JIM STERANKO : TOUT N'EST QU'ILLUSION... (Guillaume Laborie)

Mais qui ne cuisinent que ce qu’ils connaissent !

Pendant les confinements, ils ont été obligés de cuisiner eux-mêmes, c’est pour ça qu’il avaient fait des réserves de PQ.

J’en connais…
Quand on est dans un restaurant Chinois/Indien/Libanais/Que-sais-je et que la personne en question veut un steak-frites, on ne sait pas trop où se mettre, d’ailleurs…
Chez certains, ce doit être une forme de chauvinisme, même.

En ce qui me concerne, il y a plein de trucs que je n’aime pas*, mais j’aime découvrir de nouveau trucs (bon, il y a certaines limites, tout de même).

*ou, plutôt, il y a plein de trucs que plein de gens aiment… Mais j’aime plein de trucs que peu de gens (dans mon entourage, en tout cas) aiment.

Tori.

On a ouvert Cayenne pour moins que ça.

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Je ne cuisine pas mais j’ai peu de limites culinaires. Disons qu’il y a des produits que j’essaie d’éviter par conviction non religieuse : huile de palme, baleine …

HAHAHAHAHA

Jim

La mauvaise volonté, c’est quand même un sport national dans lequel on excelle !

Tout le monde a le droit d’avoir des préférences, et même de ne pas être attiré du tout par certains plats qu’il ne connaît pas. C’est juste la méfiance immédiate, immodérée et trop affichée que manifestent certaines personnes que je connais dès qu’ils sont face à un plat qu’ils ne connaissent pas qui me débecte. Et je ne parle même pas des voyages à l’étranger ou les gens tirent la tronche parce qu’ils n’ont pas un « petit-déjeuner normal » (sic) et autres joyeusetés de ce genre.

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Jim

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Tout l’inverse : dès que je ne connais pas, j’ai envie de goûter. J’ai un ancien collègue qui m’a dit qu’avec un tel régime, j’allais un jour avoir des problèmes suite à la dégustation d’un carpaccio de St Jacques (bon lui n’était pas du tout aventurier)

Le rapport des gens à l’alimentation (la façon de consommer, l’attirance ou non pour les plats « exotiques »…) est quand même un fabuleux indicateur sur plein de choses sur les gens ou la société ! Un peu dans le même ordre d’idée, je fait mes courses dans une célèbre enseigne américaine où on peut acheter des produits en grosses quantités, aussi bien des produits sains de bonne qualité que de gros paquets de cochonneries, et c’est toujours intéressant de comparer le contenu des charriots pour se donner une idée de comment et ce que les gens consomment.

Je faisais ça quand j’allais dans un hyper français. … Maintenant j’ai la chance d’alier dans un magasin de producteurs … Donc c’est comme sur FB, tu ne croises que des gens qui ont le même genre de logique … Au moins sur un sujet.

Ce qui est bien chiant aussi c est d avoir du prendre l habitude de demander, quand tu as l habitude de recevoir : tu manges de tout ?

Quasi. Y a quelques trucs que je n’aime pas et des trucs pour lesquels je ne prends aucun plaisir quand j’en mange, mais ouais, je suis assez curieux culinairement parlant. En tout cas, c’est ce qu’on dit de moi.
Ma femme savait rapidement ce que je pouvais prendre au resto, s’il y a un produit inconnu ou une association qui m’est inconnue. Ce qui était compliqué, c’est quand j’allais dans un resto d’une nation que je n’avais pas encore testé. J’avais trop de choix ! :rofl:

Parce que ce n’était pas le cas, avant ?
Ah, c’était peut-être la variante « Tu aimes tout ? », cela dit…

Ayant des membres de ma famille musulmans, juifs, bouddhistes (entre autres religions, mais ce sont celles qui ont de vrais interdits liés à la nourriture), ça fait longtemps que je suis habitué à ce que tout le monde ne mange pas la même chose (les repas de famille, ça a toujours été repas partagé, avec un buffet constitué de mets apportés par chacun… Il fallait seulement préciser ce qu’il y avait dedans).

Tori.

du coup, j’ai vu que la fin, mais j’ai compris ce que tu voulais dire.

La première fois que je suis entré dans un restaurant éthiopien, avec un groupe d’amis (à la suggestion d’un couple faisant partie de ce groupe)… Moi : « Zut, je ne sais pas quoi prendre : tout me fait envie », les autres personnes du groupe : « Euh… Qu’est-ce qu’on fout là, on change de resto ? »…
Au final, j’ai goûté à plein de trucs : j’ai fini leurs assiettes (et certains sont allés se faire un fast food derrière…).

Tori.

Ah ah ah, faut vraiment qu’on se croise quand je passerai sur Orléans et que ce sera ouvert.

Oui puis maintenant faut rajouter les végétariens, les vegetaliens, les allergiques au gluten…

Pas facile de partager le repas avec autant de mouvement qui visent a rendre ça précisément impossible.

Le communautarisme de l assiette

Haha

Pardon : je n’ai pas compris ce que tu voulais dire.

Bon on rouvre cayenne c est décidé.