KING IN BLACK : SYMBIOTE SPIDER-MAN #1-5 (Peter David / Greg Land)

C’est bien sympa’.
Peter David maîtrise bien son récit, mais surtout sa façon d’écrire : tout est fluide, même les bulles de pensées. Les dialogues sonnent bien, les personnages sont bien écrits, c’est drôle (souvent), et c’est assez intelligent dans l’approche.
Bon, Spider-Man est presque « secondaire » parfois, tant Rocket ou Kang sont bien mis en avant, mais tout fonctionne vraiment bien. J’apprécie beaucoup les interactions, et ce patchwork de personnages est bien cool.
Greg Land gère ça bien, même si certaines expressions sont assez exagérées… ouais, surtout Monica, comme on peut l’imaginer.

Bon, je ne sais pas du tout comment PAD va retomber sur ses pieds pour lier ça à King in Black, bien au-delà dans le futur, mais c’est cool.

Forces collide! Spider-Man and his allies learn you can’t just walk around Knowhere without running into trouble… Enter: Ulik!

Written by : Peter David
Art by : Greg Land
Cover by : Greg Land
Page Count : 24 Pages
Release Date : February 24, 2021
Age Rating : 9+ Only

Peter David s’amuse avec des personnages secondaires de l’univers Marvel, et c’est cool. Il maîtrise bien l’ensemble, et donne une approche drôle, fun et enjouée à tout ça. Greg Land dessine ça avec fluidité, sans les poses gênantes qu’on a lui légitimement lui reprocher.
C’est cool, oui. Ca se veut juste divertissant, et ça fonctionne pleinement.

Mais bon, ça manque toujours de Black Knight !

SYMBIOTE SPIDER-MAN: KING IN BLACK #5

Written by: Peter David.

Art by: Greg Land.

Cover by: Greg Land.

Description: The god-king of the symbiotes has made his presence known across space and time - will the assembled heroes of Marvel’s yesteryear be enough to stave off his suffocating darkness, or will every corner of the Marvel Universe fall to the King in Black?

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: March 31.

Conclusion sympathique et enjouée. Peter David s’amuse dans un final dynamique, où il confirme qu’il a bien aimé utiliser des personnages disparates pour une aventure sans réelle conséquence, mais qui a été agréable à suivre. Dommage que ça ait manqué de Black Knight, trop « prétexte » ici, et surtout trop absente.
Greg Land a bien géré la partie graphique, en ne s’abandonnant pas trop souvent aux poses putassières pour lesquelles il a été connu.

Sympathique, anecdotique, mais réjouissant.