Un bon livre qui mérite de faire partie des éditions Ki-oon et j’ai aussi bien aimer la posteface, et le contraste de page noir et blanche conclu bien l’histoire et nous fait passer du noir imaginaire du livre au claire de la réalité.
Il me semble avoir tout dit il ne manque plus rien une fois toutes les critiques lu vous aurez envie de lire ce livre si vous aimer le genre épouvante.
Personnellement je trouve que ce mangas n’est pas à la hauteur de sa réputation. Il y a eu une grosse publicité autour de sa sortie et c’est avec de plus en plus de déception que j’ai tourné les pages. Par ailleurs, si le graphisme est beau, le dessinateur ne s’est pas beaucoup foulé au niveau du nombre de cases par planche. Aussi, la lecture se fait beaucoup trop vite ainsi que les évènements, cela ne s’accorde pas avec l’ambiance sombre du scénario.
Très bon one shot. Maintenant, il a des défauts comme des personnages trop stéréotypés (surtout la femme, personnage totalement monolithique et donc inintéressant, on se fout complètement de son sort) ou une fin qu’on voit quand même venir. Pour le reste, les dessins magnifiques, l’ambiance sombre et surtout le contraste entre le présent et le passé extrêmement bien rendu font de ce one shot une oeuvre qui vaut le coup d’être lue. Hâte de lire la prochaine série de l’auteur.
8/10
Bluffant, à garder précieusement dans sa collection! Très sombre, très beau, très belle couverture. Non pour ma part c’est un indispensable. De plus le prix de ce one-shot est très abordable, surtout vu l’épaisseur, et pourtant, il se lit vite!
3 fois 9/10? ça fait beaucoup quand même
certes le matériel est de bonne facture mais il est encore sacrément brut!
En l’état, c’est un bon one shot mais il n’est pas exempt de défaut (le sujet sombre ne devait pas forcement impliquer cet excès permanent de trame, des personnages avec bien peu de relief et certains aspects de la trame amenés de manière franchement maladroite …)
Alors certes c’est parfois inévitable pour un one shot , mais ça reste un fait malgré tout : hideout et une bonne lecture mais ressemble un peu a un puzzle incomplet
En effet les adjectifs dithyrambiques sont peut être éxagérés!
Un bon One-shot, qui se lit rapidement mine de rien, le scénario est intéressant, les pages en couleurs très jolies, le gaphisme très sympa…
mais je pense que j’aurais encore plus apprécié si la série aurait été un peu plus longue, car là j’ai l’impression que les actions s’enchainent trop rapidement par exemple la course poursuite avec sa femme aurait pu être plus détaillée, pour faire monter le suspense ^^, ou insister sur la période où il est captif, ou autre…
bref, j’ai l’impression de ne pas avoir totalement savouré cette série car trop rapide à mon goût voilà tout
Je vais commencer par une critique.
ce tome se lit trop viiiiiiiiiiiiiiite! ^^
Vraiment Excellent, j’ai adoré l’ambiance hyper sombre autant que l’histoire, bien que peu originale. (Pas de spoil, pas de spoil XD)
Le graphisme est excellent, quoique je regrette un trait parfaois trop fugace que rend certain détails important difficiles à voir.
Une fin digne d’Edgar Allan Pau, d’après moi =)
Je doute que t’aies jamais lu un bouquin du monsieur, sinon le minimum serait de savoir orthographier son nom…
Pour Hideout, j’irais clairement à contre-courant sur l’avis général.
Le titre est efficace, bien écrit et bien réalisé, avec un auteur qui maîtrise son sens de la narration dans le domaine, et une bonne qualité d’édition, mais on est loin du chef-d’oeuvre malgré tout.
L’aspect psychologique des personnages est assez caricatural, ou en tout cas pas très poussé. Et surtout, ils sont tous cinglés et pas très humains, et ce bien avant d’entrer dans la grotte… Les beaux-parents, Miki (vraie pouffiasse type qui reste avec son mari pour le fric), et Seiichi, qui passe son temps à se raccrocher à une illusion de famille heureuse, et quand elle s’effondre, se met à flinguer tout le monde. Alors que pour la mort de son fils, il n’y était clairement pour rien du tout. Notez qu’il est aussi très tordu, puisqu’il tue les beaux-parents dans un bain de sang, mais pour sa femme, il se donne la peine de se rendre sur une île paradisiaque qui fût le théâtre de combats sanglants durant la dernière guerre pour camoufler son crime…
Bref, difficile d’avoir la moindre empathie pour les personnages, ce qui me semble important pour tout oeuvre, et d’autant plus dans ces situations de vie ou de mort.
La question n’est pas que ce soit des salauds ou des saints, mais qu’ils soient crédibles en tant qu’êtres humains. Là, j’ai plutôt l’impression de voir des acteurs agir d’une telle façon pour les besoins du scénario.
Beaucoup parlent de plongée dans la folie et d’exploration de la psyché humaine (pas possible de mon point de vue avec de tels personnages, comme je viens de le dire), mais que ce soit visuellement ou psychologiquement, il n’y a rien de dérangeant dans Hideout, titre qui ne surprend pas vraiment et ne fait même pas peur en soi. On regarde le tout assez froidement, sans craindre pour les personnages, sans les supporter dans leur survie et dans leur combat, sans les plaindre, sans rien ressentir.
À croire que l’enthousiasme vient surtout du fait que le genre est tellement rare en manga que le moindre titre bien fait est tout de suite hissé au rang de chef d’oeuvre ou de pépite, que j’aurais l’impression de ne pas être si loin du compte.
C’est clair qu’on s’attache pas du tout aux personnages car trop stéréotypés.
Le héros/ anit-héros malgré lui, la femme vénale, la brute, l’enfant…
Enfin bref, ce n’est que par son originalité qu’il brille pour un manga. Pour ce faire peur, en lisant quelque chose de qualité on ira voir directement Stephen King (Poe c’est encore un autre niveau de littérature, plus prosodique qu’angoissant).
Avec hideout on a néanmoins un one-shot de bonne facture. Car l’issue nous tient en haleine dans une atmosphère graphiquement soignée. Mais une fois terminé je n’ai pas eu le sentiment d’avoir lu uns chef-d’œuvre. Seulement un bon manga d’environ 7/10