Histoire de Shôjo

Coucou ^___^

Comme c’est un peu le bazar et que je ne m’y retrouve pas tellement, je ne savais pas où faire des fiches des animes/mangas du registre shôjo que j’ai vu/lu, j’aurai aimé découvrir aussi des sorties de manga et anime au Japon et SURTOUT que vous me donnez vos avis sur les séries et me montrer certaines que j’aurai pas encore vu. :wink:

Je me suis dit qu’il serait bien de faire un topic unique où chaque post serait une présentation d’un manga ou anime de ce genre.

Je vais donc présenter ceux que j’ai découvert et surtout j’aimerai beaucoup que vous en fassiez de même :blush:

Une petite définition de shôjo pour commencer car je vois d’ici la confusion :laughing:

[quote]Littéralement « Jeune Fille ». Les shôjô sont bien plus difficiles à cerner que les shônen (tout le monde sait qu’une fille est bien plus compliquée qu’un mec ^^).
On peut donc difficilement les classer par type mais plutôt par le cadre. C’est à dire que le shôjo peut être autant une histoire de Supokon (Glass no Kamen, Suzuka…), qu’un Gakuen Mono (Gals!, Mint na Bokura…), que des Magicals Girls (Card Captor Sakura, Magical Doremi…), qu’un monde à sauver de l’apocalypse (Sailor Moon, X de Clamp…), qu’une chronique historique (Versaille no Bara, Ribon no Kishi…), qu’une comédie romantique (Fruits Basket, Mezon Ikkoku…) etc… Contrairement au shônen, les sentiments entre les différents protagonistes évoluent beaucoup et prennent une grande place dans l’histoire.

Source : manganimation.net/index.php? … anga_anime [/quote]

Voici « Crescent Love », un anime que je viens de finir et qui était plutôt agréable, du moins niveau graphisme et histoire sans pour autant être exceptionnel mais je tenais à faire part de cette découverte.

img25.imageshack.us/img25/2893/b2ok4n.jpg

Crescent Love commence par l’évocation d’une guerre qui a eu lieu entre deux nations, celle de la terre et celle de la lune.
Les années ont passé, installant une ère de « paix » malgré l’animosité qu’ont les deux peuples l’un à l’égard de l’autre.
Un jour, Feena, la princesse de la lune, doit se rendre sur Terre pour apprendre les coutumes des habitants et voir si en vivant à leur contact, une réelle conciliation est possible.
Elle va loger chez un habitant du nom de Tatsuya, un lycéen typique, dont la soeur bosse pour le gouvernement…

Cette série est sortie en 2006, il n’y a qu’une saison de 12 épisodes bien divertissants

Voilou, merci de votre attention sharemanga.com

J’attends avec impatience vos posts <3 Gros bisous !

Ah ! My Goddess (titre japonais : Aa! Megami-sama!) est un manga qui a fêté en 2008 ses 20 ans, je me suis donc dit qu’il serait bien de le présenter. ^^

http://img145.imageshack.us/img145/9924/ahmygoddesstv2031280smawu3.jpg

Résumé de l’histoire :

Keichi Morisato est jeune étudiant, il fait un jour un faux numéro et appelle « Le Bureau d’assistance des Déesses » alors qu’il désirait seulement commander une pizza.
L’opératrice lui dit alors qu’une déesse va venir exaucer un de ses vœux…
Et là, une jeune femme, Belldandy, sort du miroir derrière lui.
Elle explique à Keichi qu’elle est une Déesse et qu’elle a le pouvoir d’exaucer un vœu, n’importe lequel, mais un seul et unique.
Keichi, croyant qu’il s’agit d’une blague de ses camarades, souhaite alors qu’une déesse comme Belldandy reste auprès de lui pour toujours.
Le souhait lui est accordé, à sa grande surprise : Belldandy va donc rester vivre avec lui sur Terre.
L’affaire se complique alors pour cacher la présence de celle-ci, de ses dons et de ses gaffes…

img145.imageshack.us/img145/3664/ahmygoddessplck4.jpg

Cette série a commencé le 25 août 1988 et elle est toujours en cours actuellement, il est sorti jusqu’à présent 35 tomes.

En 1993, elle a été adaptée en 5 OAV.
C’est la première adaptation du manga qui reprend donc l’histoire depuis le début. Elle prend un traitement plus dramatique et moins comique que l’œuvre originale.

En 1998, une série dérivée nommée « Ah ! My Mini Goddess » est sortie au Japon, elle comprend 48 épisodes de 5 minutes chacun.
Cette série est une adaptation des petites histoires en quatre cases incluses dans le manga et raconte les aventures loufoques des déesses SD (Super Déformées) accompagnées d’un rat nommé Gan-chan.

