DC Black Label, an imprint of DC Comics, has released a 5-Page Preview and Covers of Jenny Sparks #3 comic, that will be on sale on October 16, 2024 as a print and digital issue.
Issue 3 of 6. MINI-Series. Mature Reading!
The Official Synopsis of Jenny Sparks #3 comic:
BOOK THREE
The Justice League arrives on the scene to save the day, but will they listen to Jenny as she warns them this is a threat like no other? Could the heroes be outmatched by the might of Captain Atom in his quest for divinity? Let the games begin!
Bof, bof. Tom King douche le micro-enthousiasme que j’avais sur le #2 avec un numéro assez lourd, dans ce qu’il veut dire et montrer. On a encore un récit sur deux époques, le présent et le passé qui « explique » le retour de Jenny et son rôle auprès des super-héros. En 2004, au Moyen-Orient, Jenny rencontre Superman et le tance sur son rôle de super-héros qui n’intervient pas, au coeur de l’occupation américaine. Au présent, la JL attaque le bar où Captain Atom prend en otage des gens, et ils se font tous… défoncer (il semble qu’il y ait des morts mais ça ne durera sûrement pas). Une des otages accepte cependant de jouer avec Captain Atom, alors que Batman ait ramené sa fille (âgée) et il la tue tout en prouvant son statut divin.
Bof, bof, oui. Tom King passe tout un épisode à évoquer l’évidence : Captain Atom est trop fort, la force physique ne suffira pas. C’est lourd, long, poussif, et surtout déjà-vu et facile. Je me lasse déjà de ce portrait de Captain Atom, alors que le flashback est lui aussi assez désagréable en donneur de leçons. Jeff Spokes livre de bonnes planches, mais ce n’est pas foufou et assez froid, statique même. Du sous Ryan Sook.
Bof, bof, définitivement. Cette saga ne brillera pas.
Jenny dénonçant l occupation Irakienne et l interventionnisme américain donc, si on y reflechit, cela pourrait etre exactement l inverse puisqu Authority en est venue à symboliser l interventionnisme super héroïque face à des etats qui laissaient faire les dictateurs dans les premières pages de la reprise de Millar.
C est d ailleurs ce qui avait marqué les esprits à l époque : Authority assumait d etre les plus forts et d imposer sa morale.
Mais c’était après l’ère Jenny. C’était l’époque Hawksmoor, qui agissait en miroir du Jack d’une Terre alternative qui n’avait pas pris les choses en main et ça avait mené à la fin de cet autre monde.
L ère Jenny, ils se tapent un pays puis apres une planete entière.
C est assez interventionniste.
Mais ils viennent en défense.
Kaizen Gamorra utilise les super-clones pour détruire Moscou, puis viser Londres et Los Angeles. La Perfide Albion attaque la Terre. Dieu revient pour anéantir l’Humanité.
The Authority, avec Jenny, mène la bagarre et le front chez l’ennemi, mais le premier sang ne vient pas d’eux. The Authority avec Jack est proactif et intervient avant que le premier sang soit versé (en direct).
Jenny n aurait pas validé l Autorithy de Jack ?
Aucune idée, elle n’y était pas et on ne l’a pas vue alors.
A titre personnel, je ne sais pas. Je ne suis pas sûr.
Un dictateur verse-t-il le premier sang sur son peuple, that s the question !
Mais elle ne s’en est pas occupée.
Elle a attaqué Gamorra quand Kaizen a attaqué ailleurs. Elle a attaqué la Perfide Albion quand ils sont revenus attaquer.
C est une isolationniste en fait !
- Super-menteur, mais qui êtes-vous ?
- Écoutez d’Arvor…il y a aujourd’hui prescription et je peux vous le dire. Je suis…Nicolas Sarkozy !
DC Black Label, an imprint of DC Comics, has released a 4-Page Preview and Covers of Jenny Sparks #4 comic, that will be on sale on November 20, 2024, 2024 as a print and digital issue.
Issue 4 of 6. MINI-Series. Mature Reading!
The Official Synopsis of Jenny Sparks #4 comic:
BOOK FOUR
Jenny tries to negotiate for the release of Captain Atom’s hostages after the Justice League falls to his godlike powers. Can the spirit of the 20th century prevail in the 21st? Or is the reluctant hero in over her head?
Un peu long, un peu lent, un peu poseur. Tom King enchaîne et fait stagner sa saga, en étant un peu lourd d’ailleurs. Alors que Captain Atom a perdu l’esprit et exige d’être considéré comme un Dieu, il a pris des personnes lambda en otages dans un bar. La Justice League a sollicité Jenny Sparks, dont on voit en flashbacks comment elle est revenue après sa mort le 31 janvier 1999, qui tente de raisonner le super-héros perdu. Suite à ses échecs, la JL a attaqué - et tous ont été tués. Nous sommes après, avec Jenny qui revient, force sa présence, flatte Captain Atom en le manipulant, obtient la libération d’un otage et en vient à se mettre à genoux pour prier le super-héros dément. En flashbacks, on voit Jenny en 2011 enlever un PDG lors de l’annonce de la mort de Ben Laden, pour le confronter dans son rôle durant la crise des subprimes, et le faire tuer par une de ses victimes financières après quelques leçons de morale.
