Le dessinateur Sylvain Vallée sur son compte Facebook le 29 mars 2023 :
Je ne vous ai pas beaucoup parlé de ma production récente en matière de bande dessinée. J’ai même été plus que discret sur les réseaux sociaux ces derniers temps… Et pour cause, je réalisais mon prochain album, sur scénario d’une plume montante du roman policier français (un indice dans les hashtags…), et je viens tout juste de le terminer.
Je vous en dis plus très vite sur cet album déjanté et iconoclaste !
Sylvain Vallée sur son compte Facebook le 18 mai 2023 :
Devant la pression et les interrogations des lecteurs, je vous annonce officiellement mon retour dans le game avec…« HABEMUS BASTARD » !
Une histoire qui paraîtra chez Dargaud en 2024, réalisée d’après un scénario original du talentueux romancier de polar Jacky Schwartzmann (qui vient de publier l’excellent « SHIT ! » aux éditions du Seuil que je vous conseille vivement de lire), mise en couleurs par la brillante Elvire DeCock !
Une cavale dans le haut-jura, un récit noir et drôle, où se mêle débrouille, nécessité, deal et clergé, avec l’écriture décapante de Jacky. Entre les frères Coen et Donald Westlake, mais à la sauce française…
Je me suis défoncé sur ce premier tome et j’attaque la seconde partie en ce moment même. Voici déjà un premier visuel qui j’espère vous mettra l’eau (pas bénite) à la bouche… À vous de me dire !
Le dessinateur Sylvain Vallée sur son compte Facebook le 1er mars 2024 :
« Je crois en un seul dieu, il fait 9 mms et il s’appelle Beretta. »
HABEMUS BASTARD tome 1/2.
Scénario et dialogues : JACKY SCHWARTZMANN ET SYLVAIN VALLÉE (d’après une histoire originale de Jacky Schwartzmann)
Adaptation, mise en scène et dessin : SYLVAIN VALLÉE
Couleurs : ELVIRE DE COCK
ÉDITIONS DARDAUD
En librairie le 3 mai.
Un homme de main n’a pas droit à l’erreur. Lucien le sait, son patron ne lui pardonnera pas. Il aurait pu faire n’importe quoi pour sauver sa peau : prendre un avion pour l’étranger et tenter de se faire oublier, s’engager dans la Légion ou même changer de tête. Mais il a trouvé mieux : une soutane. Sylvain Vallée (Il était une fois en France, Katanga, Tananarive) et Jacky Schwartzmann (Demain c’est loin, Kasso, Shit !) associent leurs talents pour ce polar décapant, drôle et délicieusement iconoclaste.
Jacky Schwartzmann est un auteur de polars : « Mauvais coûts » (La Fosse aux Ours), « Demain, c’est loin » et « Pension complète » (Le Seuil). Ses « romans sont aussi poilants que profonds », dixit De Caune dans ‹ Popopop ›, on retrouve ces deux qualités dans « Stop Work » (Dargaud, 2020) ! Dialoguiste hors-pair, il exprime sa vision grinçante de la vie en entreprise aujourd’hui. Il en parle en connaissance de cause : il vient enfin de quitter son travail dans une grande entreprise internationale (General Electric) pour se consacrer à l’écriture : un nouveau roman à paraître au Seuil en 2020, un livre chez Paulsen, écriture de scénario audiovisuel, etc. En 2024, il collabore avec Sylvain Vallée sur « Habemus Bastard », quand un tueur à gage choisit comme couverture de se faire passer pour un moine, ça ne peut qu’être explosif.
Sylvain Vallée est né en 1972. Ses premières publications révèlent très tôt son goût pour le cinéma et les univers populaires français. Après avoir assuré le dessin de la série « Gil St. André » (Glénat), il créé avec Fabien Nury la saga « Il était une fois en France » (Glénat), un succès public et critique, récompensée par le prix de la meilleure série au festival d’Angoulême 2011. Passé maître dans l’art de retranscrire les états émotionnels de ses personnages, son trait semi-réaliste expressif lui ouvre une palette de tons variée. En 2014, il réalise un épisode de « XIII Mystery », « Betty Barnowsky », (Dargaud), d’après un scénario de Joël Callède, pour ensuite créer l’iconoclaste « Katanga » chez Dargaud, dont l’intégrale paraît en 2023 chez ce même éditeur. En 2021, il réalise « Tananarive » avec Mark Eacersall (Glénat). Il lance, en mai 2024, un tout nouveau projet aux côtés de Jacky Schwartzmann, « Habemus Bastard », quand un tueur à gage choisit comme couverture de se faire passer pour un moine, ça ne peut qu’être explosif.
Le dessinateur Sylvain Vallée sur son compte Facebook le 13 mars 2024 :
HABEMUS BASTARD
Making of #2 : L’homme orchestre…
La supervision des couleurs du tome 1 étant terminée (Elvire, tu as fait un travail splendide en un temps record !), j’avance sur les encrages du tome 2 (déjà entièrement crayonné, heureusement…), tout en travaillant avec les équipes de Dargaud sur le marketing pour la « grand messe » de lancement du tome 1 (à paraître en mai 2024) et sur le dossier de presse qui l’accompagne, tout en préparant les suggestions et indications pour les couleurs des 21 premières planches du tome 2 (à paraître en octobre 2024) dont j’effectue moi-même les scans.
Je vous jure qu’il faut "avoir la foi"
Heureusement, j’aime ça et je suis bien entouré !
Habemus Bastard Tome 1 et 2 :
Scénario et dialogues : Jacky Schwartzmann ET SYLVAIN VALLÉE (d’après une histoire originale de Jacky Schwartzmann)
Adaptation, mise en scène et dessin : SYLVAIN VALLÉE
Couleurs : ELVIRE DE COCK
ÉDITIONS DARGAUD
Sylvain Vallée sur son compte Facebook le 6 mai 2024 :
Le tome 1 vient de paraître, il est entre vos mains. Il ne nous appartient déjà plus.
Le tome 2 est dans les tuyaux, sur mon bureau, pour une parution octobre prochain.
Extrait d’un encrage en cours.
HABEMUS BASTARD Tome 2/2 - EN LIBRAIRIE EN OCTOBRE 2024
Scénario et dialogues : @Jacky SchwartzmannET SYLVAIN VALLÉE (d’après une histoire originale de Jacky Schwartzmann)
Adaptation, mise en scène et dessin : SYLVAIN VALLÉE
Couleurs : @Elvire DeCock
ÉDITIONS Dargaud
Habemus Bastard, est de plus sympathique, ce voyou qui fait une gaffe et voit l’opportunité de se cacher sous la défroque est des plus drôle. Le bonhomme ni connait rien et fais au début ce qu’il peut, mais finalement, les mauvaises habitudes reprennent très vite.
C’est drôle, très bien dessiné par Sylvain Vallé (Il était une fois en france, Katanga…) et en plus le second tome sortira en octobre de cette année.
Il ne faut donc pas hésité à ce lancer dans ce petit dyptique.