« As far as event books go, this is the coolest, darkest, most heavy metal, Cthulhu dark horror thing I’ve ever been able to do. I still can’t believe that Marvel is letting us go as dark and scary as we’re going. »
Ryan Stegman :
« One of the things I’m most proud of in this series… is the creation of the character Knull. We have some new designs that we’ll be unveiling throughout the series that are really cool and really creepy. »
Covers by: Ryan Stegman, Ian Bederman, Taurin Clarke, Peach Momoko, Leinil Francis Yu.
Description: After a campaign across the galaxy, Knull’s death march arrives to Earth and, worse yet, he hasn’t come alone! With an army of hundreds of thousands of symbiote dragons at his command, the King in Black is a force unlike any Earth’s heroes have ever faced. Eddie Brock, A.K.A. Venom has seen firsthand the chaos that even one of Knull’s symbiotic monsters can wreak – will he survive an encounter with the God of the Abyss himself?
Je n’ai lu que le #1 de Venom, et j’ai suivi de loin les bons avis récents sur le run et Absolute Carnage.
Je me suis lancé ici, curieux.
Et pff… c’est quand même pas mal, hein. Bon, je reste un peu « surpris » que Eddie Brock lance des « Cap » ou « Tony », hein, mais l’ensemble fonctionne bien. C’est fluide, ça résume les éléments précédents sans vraiment le faire (l’esprit de l’intrigue est facile à comprendre), et les enjeux sont bien définis… et intenses.
C’est épique, même.
Un peu rapide, parce que ça tape très dur et très vite, mais ça participe à l’extrémité de la menace. Knull est bien caractérisé en épouvantail cosmique, son acte de bravoure ici marque sa puissance, et le cliffhanger est prévisible mais bien amené. Et Ryan Stegman assure, avec des traits nerveux, et une belle ambiance apocalyptique.
Ouaip, j’aime bien. Je suis pris dedans, à ma grande surprise, et les annexes résument très bien les événements précédents.
J’ai fait une pause dans mes lectures après Absolute Carnage, mais ta réaction m’évoque la mienne à presque chaque fois. Sur un personnage dont je me moque ordinairement au dernier degré. C’est d’ailleurs là que je tire mon chapeau à Cates : il me rend intéressant un protagoniste dont j’évitais autant que possible les apparitions, même dans son incarnation précédente.
Bref, je pense que je ne vais pas tarder à reprendre ma lecture.
Les Vengeurs étaient là durant Absolute Carnage, et ils ont revu Eddie dans l’arc« Venom Island ». Et l’ambiance se réchauffe un peu. Cates intègre et légitimise peu à peu son personnage au sein de la communauté des héros.