Après la fin de la série Green Lantern, le scénariste Geoffrey Thorne et le dessinateur Marco Santucci continueront l’histoire de John Stewart dans un one-shot prévu pour décembre.
John Stewart has been trapped in the dark sectors for months with the rest of his Green Lantern comrades. With the power of the Godstorm at his disposal, John’s using everything he can to take down Esak, the mad New God, and bring his fellow Corpsmen home. John will need to become something new to win the war against Esak: he’ll need to become the Emerald Knight!
Writer: Geoffrey Thorne
Artist: Marco Santucci
Colors: Michael Atiyeh
Letters: Rob Leigh
Release Date: December 27, 2022
John Stewart has been trapped in the dark sectors for months with the rest of his Green Lantern comrades. With the power of the Godstorm at his disposal, John’s using everything he can to take down Esak, the mad New God, and bring his fellow Corpsmen home. John will need to become something new to win the war against Esak: he’ll need to become the Emerald Knight!
Malin et satisfaisant.
Geoffrey Thorne bénéficie d’un gros one-shot pour achever sa saga sur John Stewart et quelques GL perdus dans les Dark Sectors, comme vu dans la récente et disparue série Green Lantern. John y est perdu avec des copains, sans anneau ; mais John bénéficie d’une Ascension, a des pouvoirs cosmiques pour combattre Esak, un New God déviant. Guidé par Lonar, John erre donc dans les Dark Sectors depuis deux ans, a reconstruit une armada en donnant un peu des pouvoirs, mais ça n’est pas assez. Finalement, John parvient à piéger Esak dans une auto-analyse pour le forcer à « aller de l’avant », lui qui refusait les évolutions des New Gods en voulant en recréer. Esak devient le New God de la Nostalgie, est « piégé » dans son rôle et promet de se venger. John a pu le pousser ainsi en se dédoublant via Hypertime, et « laisse » un John dans les Dark Sectors avec des alliés locaux pour gérer l’ensemble, et un autre John rentre avec les GL.
Emballé, c’est pesé ! Geoffrey Thorne est malin en ménageant tout le monde : il ramène John Stewart et les GL, mais laisse un John ici avec ses nouveaux personnages, comme marshall des Dark Sectors et son nouveau rôle cosmique. Habile. Dommage qu’il passe par une utilisation facile d’Hypertime pour ça, mais l’idée est cool et l’ensemble rend bien.
Surtout, même la gestion d’Esak est bonne, avec un New God paumé et finalement forcé à grandir. C’est bien, comme le graphisme léché de Marco Santucci, qui livre une très belle copie.
Une belle conclusion, avec une gestion intelligente et habile.