Huck will soon return. CBR can announce the critically acclaimed series from Mark Millar and Rafael Albuquerque is returning with an all-new story nearly 10 years after its first issue was released.
Huck: Big Bad World follows the eponymous superhero as he slowly uncovers more powered people located in his sleepy seaside town. « After being exposed as a super-powered person and hunting down the doctor who gave him—and his mother—their powers, it would seem like Huck could finally get back to the simple life he’d come to love, making folks in his small town feel safe and cared for by doing one good deed a day and being the real change anyone would want to see in the world. But then a mysterious man tells him he and his mother aren’t the ONLY super-people out in the world; many are hiding, just like them, » the title’s synopsis reads.
Huck is an autistic man with extraordinary powers who tries to do one good deed every day. Now he’s back in a sequel where a mysterious man tells him he and his mother aren’t the only super-people out there and there are others in hiding just like them.
Pareil, une oeuvre qui surnage dans le marasme des vingt dernières années avec Starlight, et en plus on a l’équipe complète qui se reforme ici. J’avais bien aimé Superior également, à croire que les figures à la Superman inspirent Millar.
Tout mignon ce premier numéro de Huck: Big Bad World. Tout tourne autour de l’amour compliqué, entre Huck qui se fait larguer et cet étrange homme qui cherche une femme vu il y a trente ans dont il serait persuadé qu’elle est son âme sœur. Même si ça doit cacher autre chose et il a sans doute d’autre motivations dans sa recherche d’autres personnes à super-pouvoirs. Reste que Millar nous livre 20 pages doux amer et on ressort réellement attendri par ce pauvre Huck trop gentil pour ce monde.
Bien aidé par le fait que j’étais déjà conquis par cet univers parce que j’avais beaucoup aimé la première mini et je trouvais que Millar tenait bien sa figure Supermanesque qu’il ne se sentait pas obligé d’abimer, de déconstruire.
Reste que c’est quand même, comme toujours, un peu lent et pas aidé par un Albuquerque qui fait des planches bien vides.
Marrant de voir que Millar est définitivement rentré dans le moule qu’il a toujours fait semblant de vouloir démolir. Après son event qui se finit en queue de poisson maintenant il multiplie les redites de ses succès passé. L’ère des sequels…
Je recommande quand même pour ceux qui aurait aimé la première histoire de Huck.
Ha tout à fait! Voir même il l’a toujours été à mon sens. Je suis pas friand du plus gros de sa production.
Maintenant je trouve ça marrant qu’il soit retombé à ce point dans les travers de DC et Marvel alors qu’il passe son temps à s’en moquer. Et, à ce point là, c’est assez récent je pense. Il ne propose plus que des redites de ses anciens succès en ce moment
Huck, his mother and this mysterious doctor with the keys to their past go on a road-trip to find the first of the other secret super-humans who have been hiding around the world. Unlike Huck, this first one is an assassin and using his abilities to make money.