DC annonce trois nouvelles mini-séries qui seront publiées cet automne sous la bannière The New Golden Age de Geoff Johns.
Geoff Johns :
« It’s long past time that the heroes of the Justice Society had their own titles again. At the same time, they had to be special, important, and emotional stories, each one exploring character, revealing secrets, and introducing new heroes and villains to the DC Universe. »
Jay Garrick : The Flash sera écrit par Jeremy Adams et dessiné par Diego Olortegui.
« It’s hard being a parent, especially when your kid is a speedster! Jay Garrick has been reunited with his long-lost daughter, Judy, but figuring out how to connect with her is proving to be difficult. They’ll need to work to find common ground when a mission that started in Jay’s early days as the Flash comes roaring to today. But will The Flash and The Boom be able to thwart a plan that’s been in the works for decades?! »
Pareil. Je ne sais pas si c’est le casque, le tempérament, ou l’aspect vieux briscard mais j’ai toujours eu une affection particulière pour ce flash. C’est peut être aussi parce qu’il apparaissant dans une des premières histoires de la Justice League of America que j’ai lu, la seconde venue du Syndicat du Crime si je me souviens bien.
Covers by: Jorge Corona, Francis Manapul, Serg Acuna.
Description: Spinning out of the events of Stargirl: The Lost Children and Justice Society of America, Jay Garrick is reunited with his long-lost daughter, Judy. After being pulled from the timeline, Judy returns to a world where she and her dad aren’t the only ones that ride the lightning, but is there enough space for her in Jay and Joan’s life? And can they keep up with their teenage daughter and make up for lost time?
Très bon.
Jeremy Adams revient pour mon plaisir sur Flash, ici Jay et en fait surtout Judy. On voit en effet la « dernière » mission de Jay et sa fille en 1963, alors qu’elle s’évapore en voulant sauver sa mère enlevée. Jay et son épouse l’oublient jusqu’à maintenant, essayent de s’adapter à elle mais veulent trop la protéger. Judy veut et va aider en ville, mais surtout s’inquiète : le monde avait aussi oublié leur ancienne Nemesis, Dr Elementar, qui a eu des années pour un grand plan…
Très bien, oui. Jeremy Adams écrit très bien ses personnages, caractérisant classiquement une Judy qui est agréable à suivre. J’aime bien le jeune Jay, que je connais peu, et l’ensemble est d’un classicisme lui aussi agréable. Du vintage cool.
Graphiquement, Diego Olortegu est bon, pas foufou mais c’est efficace et sa Judy est jolie.
Totalement en phase avec toi sauf que j’aurais préféré Williamson sur le titre avec Porter ou David Marquez (souvenez d’une histoire courte parue je ne sais plus dans quel book).
Mais bon, tu annonces la couleur et c’est très réussi. J’aime beaucoup The Boom et surtout la famille Garrick, mon Flash préféré!
Description: Judy’s physicals are all coming back good and clear, which means only one thing: mall day with Stargirl! But when a foe from the 1940s crashes the party, Jay rushes in to save the day, much to his daughter’s chagrin!
Sympathique.
Jeremy Adams plonge Jay dans l’angoisse de laisser sa fille vivre, alors que Judy file au centre commercial avec Stargirl. Ça se passe bien jusqu’à une attaque d’un ours cyborg parlant, que Jay avait affronté jadis. Des secrets demeurent et vont bientôt être révélés.
C’est sympathique, oui. Jeremy Adams gère bien l’inquiétude paternelle de Jay, et il écrit bien une Judy cool, jeune qui découvre tout. La menace est basique, mais ça donne de belles bagarres. Ça donne le sourire.
Graphiquement, Diego Olortegu ne livre pas de « belles » planches mais c’est dynamique et bondissant. Cool.
J’adore le personnage de THE BOOM. Tête brulée à mort!
Et revoir Stargirl crée une sympathique continuité avec l’excellente mini Stargirl The Lost Children. D’ailleurs, Todd Nauck sur la série Jay Garrick, ça m’aurait plu aussi.
ENEMIES FROM THE PAST THREATEN THE PRESENT! Something is coming for Judy Garrick and sending long-forgotten foes from her early days adventuring with her father. Jay will need to race ahead to figure out what really happened to Dr. Elemental if he wants to protect his family!
Creative Team
Writer: Jeremy Adams
Artist: Diego Olortegui
Colorist: Luis Guerrero
Letterer: Steve Wands
Cover Artists: Jorge Corona
Variant Cover Artist: Francis Manapul, Gavin Guidry
Lent mais bon.
Jeremy Adams avance doucement sa saga, qui pourrait aller plus vite mais fonctionne bien. Ici, un nouveau flashback montre un affrontement passé de la JSA avec Dr Elemental, et Judy qui vient du futur pour aider ; mais l’ennemi s’enfuie et récupère un peu de son ADN. Au présent, Judy et Jay s’engueulent gentiment, le premier admettant qu’il ne devrait pas la suivre mais qu’il s’inquiète. Mr Terrific explique que leurs souvenirs se recalibrent après l’absence de Judy, qui a vu le visage de l’ennemi. Michael les amène chez lui, voir les « garçons » : à savoir Fairyplay (son fils, arraché de l’utérus de sa femme par Granny Goodness et qu’il a sauvé dans The Flash) et Quiz Kid (le sidekick du premier Mr Terrific, disparu longtemps), qui collaborent et vivent ensemble leurs absences en étant super-géniaux. Tous deux ont créé une machine capable de matérialiser en film les souvenirs de quelqu’un, et l’on voit dans la mémoire de Judy que Dr Elemental est… une connaissance de Jay, a priori liée à son origine !
C’est bien, oui. Jeremy Adams prend un peu trop de temps sur son flashback, mais il s’en sort bien quand même. Sa Judy est agréable et sympathique, la saga est plutôt bonne même si elle est très classique, et ses références à ses oeuvres passées sont assez cool. L’ensemble a un goût joyeux et positif, fort agréable.
Graphiquement, Diego Olortegui flirte régulièrement avec Scott Kolins, ce qui me plaît assez, et ses planches sont colorées et dynamiques.
J’aime bien cette série! J’adore lire ces personnages. La petite Boom me plait beaucoup, j’espère que le personnage ne sera pas que de passage.
Là, on va plonger dans les origines de Jay. J’espère que JA va bien écrire cette partie et donner du grain au personnage, qui le mérite (un peu comme le deuxième épisode d’Alan Scott).
Un point global sur les origines de Jay Garrick avec un retcon qui met Dr Elemental en grand cerveau vilain de ces débuts, mais aussi derrière STAR Labs qu’il a créé pour observer et manipuler les métahumains, ce que Jay et Judy apprennent avant de se faire attaquer.
Efficace. Jeremy Adams livre un épisode simple mais réussi, qui retconne sans trop gêner les origines de Jay. Diego Olortegu assure aux dessins nerveux.