Le producteur Frank Marshall a lui-même officialisé la nouvelle sur son compte twitter : la suite de Jurassic World, l’un des plus gros succès de l’année 2015 avec plus de 1,6 milliard de dollars de recettes au box-office mondial, sera réalisée par l’espagnol Juan Antonio Bayona (L’Orphelinat, The Impossible et le prochain A Monster Calls).
Colin Trevorrow, le réalisateur du premier volet (et futur metteur en scène de Star Wars : Episode IX), reste attaché à la franchise en tant que co-scénariste et producteur exécutif.
Les vedettes de Jurassic World, Chris Pratt et Bryce Dallas Howard, avaient déjà annoncé leur retour.
Jurassic World 2 sortira en France le 6 juin 2018.
), reste attaché à la franchise en tant que co-scénariste et producteur exécutif.
Tant mieux. Je voulais justement savoir s’il peut faire pire que le précédent.[/quote]
Tu n’es qu’une boule de haine.
Et je m’y connais !
Là, ils s’adjoignent les services d’un réalisateur qui a des idées, qui sait tenir une caméra, qui n’est pas loin de la règle du « une idée, un plan », qui utilise le son (et le silence) avec une finesse redoutable, qui sait faire monter le suspense avec pas grand-chose et créer des atmosphères de tension avec une caméra immobile…
Donc bon, on a des chances d’avoir des images et une atmosphère qui claquent plus que dans le film précédent. Ça ne nous abrite pas d’un scénario bancal, d’idées ineptes et de dialogues indigents, mais bon, chaque chose en son temps.
« S’il y a une chose que l’histoire de l’évolution nous a enseignée, c’est que la vie ne peut pas être retenue. La vie se libère, elle s’étend à de nouveaux territoires et brise les barrières, douloureusement, »
« La vie trouve toujours un chemin. »
« Dieu crée les dinosaures. Dieu détruit les dinosaures. Dieu crée l’Homme. L’Homme détruit Dieu. L’Homme crée les dinosaures. »
J’ai peur des scénaristes ( Jurassic World, Skull Island…, c’est pas des flèches pour des films de monstres sur une île ).
Le réal me rassure ( à l’inverse du dernier, lui de l’ADN Spielbergien ), Ian Malcolm est un argument de vente solide ( en 20 ans il a eu le temps d’être encore plus cynique , espérons qu’il ne soit pas qu’un caméo de luxe ). On n’est pas à l’abri d’un bon film. La mise en scène peut sauver d’un scénario faible .