GREEN ARROW 80th ANNIVERSARY (Collectif)

J’aime bien ce duo et j’avais beaucoup aimé leur Green Arrow (beaucoup plus que le rebirth).
Ça donne envie en tout cas

Written by: Various.

Art by: Various.

Covers by: Dan Mora, Michael Cho, Daniel Warren Johnson, Neal Adams, Derrick Chew, Gary Frank, Howard Porter, Jen Bartel, Simone DiMeo.

Description: Celebrating the Emerald Archer’s 80th anniversary! For the last eight decades Green Arrow has been one of the premier (and loudest) characters in the DCU, always at the forefront of where the superhero genre is headed. This over-sized anniversary issue follows in those footsteps, as an all-star lineup of Green Arrow creators, alongside some of the gifted creators of the modern era who have been inpsired by Oliver Queen, unite to pay tribute to the Battling Bowman. See what the past, present and future have in store for Oliver Queen, Black Canary, Connor Hawke, Arsenal, Red Arrow, Speedy, and more in this epic special.

Pages: 100.

Price: $9.99.

In stores: June 29.

Quel superbe épisode anniversaire de l’Archer d’Emeraude! DC aura mis le temps mais aura trouvé un beau panel de créateurs. 80% des histoires sont bonnes à lire. Vraiment.

J’ai évidemment un regret et un demi-regret. Le regret, c’est de ne pas lire une histoire de Judd Winick, parce qu’il aurait trouvé le temps d"écrire une histoire et parce qu’il mérite une place dans ce book plus que Ben Percy, par exemple. Et un demi-regret de ne pas lire Kevin Smith (Phil Hester y est par contre, Dieu merci) car je me rappelerais très souvent son fabuleux run que j’avais dévoré en Semic book (ça commence à dater, nom de nom…).

Si je souhaite mettre en avant quelques histoires. Il y aurait la première de Tamaki et de Rodriguez dans un style cool et old-school (avec un Roy qui parle à Monsieur Queen sans sa barbichette), voire vieillot. Et c’est très bien rendu au global et beau à lire.

Celle de Tom Taylor et Nicola Scott. Vu la team, c’est un énorme gage de qualité sur le papier. Lire du bon Black Canary, c’est cool et ça fait du bien car ce personnage compte beaucoup. Il mérite beaucoup plus d’exposition surtout à l’heure d’un féminisme qu’elle pourrait incarner.

Après, il y en a des chouettes (Ram V) et des sympa (Hester. D’autres moins (Percy, je dois faire une fixette malgré la présence d’Ott Schmidt).

Enfin, il y a les deux pépites. Celle de Lemire qui prend la forme d’un épilogue à son run fabuleux sur la période maudite des New 52 mais qui l’avait révélé au grand jour avec son compère Sorrentino. On y retrouve un artefact vert brillant avec une pointe (la fameuse flèche) et une fin pour ce personnage d’Oliver Queen de cette époque. Magnifique avec un Sorrentino que je trouve sobre sur ce coup, surement du à la présence de Judy Bellaire (assez balèze).

Et évidemment, on ne peut pas passer à côté de l’hommage rendu du fils à son père, Larry à Dennis O’Neil. Sans textes mais avec imagination, le fisl retrace la vie du père avec une vibrante lettre d’amour à cette légende de notre passion. Les illustrations de Jorge Fornès sont tellement belles et montrent toutes les créations de DO. Magnifique hommage, vraiment.

Bref, si vous voyez le book, prenez le car il montre que Green Arrow est un personnage incroyable, de différentes époques, avec différents gimmicks (le socialiste, le New 52, la tête de con avec Hawkman notamment). En espérant que cela donnera des idées à nos éditeurs favoris de lancer une « belle » série sur Oliver Queen.

Une chance que cela sorte en version langue de chez JB Poquelin ? Les numéros anniversaires ne me disent pas grand chose d’ordinaire mais celui ci fait envie, surtout après ton retour…

Même en anglais, c’est très bien, tu sais. :wink:

C’est faux et tu le sais très bien.

Pour certains, en anglais, ce n’est qu’un livre d’images.

Tori.

Pas le temps de faire très en détail, mais un numéro anniversaire avec que des histoires sympathiques voire excellentes, c’est finalement assez rare.
Je recommande vraiment si vous avez l’occasion.

1 « J'aime »

L’occasion fait le larro(w)n.

C’est sympathique, oui, et c’est bien fait. J’ai passé un bon moment.
Mais ça devient quand même « redondant », dans le sens où ce sont les récits attendus d’un tel numéro-anniversaire.
Enfin, presque. Le chapitre du fils de Dennis O’Neill par Jorge Fornes, c’est d’une puissance et d’une émotion… pff. Enorme.
On devrait avoir plus d’histoires comme ça.