Dans le Royaume de Myst, un tyran règne d’une main de fer sur la ville de Bree, ne laissant aux habitants que la peur pour survivre. Mais l’espoir renaît lorsqu’une jeune orpheline de notre monde découvre sa véritable destiné et devient la légende qu’elle est amenée à être.
Grimm Fairy Tales nous présente le monde des légendes des Frères Grimm et par extension des personnages des légendes urbaines, dans une version remaniée. Cet album se concentre sur le personnage de Robyn Hood (Robin des Bois) sous la plume de Pat Shand et le trait de Larry Watts.
Le mystérieux «Sheriff» terrorise la ville de Nottingham. L’aide de Robyn est une nouvelle fois requise, mais sur Terre, la police est à sa poursuite. Robyn trouvera-t-elle la force d’être l’héroïne dont Nottingham a besoin ou se laissera-t-elle envahir par ses propres démons ?
Reflexions Editions propose dans Robyn Hood : Origin les bases du personnage de Zenescope, reprise féminine du fameux Robin des Bois.
Zenescope, c’est cet univers qui publie des reprises des grands mythes et grandes légendes, généralement avec des personnages féminins, aux costumes et couvertures sexy… mais aux histoires très classiques et souvent efficaces.
Ici, Zenescope applique sa recette en injectant de la magie, des thèmes contemporains, une Robyn Hood transportée d’une vie misérable sur Terre (avec un premier épisode très dur sur ses drames) vers la dimension de Myst, coeur du Grimm Universe.
On suit ainsi la lutte de Robyn contre le Roi John, mais aussi son envie et besoin de vengeance pour ce qu’elle a subi chez elle.
Un récit très classique, trop classique, hélas particulièrement mal dessiné et avec de lourdes maladresses.
Dommage, car il y a bien du potentiel et quelques bonnes choses.
Oui et non.
J’avais bien aimé les deux récits sur leur Black Knight féminin et, pour lire actuellement Robyn Hood : Wanted, ça s’améliore.
C’est extrêmement classique et basique, mais ça fait le job.
Ah, merci.
Alors franchement, oui. 4/10, ce n’est pas bon mais ce n’est pas une cata’ non plus.
Il y a quelques bons aspects, et le canevas classique du récit reste « réconfortant ».
Du « vieux » Zenescope en plus ! La première mini-série a dix ans, mine de rien. Bon après, pour les avoir feuilleté assez régulièrement en VO, ça s’arrange pas vraiment par la suite. Mais il y a tout de même eu une série régulière dessinée en partie par Roberta Ingranata, et j’avoue avoir un petit faible pour les travaux de cette gente dame.
Deuxième tome pour Robyn Hood, version féminine du célèbre voleur chez Zenescope, l’éditeur VO qui propose un univers partagé sur les grands mythes et légendes, avec des adaptations féminines. Reflexions Editions propose cela en France et, après un premier volume trop classique, maladroit et graphiquement trop bas, cette deuxième saga s’améliore grandement.
Les auteurs restent en place, mais l’ensemble s’homogénéise, le scénario est plus fluide, plus dynamique, plus intéressant, plus pertinent ; mieux, tout simplement.
Le dessin reste objectif « faible », mais est plus cohérent, plus maîtrisé, et des efforts réels ont été faits.
Je n’en attendais rien, j’ai été agréablement surpris même s’il faut aussi limiter le retour - ce n’est pas « formidable », mais ça se lit bien, notamment via un final sombre qui fonctionne bien.