HELLA ET LES HELLBOYZ t.1-2 (Kid Toussaint / Luisa Russo)

Hella et les Hellboyz

La maison du 21 rue Duroc a mauvaise réputation. Les portes et fenêtres de cette vieille demeure sont murés depuis longtemps. Meurtres, suicides, incendies s’y sont succédés, et elle exerce une étrange fascination sur les adolescents du coin. Et c’est en voulant faire le malin que le petit copain d’Hella y disparaît. Adolescente en décrochage scolaire et en rébellion contre ses parents, Hella a peu d’amis et passe son temps à zoner. Elle retourne donc dans l’inquiétante demeure… et se trouve littéralement projetée en enfer. Plus précisément, dans le premier cercle de l’enfer. Perdue et agressée, Hella reçoit l’aide des Hellboyz, 3 demi-démons sur BMX et rollers qui s’avèrent être des anciennes victimes de la maison. Elle apprend que pour sauver son ami, elle devra traverser les 7 cercles de l’enfer. Dans sa quête, Hella découvrira la vérité sur ce lieu étrange… et sur elle-même.

Genre : Fantastique / Young Adult

Scénario : Kid Toussaint

Dessin : Luisa RUSSO

Couleur : Aretha BATTISTUTTA

Volume 1/2 : Tout Droit en enfer • Sortie 3 mars 2021

Hella et les Hellboyz - vol. 02/2

À la recherche de son petit ami disparu en enfer, Hella affronte les démons sans savoir où la mènera réellement son périple.

Hella et son petit ami Kieran ont eu la mauvaise idée de s’aventurer dans la maison abandonnée du 21, rue Duroc. Cette demeure supposée hantée est en vérité un passage vers l’enfer qui a attiré Kieran et le retient prisonnier.

Aidée par le taciturne lieutenant de police Talgom et son ami Louis, Hella a la ferme intention de sauver son compagnon des limbes. Mais ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions ?

  • Éditeur ‏ : ‎ Drakoo (2 février 2022)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 48 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2490735810
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2490735815

Ah c’est l’œuvre de Luisa, sacré rencontre de Valenciennes, une artiste très gentille

« l’œuvre de » ?
Elle est au dessin…
C’est l’œuvre collective de Kid Toussaint, Luisa Russo et Aretha Battistutta (dont le nom n’apparaît pas sur la couv, mais la couleur est plus qu’un accessoire, quand même).

Tori.

Et donc ? Je n’ai pas dit que c’était l’œuvre de Luisa exclusivement si ?

Il ne faut pas faire dire aux gens ce qu’ils n’ont pas dit mon cher :wink:

Je pense que les personnes savent lire et voient bien que Luisa n’est pas la seule dans l’équipe créative :wink:

Ben, « L’œuvre de », ça le sous-entend, en fait…

Si tu avais dit « Ah, c’est dessiné par Luisa », l’effet serait différent.

Tori.

Non

Disons que si on parle le français, un peu quand même.

Non

Ou « l’œuvre dont Luisa a assuré les dessins », ou « le style de Luisa », ou « le dessin de Luisa »…

Dis-le-lui en djeunz, il comprendra peut-être.

Jim

Ah, non, Le destin de Lisa, c’est autre chose.

Tori.

Je ne suis pas doué avec les langues étrangères.

C’est même plus étranger, à ce niveau.
C’est extraterrestre.

Jim

Reste que le français est une langue belle et riche, que de manière subjective vous croyez que ça soit exclusif, ça n’entraine que vous, rien ne l’indique, et oui c’est beau le français (quand on dit c’est la maison de mon père, ça peut très bien être la maison de ma mère aussi :wink: )

Donc …

Non :wink:

Ah, comme on peut dire, donc, « Batman est l’œuvre de Bob Kane » ~___^

Tori.

Ouep on peut :wink:

Encore faut-il bien la parler et surtout admettre que les formulations qu’on pense claires et univoques ne le sont peut-être pas. Souvent parce que, justement, parce qu’on « croit de manière subjective », tout ça tout ça…

Jim

Je vais attendre que l’académie française m’explique que l’emploie de « de » implique une exclusivité alors… Camarade capitaliste XD

Ce n’est pas tant le « de » que « l’œuvre » (ou « la BD », « la série », « le travail » (comme métonymie pour « le fruit du travail »), etc.) qui sous-entend qu’il s’agit de la sienne et pas de celle de quelqu’un d’autre. L’article défini joue aussi un peu dans ce sens.

Tori.