Hehe
Purée… ce n’est pas bon, et c’est très mal caractérisé pour Tony. Spencer Ackerman part sur le contexte One World Under Doom, avec un Tony enfin rasé qui va rencontrer en secret dans un pays limitrophe de Latvérie l’armée de résistance, dirigée par un ancien officier latvérian. Celui-ci veut une armure, évoque un ancien héros hongrois et exige que Tony tue un des leurs qui s’est vendu à l’ennemi. Stark refuse, parlemente, l’officier veut que Tony refasse des missiles piégée pour Doom afin qu’un siège soit mené par son armée et que la population se retourne contre Victor. Tony doute, la Winter Guard d’une Russie soumise à Doom attaque, Iron Man se défend avec plus d’énergie et est aidé par Black Widow qui le suivait en secret. Ils s’enfuient avec le gamin, Natasha fait la leçon à Tony sur ses compromis coupables et lui demande de croire en les super-héros alors que Red Widow propose une alliance secrète à l’officier. Rentré en Amérique, Tony propose à son conseil de construire des missiles pour Doom…
Bouh, c’est mauvais. Déjà, c’est mal raconté car Spencer Ackerman se perd dans des tunnels de dialogues chiants et longs, lourds, avec une vague bagarre chiante. L’intégration de Natasha est cool, l’idée de gérer Doom aussi, mais la caractérisation de Tony est nulle. Rien ne va dans le portrait de cet Américain blasé prêt aux compromis douteux, ce qui correspond si peu au naturel de Tony surtout avec Doom vu leur historique. Le final est honteux, l’ensemble navre, le plan de l’officier est bête, et Julius Ohta propose des planches lisibles mais ni belles, ni emballantes.
Un raté qui creuse toujours plus profondément.
Allons, tony va pieger les missiles ou un truc du genre, non ?
Je n ai pas lu, ceci dit.
Oui mais cette complicité avec un officier résistant violent colle peu. Mais même, Tony ne fait plus d’armes par principe et a un historique avec Doom qui le pousserait à rejeter toute compromission.