INNER CITY ROMANCE (Guy Colwell)

« Tu t’es déjà tapé un type sous acide qui n’a pas vu une chatte depuis trois ans et demi ? »

Ainsi débute Inner City Romance, le chef-d’œuvre de Guy Colwell. Des histoires d’amour, de sexe et de drogue, mais pas seulement. Toute l’œuvre de Colwell transpire les idéaux du flower power apparu aux États-Unis à la fin des années 1960.

Les 5 numéros d’Inner City Romance ont été publiés par l’éditeur Last Gasp, de 1972 à 1978. Ils n’avaient jamais été recueillis en album ni intégralement traduits en français.

Préface : Patrick Rosenkranz

184 pages
17 x 24 cm

N° coll : REV007
Prix TTC en France : 23 €
ISBN : 979-10-96119-23-3
Parution : avril 2019

Guy Colwell (né en 1945) est un dessinateur de bande dessinée underground et un peintre américain. En 1964, il refuse de s’engager dans l’armée et connaît la prison. Il fait partie de ces artistes qui, de Robert Crumb à Art Spiegelman, ont révolutionné la BD occidentale.

Ah, ça avait été traduit en partie ?

Il s’agit d’un classique des comics underground, en tout cas (je suis d’ailleurs surpris qu’il n’y ait jamais eu d’album… Je ne sais plus dans quoi je l’ai lu, du coup : il me semblait que c’était dans un recueil, justement).

Tori.

Faut croire.
Je ne suis pas trop fan du dessin (du moins, du peu que je vois)

Je viens de vérifier : ça avait été traduit chez Artefact :

Et j’ai retrouvé où je les avais lus : dans un recueil paru chez Fantagraphic en 2015.

Tori.

En 1980.
Du temps où l’on traduisait les titres.
Même littéralement.

Jim