fils commencent à se tisser, mais est-ce que ça va être utilisé ?
Le personnage de Jerry incarnée par Lori Petti dans la série Gotham, décrite comme une « tenancière d’un club sous-terrain où on célèbre le meurtre de masse comme une forme d’art », se révèle sous des couleurs très reconnaissables pour le lecteur de comics.
s1ep12-13 : les lignes bougent, mais le rythme est un peu pépère, au point de se demander si les auteurs ont suffisamment à raconter pour tenir 40 minutes par épisode ! C’est dommage, parce qu’il n’y a pas vraiment de statu quo qui dur (cependant, j’aurais bien aimé Gordon plus longtemps à Arkham), donc ça ne s’installe pas non plus d’une routine générale, mais on a l’impression des fois qu’il y a des scènes qui sont trop longues ou qui ne servent pas à grand chose, surtout sur ces deux épisodes !
Et puis je me demande si les auteurs arrivent à gérer leurs nombreux seconds rôles …
s1ep14-15 : diptyque autour de la famille Crane, et donc sur les origines du futur épouvantail !
Pendant ce temps, les mafieux règlent leurs comptes et lient des alliances, sans que finalement les choses changent, sauf pour Fish. Et puis je trouve que les intrigues manquent de densité, et elles sont assez faciles dans la construction.
La relation entre Thompson et Gordon est assez agaçante (Gordon semble bien d’accord avec moi) et amène à des scènes assez débiles et complètement ineptes.
Faudrait pas que ça dure trop …