La saga est lente, l’épisode est lent et le scénario est poseur dans sa façon de mettre en avant le rôle des businessmen dans la crise des subprimes. C’est assez lourd, mais moins au fond que le récit au présent, avec des bavardages lourdingues et un récit qui avance bien trop peu. Jeff Spokes est bon dans des dessins un peu figés, mais ça n’aide pas l’ensemble.
Lent, long et poseur ; mais je reste curieux de la suite et fin.
DC Black Label, an imprint of DC Comics, has released a 6-Page Preview and Covers of Jenny Sparks #5 comic, that will be on sale on December 18, 2024 as a print and digital issue.
Issue 5 of 6. MINI-Series. Mature Reading!
The Official Synopsis of Jenny Sparks #5 comic:
BOOK FIVE
Time and options are running out for Jenny Sparks as Captain Atom grows restless waiting for his demands to be fulfilled. As he begins to play a dangerous game with the hostages, Jenny delves deeper into Atom’s past, searching for answers. Could his tragic story reveal the key to his defeat?
Je ne suis pas emballé, je trouve ça long et lent, mais je reconnais des choix pertinents. Tom King enchaîne doucement, alors que sa mini-série approche de la fin prévue au #7. Ici, on voit en flashback comment Batman et Superman ont recruté Jenny Sparks en 2016, pour qu’elle surveille les super-héros, alors qu’eux la surveillent. Ils la sollicitent car ils craignent que leur communauté puisse avoir des éléments incontrôlables, et car elle pourrait les tuer, eux deux. On la voit aussi entendre, dans un bar, un père désespéré d’avoir dû expliquer l’élection de Trump à sa fille, puis elle va ensuite la rassurer chez elle, car Jenny est là et a vu pire. Au présent, elle parle au psychiatre libéré par Captain Atom, elle évoque l’origine du personnage (avec une approche plus extrême du soldat de base), et tous deux dissertent sur le psychiatre après qu’il ait été soigné du cancer, ce qui l’éloigne de sa réunion avec sa femme déjà morte.
C’est correct ; pas emballant, mais correct. Tom King est lent dans sa narration et long dans son propos, mais je comprends que les flashbacks montrent les grands événements du XXIe siècle vus et subis par Jenny, avec au présent le portrait d’un super-héros mal choisi, qui a fini par perdre l’esprit. C’est correct, pas brillant mais correct, avec toujours une atmosphère graphique réussie et froide de Jeff Spokes.
Correct sur plusieurs choix, même si ça continue de se traîner.
DC Black Label, an imprint of DC Comics, has released a 5-Page Preview and Covers of Jenny Sparks #6 comic, that will be on sale on January 15, 2025 as a print and digital issue.
Issue 6 of 7. MINI-Series. Mature Reading!
DON’T MISS THE PENULTIMATE ISSUE OF TOM KING AND JEFF SPOKES’ GRIPPING STORY!
The Official Synopsis of Jenny Sparks #6 comic:
BOOK SIX
Time and options are running out for Jenny Sparks as Captain Atom grows restless waiting for his demands to be fulfilled. As he begins to play a dangerous game with the hostages, Jenny delves deeper into Atom’s past, searching for answers. Could his tragic story reveal the key to his defeat?
Bon, ce n’est pas à l’avant-dernier épisode que la mini-série va soudainement gommer ses défauts, qui sont une lenteur abusive du rythme, une redondance du propos et un questionnement de l’intérêt de ramener Jenny Sparks juste pour ça. On est dans la continuité ici, avec une Jenny qui, dans le flashback de 2020-2021, subit comme tous la crise du COVID, interpelle Superman dessus, enrage de ne rien pouvoir faire en se rappelant l’angoisse des épidémies du début du XXe siècle, et tente de donner son sang pour aider. Au présent, elle retourne dans le bar, accepte d’admettre que Captain Atom est son dieu, l’interpelle sur la suite, et considère que jouer à dieu est sa nouvelle façon de gérer sa douleur et son trauma, comme jouer au super-héros l’a été d’abord. Elle s’énerve qu’il fasse si peu alors qu’il semble pouvoir tout faire, et il l’invite à voir dehors… alors qu’il semble avoir tout supprimé au monde en dehors du bar.
Bon, les défauts demeurent, les qualités aussi. Je continue d’apprécier de voir Tom King plonger Jenny dans les divers troubles du premier quart du XXIe siècle, avec ici une confrontation prévisible mais réussie avec Superman durant la crise du COVID. Le scénariste ne force pas son talent, mais ça fonctionne, alors que l’intrigue principale est abusivement lente et usante. Jeff Spokes continue d’assurer dans des dessins troublants et réussis.
Même qualités et défauts, pour une mini-série qui oppose bien Jenny aux troubles du XXIe siècle, mais ne fait rien d’autre d’intéressant.
j’ai du mal à voir une Jenny sparks qui a combattu dieu admettre que captain Atom soit son dieu, surtout au vu de tout ce qu’elle à pu voir avant.