Long métrage américain
Genre : fantastique
Titre original : The House with a clock in its walls
Année de production : 2018
SYNOPSIS
Elevé par son oncle Jonathan, un authentique magicien, Lewis a grandi dans un monde fait de magie et de merveilleux. Mais quand le jeune garçon découvre que leur propriétaire, un sorcier du nom d’Isaac Izard, pourrait déclencher la fin du monde, une course contre la montre s’engage pour empêcher que ce plan maléfique n’aboutisse…
Il était temps qu’il se renouvelle un peu. Je l’ai déjà dit, je ne suis franchement pas fan de son cinéma, mais cette Prophétie de L’Horloge me tente bien, principalement parce que j’aime bien Jack Black et que je le trouve toujours à l’aise dans ce genre de fantaisie. Et en plus il y a Cate Blanchett et Kyle McLachlan, c’est donc une très chouette distribution…
Très chouette distribution en effet, et un net changement de braquet pour Roth qui en avait bien besoin il me semble aussi…
Je n’ai pas vu son « Death Wish », mais il ne me semblait pas de nature à « révolutionner » son travail, même s’il le faisait un peu sortir de sa zone de confort.
Et donc je l’ai vu cette semaine…et c’est sympa sans plus. Il y a pas mal de qualités, dans la distribution (la dynamique entre Jack Black et Cate Blanchett est excellente, leurs répliques sont savoureuses; Kyle McLachlan fait un bon méchant et le gamin n’est pas tête à claques), dans la direction artistique (le décor de la maison est riche, pleins de détails qui la rendent littéralement vivante)…mais pour son premier film tous publics, Eli Roth livre une copie très sage (un comble vu le reste de sa filmographie) et l’ensemble reste assez prévisible. Amusant certes, mais rien qui le distingue vraiment d’autres fantaisies du genre…
Tout à fait d’accord avec toi mais mes enfants ont bien dû le visionner 3 ou 4 fois en peu de temps. Ils sont vraiment dans la cible mais le film rate le coche de la comédie pour toute la famille. Dommage…
Oui, je l’avais vu à sa sortie et j’ai le même avis : sympa’, sans plus.
Ca aurait pu, et même dû, faire plus parce que les ingrédients (acteurs, direction artistique, même l’embryon d’intrigue) méritent quelque chose de plus ambitieux.