Je n’en ai point.
Quant à Paypal, je ne l’ai utilisé qu’une seule fois…
Tori.
Ah carrément.
(Moi, j’ai une carte, un chéquier et du liquide en poche : il m’est arrivé une fois d’être à Paris quand ma carte a cessé d’être active (comment, je sais pas trop, sa fin de validité était pour plus tard… mais il a fallu la changer quand même en avance…) alors que j’avais utilisé mon dernier chèque… Et donc, impossible de retirer du liquide, de payer par carte ou de faire un chèque, et l’emmerdement de taxer les copains pour tout… J’ai juré que plus jamais, quoi !!!)
Jim
Pendant longtemps, mon seul moyen de paiement était le liquide : je n’avais qu’une carte de retrait…
Quand on ne paie qu’en espèces, on se rend bien plus compte de ce que l’on dépense, je trouve.
Tori.
Moi je veux pouvoir réagir assez vite si besoin. Donc je préfère être équipé. On sait jamais.
Jim
Tout comme Jim. Surtout si je chasse.
Hop, reçu le mien.
Bon, pas encore lu, mais le sommaire se compose d’une histoire avec la nouvelle héroïne, d’une vingtaine de pages réalisées par Lofficier et Constanzo, puis de la réédition du premier épisode d’Ivan Karine, la série dessinée par Chiomenti et publiée dans Rodéo dans les années 1960 (ça sera une double découverte, pour moi qui ne connais la vieille série que de nom).
Ça fera la lecture d’après le déjeuner !
Jim
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Bon, c’est tout sympa : une belle slave rencontre le Garde sur les bords de Seine, lui réclamant un joyau mystique gardé par la France depuis longtemps, et susceptible d’alimenter en énergie une ceinture capable de lui faire tenir tête à l’ennemi.
Le gros du récit consiste à retracer la généalogie des héros ukrainiens de l’univers Hexagon (on croise bien entendu Ivan Karine mais aussi un héritier qui permet connecter à d’autres parutions), à travailler la continuité (tiens, Maleficus et les « Doigts de Shivar », qui renvoient à mes épisodes d’Ozark, ça fait plaisir) et à présenter la menace. Celle-ci arrive à la fin de l’épisode, convaincant le Garde de céder le joyau qui pourra s’avérer déterminant dans la guerre.
Sympa, même si la succession de gros plans et les emplacements de bulles plaquées sur les cases sans habillage (ainsi que le noir & blanc) laissent entendre que le bouquin a été fait au plus vite afin d’agréger sans attendre les fonds.
Classique, mais agréable.
Jim
Mitton :
Jim
Le programme du Garde Républicain a pris un peu de retard. Si bien que l’épisode que nous avons réalisé, Jean-Marc Arden et moi-même, est reporté à 2023.
Jim
Je suis sûr que c’est un coup de la Warner !
En attendant ce report, je viens officiellement d’être recruté pour rédiger une aventure d’un numéro de fin d’année du Garde Républicain. Comme tous ces numéros « annuels », ce sera une sorte de team-up, mais je ne dis pas avec qui, ça sera à Jean-Marc Lofficier de faire ses annonces l’année prochaine.
En attendant, je peux préciser que ça sera une écriture à quatre mains, les deux Jean-Marc travaillant ensemble sur le même récit (ça va me rappeler quelques épisodes de Kabur, faits à la sauce plot / script).
Jim
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Super !
On commence juste : relecture de quelques trucs pour la continuité, prise de notes, tout ça. Les deux échanges téléphoniques ont déjà posé les bases, reste plus qu’à bosser.
Jim
Super nouvelle !
Ah ouais … con ça.
La vie est faite de désillusions.
Jim
Quelques infos données par Jean-Marc Lofficier.
LE POUVOIR DU VIKING (inédit)
Scenario: J.-M. Lainé & J.-M. Lofficier; Dessins: Martin Espinoza.
Une menace surnaturelle effroyable surgie du fond des âges met en péril notre globe… Ozark dépêche le jeune mage parisien DOC ZARBI et le GARDE RÉPUBLICAIN pour la contrer. Ceux-ci se rendent au fin fond de l’Arctique pour faire face à ce nouvel adversaire, mais peuvent-ils compter sur leur nouvel allié, VIKING ? Est-il ami, ou ennemi ? Enfin révélées: LES ORIGINES DE VIKING !
Jim
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Bon, ça y est, le scénario du « Spécial Noël » du Garde Républicain, prévu pour fin 2023, est parti chez le dessinateur.
Comme précisé plus haut, le Garde, flanqué d’un autre personnage que j’ai créé et que j’aime beaucoup, va rencontrer Viking.
Rappelons que ce dernier est né dans Bronco, une série éphémère publiée par Lug sous le label Carré d’As, au sein duquel on trouvait aussi Baround (celui qui était davantage orienté vers les récits de guerre), Dago et Pampa (deux titres plutôt western). Les quatre titres ont été lancés en juin 1965. Dago et Pampa n’ont survécu que huit numéros, mais Baround et Bronco ont tenu jusqu’à la cinquante-sixième livraison.
Dans la série, l’action se déroule au XVIIe siècle, et Rothgar, que tout le monde surnomme Viking, affronte différents dangers (notamment des Indiens) aux côtés du professeur batave Von Holland et du Français Vinaigre.
La série était dessinée par Onofrio Bramante, et elle a été rééditée en deux tomes chez Hexagon Comics, sous des couvertures bien musclées de Roberto Castro (j’aime vraiment bien ce qu’il fait, mazette).
Notre scénario (écrit à quatre mains selon le processus suivant : Jean-Marc Lofficier m’a résumé son intrigue par téléphone, j’ai fait le découpage en vingt-quatre planches, que j’ai dialogué après approbation, en laissant à Jean-Marc de la place pour deux scènes de baston et une scène de flash-back) nous permettra de resituer le héros, cette fois-ci dans l’époque contemporaine !
Rendez-vous dans un an pour savoir ce que vous en pensez !
Jim
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