Un film d’animation est adapté le 21 octobre 2000.
L’histoire se passe 3 ans après la venue de Belldandy et ses sœurs avec l’arrivée de Celestin l’ancien instructeur de Belldandy qui avait disparu depuis des années.
Mais à peine est-il arrivé que celui-ci fait perdre la mémoire à la déesse…

Une adaptation plus fidèle du manga que les OAVs est sortie le 6 janvier 2005.
Cet anime comprend deux saisons.
La première saison contient 26 épisodes auquel il faut ajouter un spécial placé entre le 12 et le 13, la seconde continent seulement 24 épisodes.

Et enfin pour fêter les 20 ans de la série, un double OAV est sortie en 2008, ces 2 épisodes spéciaux intitulés « Ah! My Goddess Tatakau Tsubasa » raconte le retour de la walkirie RIND qui cherche à capturer le dévoreur d’ange.

Ah bon, Ah my goddess est un shôjo maintenant? :stuck_out_tongue:

Et puis la définition du shôjo laisse à désirer
« Littéralement « Jeune Fille ». Les shôjô sont bien plus difficiles à cerner que les shônen (tout le monde sait qu’une fille est bien plus compliquée qu’un mec ^^).
On peut donc difficilement les classer par type mais plutôt par le cadre. C’est à dire que le shôjo peut être autant une histoire de Supokon (Glass no Kamen, Suzuka…), qu’un Gakuen Mono (Gals!, Mint na Bokura…), que des Magicals Girls (Card Captor Sakura, Magical Doremi…), qu’un monde à sauver de l’apocalypse (Sailor Moon, X de Clamp…), qu’une chronique historique (Versaille no Bara, Ribon no Kishi…), qu’une comédie romantique (Fruits Basket, Mezon Ikkoku…) etc… Contrairement au shônen, les sentiments entre les différents protagonistes évoluent beaucoup et prennent une grande place dans l’histoire. »

Je n’ai pas la prétention de tout savoir, mais aux dernières nouvelles :

  • Suzuka est un shônen
  • Mezon Ikkoku = Maison Ikkoku? Si c’est le cas, c’est un seinen (ou shônen, à confirmer)

[quote=« UruMi[CHaN] »]Ah bon, Ah my goddess est un shôjo maintenant? :stuck_out_tongue:

Et puis la définition du shôjo laisse à désirer
« Littéralement « Jeune Fille ». Les shôjô sont bien plus difficiles à cerner que les shônen (tout le monde sait qu’une fille est bien plus compliquée qu’un mec ^^).
On peut donc difficilement les classer par type mais plutôt par le cadre. C’est à dire que le shôjo peut être autant une histoire de Supokon (Glass no Kamen, Suzuka…), qu’un Gakuen Mono (Gals!, Mint na Bokura…), que des Magicals Girls (Card Captor Sakura, Magical Doremi…), qu’un monde à sauver de l’apocalypse (Sailor Moon, X de Clamp…), qu’une chronique historique (Versaille no Bara, Ribon no Kishi…), qu’une comédie romantique (Fruits Basket, Mezon Ikkoku…) etc… Contrairement au shônen, les sentiments entre les différents protagonistes évoluent beaucoup et prennent une grande place dans l’histoire. »

Je n’ai pas la prétention de tout savoir, mais aux dernières nouvelles :

  • Suzuka est un shônen
  • Mezon Ikkoku = Maison Ikkoku? Si c’est le cas, c’est un seinen (ou shônen, à confirmer)[/quote]

Ah my Goddess est un shojo pour moi, ce qui est le plus important dans l’histoire c’est l’amour donc pour moi c’est du shojo

Ah ! My Goddess est bel et bien un shonen… Le perso principal est un mec et il est entouré d’une ribambelle de demoiselles le voulant tout entier. Bref, un shonen harem fantastique si vous voulez.
Je n’ai pas lu Suzuka mais c’est a priori un shonen également.
Quant à Maison Ikkoku, c’est un seinen…
Alors certes, la classification dépend du magazine mais ces derniers ne mélangent que très rarement shonen et shojo…

En gros vous refaites le site mais sur le forum? :unamused:

[quote=« ivan isaak »]Ah ! My Goddess est bel et bien un shonen… Le perso principal est un mec et il est entouré d’une ribambelle de demoiselles le voulant tout entier. Bref, un shonen harem fantastique si vous voulez.
Je n’ai pas lu Suzuka mais c’est a priori un shonen également.
Quant à Maison Ikkoku, c’est un seinen…
Alors certes, la classification dépend du magazine mais ces derniers ne mélangent que très rarement shonen et shojo…[/quote]

Désolée mais dans AMG elles ne le veulent pas toutes en entier, t’as une gamine qui le voit comme un frère et une autre qui tente de faire en sorte que sa relation avec belldandy avance…
Il y a en gros que lui et Belldandy

C’est pas parce qu’une fille s’approche d’un mec qu’elle veut sortir/coucher avec, là le problème est la conception des gens face aux relations homme/femme

