Discutez de La guerre des mondes (Dobbs)
La critique de La guerre des mondes (Dobbs) T.1 (simple - Glénat BD) par ginevra est disponible sur le site!
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La critique de La guerre des mondes (Dobbs) T.2 (simple - Glénat BD) par ginevra est disponible sur le site!
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Vers 2017, les éditions Glénat se lancent dans un pari inattendu, celui de confier à un seul scénariste l’adaptation des textes les plus connus de l’écrivan Herbert George Wells. C’est ainsi que L’Homme invisible, L’île du Docteur Moreau et La Machine à explorer le temps voient le jour, sur un ou deux tomes, illustrés par des dessinateurs différents.
La Guerre des Mondes accompagne ces titres sous la forme d’un diptyque, dont les couvertures arborent le bandeau vertical propre à la charte graphique de la collection, une charte destinée à conférer à l’ensemble une unité mais aussi un espèce de charme désuet susceptible de renvoyer à la période dans laquelle se déroule l’action.
Car l’intérêt de ces adaptations c’est de coller au texte d’origine, y compris en situant l’action dans la société anglaise de la fin du XIXe siècle. Il n’est pas question de transposer le roman dans la période moderne ou d’en donner une suite ou une déclinaison. Comme dans les autres livres de la collection, Dobbs s’attache à restituer l’atmosphère privilégiée par le romancier.
Les dessinateurs sont de provenances diverses. Pour cette Guerre des mondes, c’est l’Espagnol Vicente Cifuentes qui lui prête main-forte. Plus connu comme encreur sur le marché des comics américain (par exemple, de mémoire, sur les crayonnés d’Andres Guinaldo pour Justice League Dark), Cifuentes s’impose ici en dessinateur. Il adopte pour l’occasion un style semi-réaliste qui se marie assez bien avec les exigences du marché franco-belge.
Jim