JUSTICE LEAGUE #40-58 (Venditti, Spurrier, Loveness, Williamson / collectif)

La cover a un goût de Gene Ha. Vous ne trouvez pas?

non.

Période Authority si tu te souviens (mais ça m’étonnerait). Y a un truc.

JUSTICE LEAGUE #54

Written by: Joshua Williamson.

Art by: Xermanico.

Covers by: Liam Sharp, Howard Porter.

Description: « Doom Metal » part two of five storms the stage in this essential Dark Nights: Death Metal tie-in! It’s the Titans reunion you’ve been clamoring for when Starfire and Cyborg join Nightwing in this twisted Justice League. The team is hell-bent for Brimstone Bay to free the Legion of Doom, but what horrors and desires will the Valley of Starros reveal to them – and who or what is the villain named Mindhunter?

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Oct. 6.

JUSTICE LEAGUE #55

Written by: Joshua Williamson.

Art by: Robson Rocha, Daniel Henriques.

Covers by: Liam Sharp, Simone Bianchi.

Description: The motley crew of « Doom Metal » sets sail for the cliffs of insanity, captained by Nightwing – or so he thinks! The team fractures, and Detective Chimp reveals the horrible secret wish in his heart. And speaking of hearts, Hawkgirl will stop at nothing to find Martian Manhunter, even if she jeopardizes the League’s mission and their souls. Part three of this five-issue tie-in to Dark Nights: Death Metal features the debut of a villain so huge he dwarfs all hope. Enter the Omega Knight.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Oct. 20.

JUSTICE LEAGUE #56

Written by: Joshua Williamson.

Art by: Robson Rocha, Daniel Henriques.

Covers by: Liam Sharp, Tony S. Daniel, Danny Miki.

Description: « Doom Metal. » part four of five! In this Dark Nights: Death Metal tie-in issue, the Justice League has nowhere left to hide from the agents of Perpetua. The towering, nightmarish Omega Knight hunts them to the edges of Brimstone Bay and will stop at nothing until the team is obliterated! And all the while, above Perpetua’s throne, Hawkgirl battles the Mindhunter for the soul of the man she loves: Martian Manhunter!

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Nov. 3.

FUUUUSIO… ah non, raté !

Ah! Ah! J’allais faire le même commentaire !

Tori.

JUSTICE LEAGUE #57

Written by: Joshua Williamson.

Art by: Xermanico.

Covers by: Liam Sharp, Philip Tan.

Description: « Doom Metal, » part five of five! The Legion of Doom has been freed – and now they’re turning on their saviors – the Justice League! Teeth will gnash, knuckles will be bared, and Lex Luthor will make a decision that shocks everyone, including Batman, Superman, and Wonder Woman. The ending of this epic story leads directly into Dark Nights: Death Metal #5.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Nov. 17.

Ben, il faut la lire cette série pour bien suivre Death Metal?

J’ai arrêté, ça ne m’intéressait pas.
J’ai vu que, pour comprendre comment Brainiac se trouve dans le one-shot de Lobo, il faut lire ça… mais, franchement, ça m’a l’air naze.

Je compte sur tes résumés!!!

La fatigue aidant, j’ai lu « tee-shirt » au lieu de « one-shot » (je ne sais pas pourquoi, me demandez pas…) et j’ai trouvé l’idée cool. Brainiac dans un tee-shirt.
Et puis j’ai relu.
Le monde n’est que déception.

Jim

L’événement Time Lord Victorious de la BBC, qui est sur tous les supports possibles, a pour projet d’avoir un tie-in sur un t-shirt.

Pas sur ça, désolé !

Nop

HAHAHA

Surtout, Brainiac dans le tee-shirt de Lobo, quand même !

Tori.

Et moi, je viens de lire autre chose. Sacrée fatigue!!!

Avec beaucoup de retard de lecture, mes pensées sur Jusitce League51-52, de Loveness et Rocha :

Une bonne histoire qui marche non pas comme un simple rappel du classique de Superman « For The man Who has Everything » (superman annual 11, 1985), mais un peu comme une suite.
Dans ce numéro de 1985, Superman, Batman, Wonder woman et Robin était confrontés à une plante, « the black mercy », un parasite se nourrissant de l’esprit de sa victime, plongée dans un état de rêve pendant que le parasite se nourrit.

Ici, dans ces deux numéros, la justice League tombe sur une planète où une pousse de Black Mercy est arrivée à maturité, il s’agit même de son monde natal, là où l’exemplaire de 1985 ou de Green Lantern Rebirth n’était que simples pousses.
Des rappels à la continuité actuelle sympathiques (surtout pour Superman/Clark), un peu à différentes morts de héros (dont Crisis), mais rien de très lourds.

Par contre, à l’inverse de la première apparition de cette plante, qui s’était beaucoup confronté à Superman (forcément), ici, l’on s’appuie énormément sur Batman. Au point que l’on ne voit pas vraiment les réactions des autres, ce qui aurait pu être vraiment intéressant (je suis très curieux pour Steward).

Mais la partie pour faire tomber Batman, en se servant de sa mère, et à l’ammener à arrêter d’être Batman a vraiment été bien traité. J’ai vraiment aimé.

Mais la meilleure partie vient de la conclusion du numéro 52. Une discussion honnête et franche entre Bruce et Clark, qui peut servir autant de conclusion au numéro actuel qu’à l’histoire de 1985.

Si vous avez l’occasion de lire cette histoire, et que vous connaissez le récit de 1985, ces deux numéros sont franchement pas dégueulasses. Par contre, la Justice League est vraiment en retrait, notamment Wonder Woman : elle a quelques cases fortes et un moment clé dans la résolution, mais rien de bien transcendant alors qu’elle était dans l’histoire de 1985. L’on ne sais même pas ce que fut son rêve, c’est dire.

Bon, maintenant, faut que je continue à rattraper mon retard, mais même si ce sont des numéros hors d’un run, je pense qu’ils valent le coup, largement plus que ça qu’a pu publier Venditti juste avant sur l’équipe.