LE JOURNAL DE SPIROU #1-4488 + H.S.

Bien aimé le début du nouveau tome de Black Squaw, avec le flashback sur les frères de l’héroïne. Super Groom, c’est distillé au compte-goutte, je lis et puis j’oublie. Louca, c’est toujours très sympa même si je trouve que l’auteur étire un peu trop certaines situations (je pensais que le tournoi d’e-sport prendrait fin dans cet épisode). Très jolie histoire courte avec Dent pour Dent…l’idée est très chouette et graphiquement, c’est très beau. Et pour les gags d’une page, Dad, La Méthode Raowl et Leon & Lena ont toujours ma préférence…

Oui… Et quand arrive le chapitre suivant, c’est « euh… Qu’est-ce qu’il se passait dans le précédent, déjà ? »

Oui, bien d’accord avec toi.
Tout comme pour les gags, d’ailleurs.

Tori.

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Cette semaine, c’est Capitaine Anchois qui est mis en avant, par la couverture, le gag de l’édito et une aventure un peu plus longue que d’habitude. Mais je n’accroche pas toujours au délire de la série…parfois je trouve ça sympa (comme ces 4 pages) et pour d’autres fois, c’est juste bof. Pas ce que je préfère dans Spirou, donc…
Un peu abrupte comme fin pour ce tome du Spirou d’Emile Bravo, tout de même (mais c’était peut-être pareil pour les précédents que je n’ai pas lus)…

Ah, je n’avais pas fait attention que c’était la fin de l’album ! Gros cliffhanger, du coup !

Tori.

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Sympa, ce numéro spécial. Comme souvent avec ce genre d’initiative, le résultat est inégal (j’aime bien l’idée de l’histoire de Dutreix mais elle tire tout de même un peu trop en longueur) mais il y a de bonnes choses dans ce sommaire (celles de Munuera, Dab’s, Pomès…et Dad bien sûr).

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C’est bien entendu trop tôt pour avoir un avis mais j’ai été assez séduit par le début du tome 2 des Soeurs Grémillet. Je n’ai pas lu le précédent mais ce n’est pas gênant…c’est très beau, avec une atmosphère bucolique dans les premières pages avant l’esquisse d’un mystère. Ca m’a donné envie de lire la suite. Par contre, je suis de moins en moins accroché par Black Squaw. L’entame était pas mal du tout et j’aime la période et l’environnement de l’héroïne mais la narration me perd. L’emploi d’un argot très prononcé n’aide pas non plus à la fluidité des dialogues. Et c’est là que je me suis rappelé que Yann est aussi le scénariste d’Atom Agency, série sur laquelle j’ai rencontré le même problème…

L4200

Entame classique et amusante pour le nouveau Tuniques Bleues, le dernier de Cauvin. Il ne se passe pas encore grand chose pour les Soeurs Grémillet mais je trouve les héroïnes attachantes et encore une fois, c’est très beau. Le segment de Black Squaw est meilleur que le précédent, avec une bonne scène d’action. Parmi les nouvelles histoires courtes, j’aime bien La Clairière s’amuse. Et le Dad était très touchant…

La classe, ce gars. La grande classe.

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Ca m’a étonné de voir un auteur américain dans la rubrique Spirou et moi cette semaine (je ne sais pas si c’est arrivé souvent), Noah Van Sciver, le frère de l’autre c…
C’était sympa de lire son point de vue sur Franquin (La Mauvaise Tête fait partie de ses albums préférés, comme on le voit dans le petit strip qu’il a dessiné) et sur la BD franco-belge en général…

Ah, ils sont vraiment frère. Étonnant.

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Toujours sympa, les Tuniques Bleues…mais même si la prépub’ n’est pas encore terminée, j’ai l’impression que l’aventure sera assez anecdotique (la situation de départ s’étire un peu trop) et c’est dommage pour le dernier album annoncé de Cauvin. J’avoue que pour l’instant, je préfère l’album précédent par BeKa et Munuera…
Pour les autres séries, j’aime vraiment bien l’atmosphère et les dessins des Soeurs Gremillet. Par contre pour Black Squaw, plus on avance dans l’album et moins j’accroche…

L4200S

Bien vue, cette couv’ !

Tori.

Oui, chouette couv’ pour un bon p’tit numéro. Ces sommaires thématiques donnent souvent des résultats inégaux mais il y a de bonnes choses (l’histoire courte de Zorglub, l’école de Marcinelle…). Les deux Fab ont poursuivi leur édito dans les marges et c’était bien fun.
Plus le tome des Tuniques Bleues avance, plus ça confirme mon impression : ça se laisse bien lire mais c’est très décompressé, avec une mécanique un brin répétitive. Quant au Black Squaw, je n’avais pas fait gaffe que c’était la dernière partie et du coup j’ai trouvé la fin un peu trop abrupte pour un album très décousu (quelques bonnes scènes mais l’ensemble ne tient pas)…