Quand un psychiatre affilié au Joker tente de guérir le plus grand criminel de Gotham, c’est le début d’une descente aux Enfers pour celui qui était jusqu’ici un père de famille aimant et paisible.
Mais cette spirale de dépression et d’hallucinations violentes ne cache-t-elle pas aussi un réel gouffre au sein même de sa psyché ?
Pas mal, pas mal du tout même, une plongée dans la folie (même si c’est tout de même léger et bien loin de la démence d’un Arkham Asylum).
L’histoire est celle du nouveau psy du Joker ce dernier veut le traiter pour 3 semaines, bien évidemment rien ne va se passer comme prévu.
Il y a des choses non révélés dans le pourquoi du comment pour entretenir le suspens et une part de mystère, mais j’admets que ça aurait été aussi pas mal de voir comment le Joker procède.
Mon plus gros bémol pour moi c’est l’épilogue qui à mon sens n’en est pas un, mais le début d’une nouvelle histoire qui n’est malheureusement pas fini.
J’en parlerais plus longuement quand les gens l’auront lu, car c’est un peu dur pour pas spoiler.
Je pense que plusieurs lectures sont nécessaires pour bien l’appréhender.
Mais clairement, ce n’est pas de la lecture légère qu’on lit pour se détendre un peu…
Tout a fait d’accord. Je n’ai pas du tout aimé ce chapitre surtout qu’au début j’ai essayé de le lire dans la continuité de l’histoire précédente. Ce n’est clairement pas un épilogue, c’est une autre histoire.
Sinon, j’ai beaucoup aimé l’ambiance de la narration principale. J’aurais quand même préféré que l’évolution du personnage principal se fasse plus sur la longueur.
En tout cas, encore un superbe boulot de Sorrentino d’un point de vue graphique ainsi que du découpage qui évolue au fil de la narration.
Plutôt d’accord avec vous cet « épilogue » me laisse un peu sur ma faim mais pas forcément dans le bon sens du terme… L’ajout de cette histoire semble un peu forcé et sent un peu le remplissage… Et pourtant il y aurait de quoi faire quelque chose de pas mal…
Sinon j’ai beaucoup aimé l’histoire principale, les rebondissements et les références mais comme l’a dit Mr Kab il manque un quelque chose ou plusieurs petits, comme la façon dont le joker arrive à son résultat, encore plus de détails sur la relation entre le patient et le psy et pousser encore un peu plus dans la folie…
En plus Lemire et Sorrentino, je conseille en tout cas…
