Sorti en 2009, cet album est la première moitié d’un diptyque. La seconde moitié ne sera publiée qu’à l’occasion de la ressortie de l’histoire sous le titre Une vie à écrire.
Le récit, qui suit un « jeune bouseux » (pour reprendre l’expression que le personnage utilise lui-même) ambitionnant de devenir scénariste à Hollywood, décrit comment les producteurs inventent les vies de leurs stars et n’éprouvent aucune pitié pour les différents prestataires qui travaillent pour eux.
Une métaphore de la création, et peut-être un portrait en creux du monde de l’édition. Quand on dit au héros « tu n’as pas ton pareil pour écrire les gentils », doit-on y voir un commentaire sur le style du scénariste ?
Jim