JUSTICE SOCIETY OF AMERICA #1-9 (Geoff Johns / Mikel Janin, Marco Santucci)

C’est pas la fille du premier ?

Jim

Il avait pas un fils ?

Toute une portée en fait.

En passant chez le véto, aujourd’hui, j’ai vu une portée de Main Coon que l’éleveuse venait faire vacciner. Purée, déjà plus de deux kilos alors qu’ils ont deux mois et demi : de futurs colosses !

Jim

Ah, après vérif, Yolanda Montez n’est pas sa fille mais sa filleule.
Compliqué, les généalogies, chez DC.

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Apparue dans Infinity Inc #12, en 1985.

Jim

Si même toi tu le dis

Wild cat… Souvenirs…

C’est bien, ça.
Geoff Johns s’amuse sur son intrigue temporelle, mais ne perd pas de temps. Sa Helena Wayne du futur se réveille en 1940, envoyée par sa mère pour échapper au mystérieux étranger, bien révélé être Per Degaton. Huntress, aussi observatrice que son père, se présente à la JSA, mais le scan de Dr Fate le trouble et le « projette » en 1941, où il erre dans Slaughter Swamp. Avec Salem The Witch Girl, sa sidekick, à aider Mr « Thaddeus Brown » Miracle qui veut arrêter Solomon Grundy (et son « épouse »), tout en évoquant la Justice Society Dark. Dr Fate revient en 1940, « voit » la menace future mais Helena est encore happée par le Temps et erre dans plusieurs époques… avant de revenir au présent, pour voir la JLD et Khalid « Dr Fate » Nassour.
C’est bien, oui. Geoff Johns ne perd pas de temps, confirme l’évidente identité du super-vilain, et s’amuse des errances temporelles ; cool. Sa Helena est plutôt intéressante, compétente sans être encore trop brillante. Les passages avec Selina (qui se sacrifie dans le futur [ou le futur passé ?]) sont bons, comme le petit lien avec la mini-série Stargirl: The Lost Children.
C’est bien. Ca n’avance pas tant que ça, quand même, mais c’est solide et fluide, avec une bonne approche générale. Mikel Janin assure, il est aidé par un bon Scott Kolins et un Jerry Ordway appliqué.

C’est bien et intriguant. Cool !

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C’est vraiment super. On sent qu’il est dans son trip, évoque les « douze oubliés », la JSA de Janin est belle, etc…

Un Geoff Johns bien en forme!

Tiens, j’ai cru comprendre que 12 numéros sont prévus. Quelqu’un peut confirmer ?

Je sais pas…normalement , c’est indiqué sur la couverture…

Non, c’est une ongoing.

Written by: Geoff Johns.

Art by: Mikel Janin, Jerry Ordway

Covers by: Mikel Janin, Yanick Paquette, Stephen Sadowski.

Description: Huntress’ journey to save the Justice Society of America lands her smack dab in the middle of the 1940s at the birth of the team! Can Huntress and the present-day JSA work together long enough to figure out how to stop the strike on the '40s team?!

Pages: 32.

Price: $3.99 (variant $4.99).

Available: March 14.

Agréable et efficace.
Geoff Johns avance doucement sa série, elle dont les numéros sortent quand même de manière irrégulière, ce qui est un rien dommage. Pas grave, mais gênant pour le dynamisme.
Bref, que se passe-t-il ici ? En 1944, un Unknown Soldier donne à la Easy Company des informations pour stopper Per Degaton, jeune savant fou nazi en devenir. Leur intervention semble le tuer dans l’explosion de la machine, mais cela lui prouve qu’elle fonctionne et qu’il peut voyager dans le Temps. Dans le présent, la Huntress du futur rencontre Dr Fate, Detective Chimp et Deadman de la JLD. Le jeune Khalid, troublé à l’idée d’être tué à l’avenir, emmène Helena voir la JSA du présent, qui repousse des Bizarros. Helena leur explique la situation, la JSA la croit mais Degaton débarque pour les tuer, quand ils cherchaient qui appeler pour de l’aide.
C’est bien. Geoff Johns gère bien la narration sur divers aspects temporels, et il est agréable de voir plusieurs héros de plusieurs époques. Sa Huntress est bien une badass bien badass, mais ça va avec le personnage et la lignée. Les interactions avec la JSA du présent sont agréables, même si je n’ai pas d’affect avec les Wildcat et Dr Mid-Nite féminines.
En soi, ça ne révolutionne rien mais ça se lit bien, soutenu par un bon graphisme. Jerry Ordway est très fluide et appliqué dans le passé, et Mikel Janin livre de très belles planches, très agréables à l’oeil.

Une bonne série. Même si…
Même si j’aimerais qu’elle sorte plus souvent. Et que les héros ne cherchent pas « juste » à se sauver eux-mêmes.

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Justement, la Mid-nite, c’est nouveau ça, non?
GJ sort cela de la série TV, non?

Par contre, je trouve que son Johnsverse est quand même sympa à suivre, surtout avec ce fil rouge temporel. Je suis curieux de voir tout cela se croiser avec la fin de Stargirl.

Et puis, il est sympa d’évoquer un peu le personnage de Per Degaton et son ambition de conquête temporelle. Bien sur, son Huntress a une sacrée attitude. Les retours de la JSA sur son comportement sont d’ailleurs bien écrits.

Une vraie bonne série.

Tu as raison, attention à ne pas se perdre dans les retards.

Oui, la MidNite vient de lui et a déjà une histoire compliquée alors qu’elle est créée en 2020 ( Elizabeth Chapel (Prime Earth) | DC Database | Fandom ).

C’est un personnage apparu dans « Infinity Inc » dans les années 80.

Et on la voit dans Doomsday Clock sur la double-page actant le retour de la Légion et de la JSA.

Je vous conseille ce podcast de First Print. L’invité est Geoff Johns.
Le podcast est très interessant. L’auteur y retrace sa vie, ses jobs, sa soeur et l’émotionnel qu’il met dans ses histoires.

Belle prise!

Geoff Johns : deuil & thérapie par les comics [Une année avec les auteurs Urban Comics 2023 #3] - First Print (first-print.fr)

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JUSTICE SOCIETY OF AMERICA #4

Written by: Geoff Johns.

Art by: Mikel Janin.

Covers by: Mikel Janin, Yanick Paquette, Jay Hero.

Description: Helena’s journey through time continues! Each new time period gives her one more piece of the puzzle, but is Degaton too far ahead in his quest to eradicate the JSA to be stopped? Is this truly the end of the Justice Society?

Pages: 32.

Price: $3.99 (variant $4.99).

Available: May 16.