[quote=« ivan isaak »]Ah ! My Goddess est bel et bien un shonen… Le perso principal est un mec et il est entouré d’une ribambelle de demoiselles le voulant tout entier. Bref, un shonen harem fantastique si vous voulez.
Je n’ai pas lu Suzuka mais c’est a priori un shonen également.
Quant à Maison Ikkoku, c’est un seinen…
Alors certes, la classification dépend du magazine mais ces derniers ne mélangent que très rarement shonen et shojo…[/quote]

Pour moi c’est un seinen vu que le héros est un homme et qu’il va à l’ université

Un shônen c’est genre Love Hina ou Naruto :wink:

Et ça y est, un bon topic potentiel qui part en live juste parce qu’y en a qui savent pas reconnaître un shôjo d’un shônen --’…

[quote=« E.R Man »]

[quote=« ivan isaak »]Ah ! My Goddess est bel et bien un shonen… Le perso principal est un mec et il est entouré d’une ribambelle de demoiselles le voulant tout entier. Bref, un shonen harem fantastique si vous voulez.
Je n’ai pas lu Suzuka mais c’est a priori un shonen également.
Quant à Maison Ikkoku, c’est un seinen…
Alors certes, la classification dépend du magazine mais ces derniers ne mélangent que très rarement shonen et shojo…[/quote]

Pour moi c’est un seinen vu que le héros est un homme et qu’il va à l’ université

Un shônen c’est genre Love Hina ou Naruto :wink:[/quote]

L’âge des persos n’a pas grand chose à voir.

Bref, vous avez tué le topic :mrgreen:

Dès qu’il y a de l’amour, c’est un shôjo? Ah bah berserk est un shôjo alors :laughing:
Guts et Casca, c’est beau l’amour .

[quote=« UruMi[CHaN] »]Dès qu’il y a de l’amour, c’est un shôjo? Ah bah berserk est un shôjo alors :laughing:
Guts et Casca, c’est beau l’amour .[/quote]

Lorsque la trame PRINCIPALE de l’histoire est l’amour, c’est un shojo
D’ailleurs lafnac le range en shojo également donc je n’ai rien inventé

Après désolée d’avoir voulu créé un topic pour faire connaître et partager des animes et manga avec d’autres personnes, je pensais que le forum servait à parler d’une passion commune, je ne savais pas qu’il fallait être une pure otaku et devoir affronter des débats où l’on me fait passer pour une conne alors que j’avais préciser que le but recherché était une présentation par post mais bon je vous laisse à vos opinions toutes faites et votre science infuse :wink:

désolé d’insister, ton topic est intéressant mais tu fait des erreurs de terminologie qui risquent de nous faire faire des erreurs. le débat sur les classifications shojo / shonen / seinen revient couramment sur le forum (surtout dans la partie sondage). je n’ai pas la « science infuse » : j’ai eu fait ce genre d’erreurs comme tout le monde, depuis ou m’a expliqué et c’est pour cela que nous t’expliquons à notre tour. et non pour te « faire passer pour une conne »

donc encore une fois, ces classification viennent des éditeurs japonais, nous n’inventons rien. ça peut paraitre aberrant mais elles ne dépende absolument pas du contenue du manga mais de son magasine de prépublication. en effet le contenu est trop vague et trop sujet au interprétations pour établir une classification. le choix est donc pris en fonction de la cible du magasine « pour fille » « pour garçon »
quant au anime il ne sont pas classé du tout : au mieux on parlera d’adaptation de shojo ou d’adaptation de shonen etc…

[quote=« Squirrelly »]Lorsque la trame PRINCIPALE de l’histoire est l’amour, c’est un shojo
D’ailleurs lafnac le range en shojo également donc je n’ai rien inventé[/quote]

personnellement ce genre de phrase me fait bondir :

  • sauf pour le yaoi et le yuri (homosexualité) l’amour concerne forcément les deux sexes ! l’amour est visible de deux points de vu et suivant ce point de vu les magazine font leur choix. c’est réducteur (même pour les japonais) de résumer les garçon à la bagarre et les fille à l’amour.
    donc il existe ce qu’on peu appeler des love shonen (i"s ; love hina; Ah my goddess, etc…)mais aussi des shojo d’action comme sayuki (cas un peux particulier)
    -la fnac n’est pas une référence. elle fait de nombreuses boulette du genre. mais plus grave Glénat qui est un éditeur de manga en fait aussi nausicaä est classé dans une catégorie « kids » alors que ce n’est pas du tout un kodomo

comprend bien que si tu commence à mettre Ah my goddess (adaptée d’un shonen) et Crescent Love qui n’est pas licencié dans ton propre topic que tu voulais manifestement consacré au adaptations de shojo, on s’y perd un peu … :wink:

