An X de l’ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n’est que le prologue de calamités à venir. Quelque temps plus tard, à bord du paquebot de luxe Fugaku, se trouve Konoé Sakimori, militaire fraîchement diplômée de l’Académie de défense nationale. Quand un kaijû attaque le navire, une lutte sans merci débute pour les Forces japonaises d’autodéfense qui tentent de repousser ces monstres redoutables. Dans leurs rangs, la jeune Konoé pourrait bien devenir l’héroïne dont le monde a besoin pour sortir de ce cauchemar…
Kaijû Defense Force est la nouvelle série de Junya Inoue, auteur de Btooom! et La Vie en doll. Découvrez un récit d’action, ultra réaliste, qui mêle technique militaire, mechas et kaijû, publié dans le magazine Comic Brunch, périodique phare de Shinchôsha.
An X de l’ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n’est que le prologue de calamités à venir.
Agrippé sous le paquebot de luxe Fugaku, le kaijû déploie ses tentacules à l’intérieur du bateau et attaque les passagers les uns après les autres. Pendant un instant, Konoé manque de sombrer face à cette situation désespérée et totalement imprévisible. Elle parvient cependant à retrouver son sang-froid et la voici désormais prête à donner le signal de la contre-attaque… Son courage parviendra-t-il à sauver les passagers du danger ?
Kaijû Defense Force est la nouvelle série de Junya Inoue, auteur de Btooom! et La Vie en doll. Découvrez un récit d’action, ultra réaliste, qui mêle technique militaire, mechas et kaijû, publié dans le magazine Comic Brunch, périodique phare de Shinchôsha.
Trois, en fait, parce que si je comprends bien, Kaiju Girl Carameliser, malgré son côté romantique / comédie, joue sur l’esthétique et les ressorts des gros monstres.
Quatre en comptant Asadora, qui est clairement dans le monde des gros monstres, mais un peu à hauteur d’homme, comme Cloverfield d’une certaine manière.
Mais bon, oui, ça ne fait pas une déferlante.
En revanche, ça m’amène à poser une question.
Est-ce que l’histoire éditoriale des mangas est marquée par des grands genres, qui auraient connu, mettons, leur heure de gloire, leurs grandes œuvres qui en définissent les contours, ce genre de choses ? Un peu comme le cinéma américain a connu sa période roman noir, sa période western, sa période films catastrophe, aujourd’hui sa période super-héros ? Ou la BD franco-belge dominée par l’historique dans les années 1980, par l’heroic-fantasy dans les années 1990 voire 2000 ?
Par exemple, en parcourant cette section, je trouve qu’il y a beaucoup d’œuvres apparemment récentes qui ont des sorcières en couverture ou dans le titre.
Corollaire à ça, est-ce qu’il y a des genres qui ont disparu ? Ou qui ne sont plus représentés qu’avec parcimonie, au compte-goutte, alors que jadis ils étaient florissants ?
Oui, les sorcières, les chats et les isekai (type d’histoire dans lequel on suit un personnage qui est transporté dans un autre monde (dans son propre corps, ou réincarné). Ce dernier thème permet de faire un manga de fantasy en y ajoutant des éléments modernes. Le gros chat et la sorcière grincheuse réunit les trois éléments !
Il y a aussi pas mal de survival.
Pendant un moment, il y avait la mode des mangas de vampires, aussi.
Parmi les thèmes qu’on ne voit plus trop, je n’ai pas trop d’idée, mais il y en a certainement.