DC Comics has released a 6-Page Preview and Covers of Green Arrow #17 comic, that will be on sale on September 25, 2024 as a print and digital issue.
THIS OVERSIZED ISSUE FEATURES THE AFTERMATH OF OLIVER QUEEN’S ROLE IN ABSOLUTE POWER, WHILE ALSO SETTING THE STAGE FOR HIS NEXT CHAPTER!
From writer Chris Condon (The Enfield Gang Massacre, That Texas Blood) and artist Montos (Black Adam, Green Lantern: War Journal)!
The Official Synopsis of Green Arrow #17 comic:
TRIAL BY JUSTICE – Part One
First, Oliver Queen did the unthinkable to protect his family, and now must deal with the ramifications of his actions. Will his family and friends forgive him? Then, get ready for the opening chapter of the Emerald Archer’s next adventure!
GREEN ARROW #17
Written by Joshua Williamson, Chris Condon
Art by Amancay Nahuelpan, Montos
Cover by Taurin Clarke
Card Stock Variant Cover by Sean Izaakse
Card Stock Variant Cover by Cliff Chiang
ALL IN FOIL Variant Cover by Daniel Sampere
BLANK Variant CoverStreet Date: October 23, 2024
Pages: 48
Price: $4.99 (Main) | $5.99 (Card Stock Variant) | $6.99 (FOIL)
Rated: Teen
Legacy: #350
Un bon épisode, essentiellement en conclusion du run de Joshua Williamson. Le scénario de celui-ci occupe la majorité du numéro, avec Oliver obligé de gérer les conséquences d’Absolute Power. Durant l’événement DC, Green Arrow avait rejoint les rangs d’Amanda Waller, et trahi autant les super-héros que sa propre famille. L’on avait appris qu’il l’avait fait via un blocage mental du Martian Manhunter, pour aller « à fond » et avoir un élément psy pour revenir à lui-même, mais… ça laisse des traces. Après avoir appréhendé Peacemaker et Peacewrecker, puis confronté Amanda Waller en prison, Oliver dit tout aux super-héros et s’attend à un rejet, alors qu’il continue de penser qu’ils peuvent être dangereux - mais tous ont déjà voté pour lui pardonner. Il est surpris, sa famille grogne un peu mais fait avec. Oliver ne retourne cependant pas tout de suite avec eux sur l’île, car il revient aux bases - et à la lutte contre les entreprises mal intentionnées, avec un arc et des flèches !
C’est bien. Joshua Williamson range pleinement et intelligemment les jouets, en démontrant sa connaissance d’Oliver, de sa grande gueule et de ses postures. C’est bien fait, fluide, un peu facile sur le pardon mais ça fonctionne bien. C’est une conclusion agréable et intelligente, avec un Amancay Nahuelpan correct dans des dessins souvent jolis.
En parallèle, on a un petit début par Chris Condon et Montos, où Oliver est confronté par Batman puis change de costume, en parallèle d’un PDG tué par un super-vilain mystérieux. Bon, ça débute, mais c’est peu prenant. J’espère mieux au-delà de ce prologue un peu simpliste.
Une bonne conclusion, une reprise à confirmer.
DC Comics has released a 4-Page Preview and Covers of Green Arrow #18 comic, that will be on sale on November 27, 2024 as a print and digital issue.
The Emerald Archer heads back to the streets of Star City for his next adventure with the brand-new team of Chris Condon and Montos!
The Official Synopsis of Green Arrow #18 comic:
FRESH WATER KILLS – Part One
The cold-blooded murder of a Star City businessman announces the arrival of a horrifying and mysterious serial killer. When details of the victim’s dark business dealings emerge, Green Arrow must contend with hard truths from the city’s past and race to stop the murderer before they strike again.
J’aime bien l’intention globale, mais c’est terriblement lent et « commun » dans le rendu, hélas. Chris Condon montre ainsi d’abord un enfant trouvant « quelque chose » dans un trou près de son école, puis Green Arrow qui appréhende un petit voleur. Oliver rentre à la maison, découvre que plusieurs businessmen à la retraite sont tués. Il va enquêter, se rappelle en flashback avoir vu ces businessmen quand il était un fêtard invétéré mais avec une légère morale. Il est interpellé par une policière, qui évoque une autre attaque et Oliver se rappelle que la dernière cible, un Sénateur, était aussi dans son souvenir…
C’est lent, affreusement lent. Chris Condon bénéficie du dessinateur Montos, qui livre des planches travaillées, avec une belle atmosphère sombre et polar. Cela correspond à l’intrigue, et autant celle-ci que le graphisme me rappellent la période de Mike Grell sur le titre, avec un Green Arrow plus terre-à-terre et des intrigues plus « street ». A voir si ça continue, j’aime l’idée, mais l’exécution est lente, ça n’avance pas et c’est ultra attendu sur tous les événements.
Belle atmosphère, bonne note d’intention, mais il faut accélérer, et vite.