Tu n’as pas besoin d’être autant sur la défensive squirelly, ton topic part d’une bonne intention mais comporte quelques erreurs . Vouloir te les expliquer n’a pas comme but de te faire passer pour une conne, loin de là . Et il n’y a pas besoin d’être « une pure otaku » (as-tu l’impression que j’en suis une?) pour connaître la base de classification des titres (il m’arrive aussi de faire des erreurs à ce sujet, certains titres étant ambigus, et si on me corrige, j’ai plus tendance à remercier la personne de m’avoir corriger que de m’emporter :unamused: )

Pour apporter mon grain de sel (promis après je retourne dans la section « Généralités » :laughing: ), Ah! my goddess n’est même pas un shônen, c’est un seinen :wink: (tout simplement parce que prépublié dans l’« Afternoon », aux côtés de titres du genre comme Blame, Mushishi, Genshiken etc…)

Comme l’a très bien dit caius, on est tous plus ou moins passés par une phase de confusion, mais il n’y a pas de mal à apprendre sur le sujet si on utilise cette terminologie shônen/shôjo/seinen etc…

D’ailleurs, je te renvois sur ce topic, pour plus de précisions :wink:
mag-de-prepub-et-genre-t7093.html

Et sinon, pour ne pas polluer stérilement le topic, j’ai pioché dans mes archives et voilà comment je définissais les shôjos il y a 6-7 ans (donc sans être moi même très conscient du mag de publication) .

[spoiler]En fait ce genre est plus caractérisé par des codes narratifs et de mise en page que par un sujet qui serait typiquement destiné aux filles (car là ce serait manquer de respect tant aux filles qu’aux garçons en leur dictant ce qu’ils doivent aimer donc ce qu’ils doivent penser). C’est à dire que pour un scénario comparable seul le traitement différerait d’un shônen à un shôjo.

En général il se caractérise par une mise en page destructurée (il n’y a pas vraiment de cases et les personnages et éléments de décors empiètent facilement sur les suivants ou les précédentes) qui permet, outre le fait de mettre en valeur tel ou tel élément, de donner un sens supplémentaire suivant l’agencement choisi.
De plus, il comporte souvent des éléments récurrents et illustratifs d’une ambiance, comme des pétales de fleurs, des plumes, des étoiles, des roses etc…
En règle générale les décors sont plutôt pauvres, la part belle étant donnée à la réprésentation (souvent fouillée) des personnages. Ces personnages ont d’ailleurs des yeux très expressifs, et les sentiments sont magnifiés à travers eux. On retrouve en général (j’utilise ces précautions pour attirer sur le fait qu’il y a des shôjo qui se démarquent de ces codes narratifs :wink: ) des personnages fins, graciles, qui paraissent souvent fragiles d’apparence.
L’action est bien sûr un peu en retrait, puisque ce sont surtout les sentiments qui priment et une histoire bien construite, avec
un scénario souvent très intéressant. S’émouvoir devant un shôjo est le but souvent premier de l’auteur et s’il parvient à toucher le lecteur, celui-ci en sera alors définitivement accro :wink:

Enfin, les différents niveaux de lecture sont légion (pensées exprimées et non exprimées se côtoient comme les phylactères qui
partagent la case avec des lignes en pied (et parfois même pour différentes idées)) et ils sont là surtout pour donner une dimension émotionnelle supérieure soit au niveau de l’ambiance soit de l’expression du subconscient des protagonistes.
C’est cela qui peut faire qu’un shôjo est difficile à aborder et à apprécier (il faut une certaine habitude)
Mais la richesse obtenue est très importante, amenant un degré de réflexion supplémentaire, en même temps que cela permet
d’entrer très profondément dans la psychologie des personnages. :slight_smile: et parfois on assiste à des ruptures narratives, passant d’une scène à l’autre sans préavis. Les unités de lieu et de temps sont parfois alors bafouée (flashbacks, souvenirs). Mais c’est
moins typique des shôjo.
Les ruptures de ton (et d’évolution brusque du corps des persos) sont par contre plus courantes et constituent idéalement la partie « comique » du manga (souvent très drôle). Car passer d’un personnage SD avec des oreilles de chat, au même personnage 2 cases plus loin, avec les cheveux au vent et l’univers dans les yeux, c’est quand même assez jouissif. (même si c’est typique des manga en général le fait de casser brusquement l’ambiance)[/spoiler]

Ah! la naïveté de la jeunesse et d’un spectre de lectures encore trop réduit pour bien appréhender les excellences et les échecs du genre (là je parle du moi de l’époque bien sûr^^). Finalement, l’enthousiasme des débuts ne doit pas être refroidi par une rigueur apparente, mais il doit s’en nourrir pour encore davantage aimer les mangas, c’est du moins ma philosophie :wink:
Bonne chance pour ce topic, moi je me sauve :blush: