LE JOURNAL DE SPIROU #1-4488 + H.S.

Oui, il est dans le même ton (avec de l’ironie et du cynisme en plus, et sur plus de cases).

Tori.

Ca ne s’arrange pas dans le segment de cette semaine. Plus ça avance, plus je me demande si il va enfin se passer quelque chose dans ce Pacific Palace. Il y aussi le retour de Zombillenium, absent depuis quelques semaines et j’avoue que j’avais un peu oublié l’histoire de cet album (c’est un peu l’inconvénient de ces tomes qui ne proposent pas un rendez-vous régulier). Sinon pour le reste, c’était très sympatoche (j’aime bien l’ambiance particulière d’Olive, Raowl est amusant et Family Life est de retour donc c’est cool)…

Il y a une jolie erreur dans le numéro de cette semaine : ils ont remis la même planche que la semaine dernière !

Oui, j’ai vu… C’était déjà arrivé il y a quelques années (déjà sur Dad, il me semble).

Tori.

C’est bien évidemment trop tôt pour se faire une idée, mais j’ai accroché aux premières pages de Mademoiselle J., la série qui commence dans le numéro de cette semaine. Je trouve le personnage intéressant, tout comme la période historique dans laquelle elle évolue. Je n’ai pas lu Il s’appelait Ptirou, l’album de sa première apparition, mais les auteurs rendent le début facile d’accès. Et le dessin est plutôt joli.

Le Spirou de Christian Durieux est toujours aussi ennuyeux. Ce qui se passe dans la dernière partie d’Olive est assez touchant mais j’ai trouvé la fin un peu trop abrupte. Raowl, c’est bourrin et c’est fun. Et pour les gags d’une pages, Passe moi l’ciel, l’édito, Family Life et Dad sont toujours les rendez-vous que j’aime retrouver à chaque fois…

Le-Journal-De-Spirou-N°4293-Du-22-Juillet-2020

Moi, je l’ai lu (pas l’album, mais la parution dans Spirou), mais ça m’a donné envie de le relire.
Ah, et j’avais noté le 72bis et 72ter en bas des deux planches qui précèdent l’interview… Je m’étais dit, tiens, c’est un épilogue à Ptirou… Je ne me trompais pas (enfin, c’est plutôt une transition, en fait).
Ah, et ce Gustave Noirhomme… Son nom sent bien le « Gustav Schwartzmann » francisé pour gommer sa judaïcité…

Ça m’éclate depuis le début. On sent que Tebo se fait plaisir sur cette série.
En revanche, je ne comprends pas pourquoi un personnage a changé de couleur de peau entre deux cases.

Oui, c’était une bonne fournée (j’avais un peu moins accroché aux derniers gags de Passe-moi l’ciel)
En revanche, l’humour des pages de Psychotine (évoquant Japan Expo) n’ont pas fonctionné sur moi.

Tori.

Je ne sais pas trop non plus. C’est peut-être un effet voulu…

En revanche, l’humour des pages de Psychotine (évoquant Japan Expo) n’ont pas fonctionné sur moi.

J’ai préféré pour le moment le premier « ceci n’est pas une annulation », sur le Festival de Cannes. Pas vraiment pour le dessin, mais j’ai bien aimé la chute…

Cette semaine, c’est Cédric qui fait la couv’

Avec Cédric dans l’édito (pas très inspiré, cette semaine), dans l’interview des auteurs et dans une histoire en trois planches assez classique (c’est Cédric, après tout).

On a également des gags Passe-moi l’ciel et de Capitaine Anchois assez moyens, l’histoire de Raowl qui continue avec quelques rebondissements (on avait laissé les personnages dans une situation peu confortable), la séquence sur Tomorrowland avec des Fab qui ont semblé dans leur élément (même s’il y a quelques lourdeurs, mais très probablement volontaires).
Ah, et j’ai repéré des guests : on aperçoit, dans la queue pour les toilettes, Billy (de Walter Appleduck) ainsi qu’un Playmobil qui fume (un joint ?) en lisant le journal.
Family life très émouvant (je m’attendais à une autre chute… j’ai été émotionnellement pris par surprise !).
La suite de Mademoiselle J, où les caractères des personnages se précisent, et les complots se trament… et l’ambiance de l’époque est palpable : on se rend compte que la peur du communisme était bien présente et plus importante que celle du nazisme (et on commence à voir poindre l’antisémitisme de certains, aussi). Il y a beaucoup de choses dans ce début de série (on y parle aussi de l’émancipation des femmes… Il y a aussi quelques répliques qui ne sont pas anodines : « Diplômée ! Et tu te coiffes toujours comme une petite fille ? »).
Vraiment, un bon récit à suivre, servi par un graphisme élégant et qui colle bien avec l’ambiance.
Ensuite, on a H.O.M.E… Il aurait peut-être été préférable d’avoir cette série avant Mademoiselle J, tant le ton et le graphisme tranchent entre les deux ! Ça aurait gagné à couvrir un peu moins de pages, aussi, je trouve (le passage pour aller récupérer le téléphone est un peu long, par exemple).
Ensuite, Pacific Palace : je n’ai rien à dire dessus : je ne lis plus la série.
Ah, et pour finir : Game over où, pour une fois, ce n’est pas la princesse qui fait l’idiotie.
Et, en quatrième de couv’, un épisode de Dad plutôt classique.

En résumé, ce n’est pas un numéro exceptionnel, mais il contient quand même quelques belles perles.

Tori.

