GREEN ARROW & GREEN LANTERN (Dennis O'Neil / Neal Adams)

Liens:
Le site de l’éditeur : www.urban-comics.com
La page facebook de l’éditeur : www.facebook.com/UrbanComics

Miam miam … je me régale actuellement avec l’Aparo, donc ça, ça devrait sentir bon aussi !

Pour ma part c’est un duo d’auteurs que j’ai découvert dans les dernières anthologies de chez Urban. Et je suis très intéressé par ce qu’ils font.
Je pense que je prendrai sûrement.

En revanche je vois qu’il y a 4 épisodes de Flash. Est-ce une erreur?

Je sais pas mais à vrai dire ça m’est égal je prendrai les yeux fermés ! Et je pleurai surement quand je l’aurai… Mais pourquoi y’a pas GL sur la couv ? xD

Ce seront les back up de GA/GL (relayé dans Flash parce qu’elle vendait mal ?) par les mêmes auteurs qui seront publiées.

Pitêtre qu’il est en 4 de couv’ ?

C’est bien ça. Le run de O’Neil et Adams fut un succès critique mais ça ne s’est pas répercuté sur les ventes. Après l’annulation, les aventures de GL furent publiées en complément de Flash jusqu’au retour de sa série 4 ans plus tard.

[quote=« Le Doc »]

C’est bien ça. Le run de O’Neil et Adams fut un succès critique mais ça ne s’est pas répercuté sur les ventes. …][/quote]

En fait j’ai une autre théorie qui est que cette série (mais pas seulement) a fait les frais d’une escroquerie de grande ampleur qui touchait alors la BD américaine.

D’un côté cette escroquerie a facilité l’émergence de titres tel que celui-ci, **DC **et **Marvel ** ne savaient plus où donner de la tête, compte tenu de la chute des ventes (apparente puisque ça participait de l’escroquerie) et donnaient leur chance à des projets pour le moins atypiques, voire ambitieux.

Mais il s’agissait d’un cercle vicieux : ce titre par exemple ne pouvait pas marcher, puisque les retours des invendus étaient falsifiés quand bien même ils se vendaient très bien sur les marchés parallèles. :wink:

Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus sur cette période faste en tentatives atypiques, ils peuvent aller . :slight_smile:

Pour ceux que cela intéresse, je vous propose un entretien avec Neal Adams ; il est disponible ici.

Très chouette entretien…et Spécial DC était d’ailleurs une excellente revue !

Pour ceux qui voudraient découvrir à quoi ressemble le run d’O’Neil & Adams, j’en propose un épisode, du moins la moitié, ici.

Bonne lecture. :wink:

Tout à fait d’accord avec toi.

Même si cela ne semble pas susciter beaucoup d’intérêt, je vous propose la fin de Neige sur la ville.

Bonne lecture.

C’est passionnant ça mais je t’avoue que je reste sur ma faim à te lire. Le bouquin que tu cites développe t’il plus cette histoire ?

(quand fut-il découvert ? Les conséquences dans le process de retour etc etc ? )

Enfin merci de l’avoir mis ca me fascine et si cela te dérange pas je te citerais bien tout cela pour l’article sur lequel je planche

Le bouquin en parle. Et les conséquences sont, en gros, que les chiffres étaient faussés, et que les éditeurs calculaient que certains comic books ne vendaient pas, alors qu’en fait, par des distributions « au noir », ils touchaient quand même un certain public. On peut donc estimer que certaines séries aujourd’hui « cultes » avaient touché leur public mais ont été arrêtées, « faute de ventes ».
Après, Gabilliet parle des années 1960. Voilà qui m’étonne. Pour posséder moi-même quelques comics « coverless » (des comics invendus, dont la couverture a été retournée à l’éditeur pour calculer ses ventes, et dont les pages ont ensuite été revendues dans des marchés parallèles), j’aurais daté cette transition de la pratique « coverless » à la pratique « affidavit returns » du milieu des années 1970. Ce qui correspondrait mieux à Deathlok, par exemple (mais on songe aussi au Green Lantern / Green Arrow et aux séries du Fourth World de Kirby).
Donc je m’interroge : était-ce progressif ? Était-ce en même temps sur tous les États ? Sais pas trop…

Jim

c’est mark evanier qui devellope egalement cette théorie au sujet de l’echec commercial du king chez dc dans ces prefaces au fourth world.

Et là on l’a tres mauvaise

[quote=« Lord-of-babylon »]

C’est passionnant ça mais je t’avoue que je reste sur ma faim à te lire. [/quote]

Ah oui, pourtant en me relisant je trouve cela assez complet compte tenu des informations que j’ai.
Ceci dit tu peux aussi faire des recherches de ce côté-là. :wink:

Pas beaucoup plus, ceci dit j’en ai fait un résumé.

J’ai hâte de lire ce que tu vas pourvoir déterrer sur le sujet. :slight_smile:

Mais avec plaisir.

Cool. Je précise juste que c’est un texte sur Green Lantern/Green Arrow.

(quand au reste je vais plancher dessus mais il me faudra plus de temps. Je vais déjà lire le bouquin que tu cites)

Il me semble que ce que tu dis, c’est aussi ce que je dis ; et si tu lis mon résumé cette escroquerie s’étend jusque dans les années 70.

:wink:

Oui, mais si le passage du « coverless returns » au « affidavit returns » se situe dans les années 1960, pourquoi j’ai des comics coverless du milieu des années 1970 ? Je ne devrais pas en avoir (disons qu’ils devraient avoir leur cover, quoi…). Donc je me dis que l’escroquerie en question ne se faisait peut-être pas partout, pas dans tous les États, ou pas partout à la même période, ou pas dans tous les points de vente… Il y avait peut-être des zones où ils continuaient à pratiquer la méthode précédente du « coverless returns », de sorte qu’on trouve encore des comics du milieu des années 1970 sans couverture.
Enfin voilà, je comprends pas bien. Je précise que je n’ai pas cherché plus avant, hein, je ne fais que manifester ma perplexité et mon grattage de tête.

Jim

Et hop ma bafouille sur Green Lantern/Green Arrow

dailymars.net/on-a-lu-green- … eal-adams/