[quote]présentation de l’éditeur:
Le nom de Gene Vincent est inséparable de son hit intemporel, « Bee-bop-a-Lula ». Mais en 1968, l’époque n’est plus au rockabilly : les fans réclament de la sauvagerie. Quant à Jim Morrison, l’emblématique chanteur des Doors, il rêve d’en terminer avec la musique pour renaître à Paris dans la peau d’un poète.
Les deux artistes, âgés de 33 et 25 ans, partagent déconvenues et désespoir. Morrison voue un culte sans borne à son aîné. Les voilà pourtant tous deux prisonniers d’une célébrité trop précoce, qui les conduit à se détruire.
Défonces suicidaires, bisbilles avec la justice et soucis conjugaux seront le ciment de leur amitié, nourrie d’alcool, de drogue, d’errance et de blues. Résistera-t-elle aux excès en tous genres ? Quand la réalité rattrape la fiction, en 1971, ne reste que le souvenir de deux existences foudroyées à trois mois d’intervalle.
Los Angeles, Woodstock, Miami, Toronto, Paris… Dans ce roman où les faits réels alimentent la fiction, on croise John Lennon, Alice Cooper, Richard Nixon, Elvis Presley, Charles Manson. Le tout rythmé par les commentaires d’un vieil animateur radio qui a vécu en direct une époque bénie où le rock’n’roll était bien plus qu’une musique à danser.[/quote]
Tu l’as lu Barney celui ci?
je l’ai démarré aujourd’hui
Curieux d’avoir ton retour à la fin de ta lecture.
A travers les souvenirs d’un vieil animateur radio,Walker Simmons, Michel Embareck nous plonge dans l’intimité et l’amitié liant Jim Morrison et Gene Vincent.
Mélangeant fiction et faits réels on suit,jusqu’au bout de leurs routes, les déambulations imbibées de ces 2 géants du rock.L’un n’aura jamais accepté la tournure de sa carrière, se préférant poète ou cinéaste plutôt que chanteur, et l’autre ne se remettant jamais,tant sur le plan physique que psychologique, d’un grave accident de moto.L’un sera parti avant de devenir un mythe,la « marque » Doors devant très lucrative avec sa disparition, et l’autre l’aura connu très (trop?) tôt avec Bep Bop a Lula sans savoir que son sommet était déjà derrière lui.
Un roman habité,des dialogues savoureux et des questions en suspens sur la mort de Jim.
Un régal qui réalise un vœu,un fantasme: les connaitre de leur vivant
Belle chro, merci Barney.
merci
je suis bien content,cela m’a permis d’échanger avec Michel Embareck