Yep…et comme toi, je mets en avant Mademoiselle J, Family Life et Raowl, vraiment les meilleures séries de la revue en ce moment, chacune dans des styles très différents.
J’ai trouvé que le Tomorrowland (bon, j’ai du googler pour savoir ce que c’était quand ça été annoncé il y a quelques numéros…ce genre de musique, c’est pas ma came ^^) était le meilleur « Ceci n’est pas une annulation » depuis le début.
Et pour Pacific Palace, tu ne rates rien de toute façon…

Le tome 6 d’Harmony débute dans le numéro de cette semaine et je dois dire que j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire. C’est une série déjà bien établie et je ne la trouve pas si facile d’accès pour un nouveau lecteur, il m’en faudra un peu plus pour bien cerner ce qui se passe.
Raowl est toujours aussi amusant et la première histoire de Mademoiselle J. continue de bien se développer avec de nouveaux personnages autour de l’héroïne au caractère bien trempé. Très chouette lecture qui se prête bien à la pré-publication en épisodes.
Pour les séries en une planche, pas de surprises, mon chouchou reste Family Life

Dad, encore et toujours et Game-Over. Family Life j’ai l’impression de lire du sous Zep.

Un dernier numéro un peu plus inégal. Moins de pages de gags et pas les meilleures (Game Over n’est pas ce que je préfère). Pour les séries, les livraisons hebdomadaires de Mademoiselle J. et de Raowl confirment chaque semaine la (très) bonne qualité d’ensemble de ces albums. Et La Boîte à Musique est toujours aussi joli…je n’accroche pas à Harmony et j’ai hâte que Pacific Palace se termine (que c’est long)…

N°4298 : Les événements de Mademoiselle J. prennent une tournure plus dramatique, avec une dernière page qui fait office de très bon cliffhanger jusqu’à la semaine prochaine. Raowl est toujours fun et dynamique. Il est encore un peu trop tôt pour juger de la qualité du nouveau tome de La Boîte à Musique, mais j’aime bien l’atmosphère de cet univers. Retour de Zombillenium…mais comme il faut attendre plusieurs semaines entre chaque segment, j’ai du mal à accrocher au tout (il faudra que je relise ça d’une traite quand ce sera fini). J’aime les dessins d’Harmony, mais comme je l’ai déjà dit plus haut j’arrive un peu trop tard dans la série. Pacific Palace, c’est comme d’habitude. Pour les séries en une page pas de surprises, je mets toujours Family Life et Dad au-dessus des autres…

N°4299

C’est la rentrée de Spirou
Après un gag du Petit Spirou assez moyen (même si la dernière case m’a fait sourire), on enchaîne avec l’édito où les deux Fab applique leur méthode habituelle (mais efficace).
Les trois planches qui suivent sur l’agent 212 sont un peu longuettes (on aurait pu raccourcir en deux).
On a une étonnante histoire en cinq planches, intitulée « Le tout petit monsieur », à laquelle je n’ai pas tout compris, mais qui m’a touché, sans que je sache trop pourquoi.
Pour le reste, je continue d’apprécier le délirant Raowl, ainsi que Mademoiselle J. (il s’en passe, des choses, dans ces six planches ! Vivement la suite !).

Et la page finale, consacrée à Dad, dans lequel ça évolue un peu entre Ondine et Efix…

Tori.

Tout pareil que toi. Mademoiselle J. est de plus en plus palpitant, avec des coupures bien choisies qui nourrissent efficacement le suspense entre chaque numéro. Vivement la suite, en effet !
Pas très convaincu pour le moment par la nouvelle série de gags en une planche, Elliott au collège. Bon, ce n’est que le début, mais je n’ai pas accroché au dessin et au lettrage choisi…

N°4300 : Et c’est enfin fini pour Pacific Palace. C’était lent, long et creux, l’auteur jouant beaucoup sur l’atmosphère sans mettre en place des éléments vraiment intéressants vu à quoi se résume l’intrigue principale. Ennuyeux et vraiment pas adapté à la prépublication dans le Journal, contrairement à Raowl et Mademoiselle J. que j’ai plaisir à retrouver à chaque fois (j’espère que les séries qui vont les remplacer garderont cette bonne dynamique)…

Ah, ça y est, Pacific palace est fini ?
J’espère que ça sera remplacé par une série plus attrayante !
Quant à Raowl, j’espère que la parution dans le journal va continuer… Je suis prêt à me contenter d’une seule page pour que ce soit le cas !

Tori.

N°4301 :

L4200

Je n’ai pas lu le premier tome de Atom Agency mais ce n’est pas gênant car c’est une nouvelle enquête qui commence et l’interview des auteurs résume bien le contexte. C’est encore tôt pour juger mais j’aime bien le dessin, les références, les dialogues qui jouent avec l’argot de l’époque…
Il y a de la tristesse dans la dernière partie de Mademoiselle J., ce qui est légitime, mais ce sentiment laisse vite place à la joie avec une très jolie idée. J’ai beaucoup aimé cet album et j’espère bien qu’il y a aura une suite qui permettra de retrouver l’héroïne dans la décennie suivante…
Pour les gags, c’est comme d’hab, je place toujours l’édito, Family Life et Dad au-dessus des autres. Les femmes en blanc, c’est comme L’Agent 212 il y a deux semaines, Cauvin fait trop traîner et la chute n’est pas terrible…

De la mélancolie, surtout… En tout cas, une bien jolie fin.
J’ai bien aimé cette histoire et, comme toi, j’espère retrouver cette héroïne pour une suite.

Clairement, on pouvait raccourcir à une seule page !

Ah, et tu n’as pas parlé de Six-coups… J’ai trouvé cette histoire divertissante, mais un peu longuette…

Tori.