JENNY SPARKS #1-4 (Tom King / Jeff Spokes)

DC annonce la mini-série Jenny Sparks, qui sera publiée à partir d’août sous la bannière Black Label. Par Tom King (Wonder Woman, Supergirl: Woman of Tomorrow, The Penguin) et Jeff Spokes (WildC.A.T.s, Batman: The Brave and the Bold).

Kicking off the action in Jenny Sparks #1, what could four strangers have to do with the fate of the world? Find out as Captain Atom goes rogue, threatening to destroy the planet he once swore to protect. It may take the most unconventional hero of them all to stop him…Jenny Sparks, the one woman tasked with keeping all the heroes in line, no matter the cost. With a snap of her fingers, she’s entered the fray and won’t quit until the job is done!

Check out an unlettered preview below featuring covers by Spokes Guillem March, Homare, and Saowee (1:25).

DC announced today a new six-issue DC Black Label comic book miniseries launching in August, Jenny Sparks. The Spirit of the 20th Century returns for the 21st in this action-packed new DC adventure by Eisner Award-winning writer Tom King (Wonder Woman, Supergirl: Woman of Tomorrow, The Penguin) and artist Jeff Spokes (WildC.A.T.s, Batman: The Brave and the Bold)!

“Jenny Sparks is an epic, thrilling, mind-blowing series in the tradition of Strange Adventures, Mister Miracle, and The Human Target,” said Tom King. “The Spirit of the 20th Century comes to the 21st to try to save five men and women taken hostage by an out-of-control and infinitely powered Captain Atom. Through this lens, we’ll explore the grip of Jenny’s time on our own; how, despite all our desperate prayers, the sins of our past refuse to die away. Featuring astonishing art by Jeff Spokes (seriously, it’s so damn good), Jenny Sparks seeks to set the bar in superhero comics, to show how our heroes can illuminate and define our moment.”

But who is Jenny Sparks? Readers of DC’s WildStorm comics will know that Jenny has always worked outside of the Justice League establishment to find anomalies in the superhero community, is subtle enough to dig into the lies of the most powerful people on the planet, and is strong enough to fight back when these fallen heroes discover who’s digging. She can, if only for a moment, light up the darkest nights. In DC’s new Jenny Sparks, Jenny is the Spirit of the 20th Century, resurrected for the 21st.

Kicking off the action in Jenny Sparks #1, what could four strangers have to do with the fate of the world? Find out as Captain Atom goes rogue, threatening to destroy the planet he once swore to protect. It may take the most unconventional hero of them all to stop him…Jenny Sparks, the one woman tasked with keeping all the heroes in line, no matter the cost. With a snap of her fingers, she’s entered the fray and won’t quit until the job is done!

Jenny Sparks #1, written by King with art and main cover by Spokes and lettering by Clayton Cowles, will have variant covers by Guillem March, Homare, and Saowee (1:25). Jenny Sparks #1 will hit local comic book shop shelves on August 21, 2024. Jenny Sparks is a DC Black Label comic book series and carries an Ages 17+ content descriptor (for mature readers). Each issue of Jenny Sparks will be 40 pages, with 28 story pages per issue.

Premier aperçu :

On dirait du Millar.

Mais pourquoi que six épisodes ?

Oula.

Je suis plus emballé que pour la precedente serie wildcats.

Et cela aurait été une bonne idée d intégration d authority au monde dc que d en faire les boeufs carrotes des super heros, cela justifie qu ils soient des poids lourds et qu ils n interviennent pas en tant que super heros.

Une confrontation avec The Elite aurait été bien.

C’est bizarre de lancer une pléiade de titres « Ellisiens » après avoir fermé la porte au bonhomme sans la moindre forme de procès.

Hypocrisie, quand tu nous tiens.

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C’est pas bizarre, les persos seront dans le DCU de James Gunn et dès son Superman et Tom King semble être proche du réalisateur

En fait bon j’utiliserais le terme « à chier ». C’est ce dit Jack, tu claques la porte au nez de celui qui à fait en sorte que ces personnages existent pour filer le truc à un mec au travail discutable

Doutait-on que les chasses aux sorcières soient solubles dans le capitalisme ?

Une autre façon de séparer l oeuvre de l artiste, en un sens.

A noter quand même que, bien qu’aucune poursuite judiciaire n’ait été engagée contre lui, Warren Ellis a reconnu nombre des faits reprochés par de nombreuses personnes, et a souhaité lui-même former une sorte de retrait de la vie publique.
Evidemment que Marvel & DC ont coupé les ponts, pour éviter les polémiques lourdes sur les réseaux sociaux. Mais Warren Ellis semble avoir aussi eu le souci de se faire « oublier » un temps.
Il ne me paraît pas surprenant, alors, que DC ne le re-sollicite pas ici.

Ta sorcière si elle vend par kilos entier, t’inquiète qu’il s’en fout le capitalisme

Et pour cause, les faits n etant aucunement illegaux.

L accusation de grooming portant cette ambiguïté foncière de porter sur un acte aussi decrié que parfaitement légal, sans même faire référence à l idéal d amour dont son envers, le pigmalion, est porteur.

Partant l accusé ne pourra jamais se voir légalement blanchi.

Du point de vue du droit, c est très compliqué donc.

Si la boite peut désormais arguer en plus d une position morale dans l accaparement dont elle a l habitude, pourquoi se priver ?

Pas comme si marvel et dc ne reposaient pas sur cet accaparement systématique.

Oui, complètement. C’est toute la difficulté des notions d’emprise, de harcèlement et de manipulation. Les frontières peuvent être floues, notamment quand il n’y a pas de passage à l’acte physique.

Cependant, en soi, Warren Ellis a reconnu se considérer responsable des actes décriés, et a souhaité se retirer (ce qui, en plus de ME paraître sincère, est aussi un bon plan stratégique vu l’emballement en vigueur). Donc que DC ne le sollicite pas là ne me surprend pas.
Je pense plus le revoir, à moyen terme, sur des projets indépendants, peut-être même à financement participatif, pour tester la réception du lectorat sur son retour.

Dont le dernier s est soldé par un suicide que pour l instant personne n ose penser le laissant dans un silence de mort, c est le cas de le dire.

Il faudra bien pourtant y revenir et en tirer quelques leçons.

Ben ouais. Tout comme on se privera pas de continuer à conserver la poule aux oeufs d’or tant bien mieux elle mériterait d’être enterrée vivante

Ca demande une maturité dont notre société n’est pas capable.

Pour autant que serait estimé qu il y a plus a gagné à la concerver.

Les campagnes de lynchage médiatique ayant aussi pour prétexte de bien faire comprendre qu il y aurait plus à perdre. Ce en quoi c est bien une logique de gain et de perte qui préside aux justifications des acteurs de cette partie.

Il ne s agit donc pas de dire que la capitalisme est amoral, mais plutôt de bien cerner en quoi la morale en vigueur, qui appelle à la cancellation, est bien celle du capitalisme. L une de ses morales.