Linda Cardellini, Patricia Velasquez, Raymond Cruz, Sean Patrick Thomas…
INFOS
Long métrage américain
Genre : horreur
Titre original : The Curse of La Llorona
Année de production : 2018
SYNOPSIS
Quand elle était en vie, elle a noyé ses enfants dans un accès de folle jalousie, puis, dévastée par le chagrin, elle s’est jetée dans le fleuve déchaîné.
Désormais, ses larmes sont devenues éternelles. Elles sont même mortelles et tous ceux qui entendent ses appels sinistres la nuit sont maudits. Tapie dans l’ombre, la « Llorana » s’attaque aux enfants, cherchant désespérément à remplacer les siens. Au fil des siècles, elle est devenue de plus en plus prédatrice… et ses méthodes de plus en plus terrifiantes.
Los Angeles, années 1970. La Llorana hante la nuit… et les enfants.
Ignorant les avertissements d’une mère soupçonnée de violence sur mineurs, une assistante sociale et ses enfants sont projetés dans un monde surnaturel des plus effrayants. Pour espérer survivre à la fureur mortelle de la Llorana, leur seul recours est un prêtre désabusé et ses pratiques mystiques destinées à repousser les forces du mal… à la frontière où la peur et la foi se rencontrent…
Peut-être aussi parce que c’était l’opposante de Batwoman dans le (très bon) premier arc de la série de J.H. Williams III et W. Haden Blackman.
C’est un personnage de légende / folklore mexicain, pas dépourvue de fond politique par ailleurs car une forte tradition semble fusionner bizarrement cette figure avec celle, historique celle-là et encore plus ambivalente, de « la Malinche », la maîtresse indigène du conquistador Hernan Cortés.
Non, parce que j’ai pas lu ça et parce que cet album de Lhasa, ça doit bien faire 20 ans que je le connais !
(si mon PC voulait fonctionner, je me mettrais ça, tiens !)
J’avais pas vu que le titre avait été francisé (faut croire que l’espagnol, ça vend moins bien que l’anglais).
Mais alors, du coup, faut que j’aille faire un tour dans mon congel pour vérifier quelque chose …
Bon, les films de l’univers Conjuring se suivent et se ressemblent (de l’horreur light, comme je disais ailleurs). Visuellement, il y a des plans soignés (la plupart des apparitions de la « dame qui pleure », avec quelques idées plutôt bien vues, simples et efficaces) mais c’est quand même creux et sans surprises. La mythologie de La Llorana est intéressante, tragique, et elle aurait mérité d’être mieux exploitée que dans ce suspense convenu qui coche les cases de tous les passages obligés.